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Samedi 23 janvier 6 23 /01 /Jan 23:38

 

Mercredi 23 décembre 2015 au Dimanche 3 janvier 2016:

 

 

Mon mari est arrivé pour passer les fêtes avec nous. C'est moins palpitant pour ce qui vous intéresse … :)

Surtout marqué par un réveillon du jour de l'an trempé sur la plage de St-Gilles. Dommage mais sympa quand même. Punch et bain de minuit !

 

Jean-Luc m'a fait passer sur skype quelques précisions sur ce qu'il me préparait. J'ai compris que ça pourrait se passer le premier jeudi de 2016, le 7 janvier, quelque part en altitude sur la côte ouest.

Je dois prévenir ma cousine que je dormirai chez Cathy qui m'invite à une fête à St-Pierre chez Matthieu.

« Cathy est au courant que je me sers d'elle comme couverture ? »

« Oui, elle est au courant. Du reste, le 7 au soir, on commencera par dîner tous les trois ensemble et je lui dirai que je t'emmène simplement prendre un verre à St-Denis avant de rentrer chez moi avec toi. Elle n'a pas besoin de savoir ce qu'on fait réellement après le dîner. »

« D 'accord. C'est toi qui voit. »

 

Bonne année 2016 !

 

 

 

Lundi 4 janvier 2016:

 

Je repense à ce que m'a proposé Jean-Luc. J'ai confiance en lui mais d'un autre côté, il ne sera pas le seul et si les autres se mettent à faire n'importe quoi…. Néanmoins, il m'a dit qu'il n'y aurait que des gens que je connais ou dont j'ai entendu parler.

On devrait être 6 ou 7 avec « 2 ou 3 nanas » si je suis d'accord. Je n'ai rien contre, évidemment.

Est-ce que je suis d'accord pour démarrer la soirée avec les yeux bandés ? Bof, je ne sais pas vraiment...

C'est jeudi soir que c'est prévu. Je peux me défiler encore mais je dois une réponse définitive aujourd'hui !

 

Aujourd'hui, plage à 10h et baise de retrouvailles à 16h dans son 4*4… Si j'étais logique, je m'installerais à La Réunion !:)

 

Soirée famille avec les cousins. Je me sens super bien. Je vais dire oui à Jean-Luc. J'ai prévenu Hélène que jeudi prochain, je découche chez Cathy ou chez Matthieu avec Cathy.

 

Mardi 5 janvier 2016:

 

J'ai un appel matinal de Cathy qui aimerait que je lui rende visite à son cabinet médical et qu'elle me prendrait en priorité si j'en avais envie. Ceci dit sans se cacher sur un ton coquin me fait comprendre qu'elle prendrait du plaisir à m'ausculter en profondeur….. et réciproquement. J'hésite pour le principe mais j'accepte… évidemment !

 

A midi moins le quart, je me pointe à son cabinet en apportant quelques samoussas et je constate que je suis bien la dernière dans la salle d'attente. Puis je vois la belle Cathy raccompagner sa dernière patiente et venir me chercher dans la salle d'attente.

 

« Si Madame ….. veut bien venir…:)  »

« Avec plaisir, bien sur ! Tiens, j'ai apporté ça. »

« Hummm ! J'adore. C'est pas terrible pour la ligne mais j'adore ! Ca veut dire que tu as un peu de temps à me consacrer ? »

« Tout ce que tu veux. »

 

Elle me prend par la main et m'enlace pour m'embrasser presque violemment. J'adore sentir sa langue rechercher la mienne. J'adore sentir son corps de jeune femme sportive se frotter au mien. Elle est un peu plus grande que moi, elle a des seins plus petits que les miens mais plus fermes et j'adore les caresser. On achève de se déshabiller, ce qui est très rapide, juste quelques dessous. Je suis amoureuse de ce corps que je vois en face de moi et que je veux voir vibrer de plaisir….

 

Je me colle à elle et recommence ma danse du serpent en caressant et en me laissant caresser toutes les parties de mon corps. Je suis follement excitée. Elle a une peau douce, légèrement halée sauf ses seins et la place de son string.

 

« Cathy, je n'en peux plus de t'avoir si loin ! »

« Corinne, à chaque fois que je baise, je pense à toi ! C''est de ta faute ! » Et elle éclate de rire.

« Tu es superbe, tu sais ? J'ai failli ne pas te reconnaître ! »

« T'es gentille de me dire ça. En tout cas, je me sens cent fois mieux que l'année dernière. J'étais une loque déprimée quand tu m'as fait rencontrer Matthieu. Et je ne regrette pasque tu m'aies poussée dans les bras de Jean-Luc. »

« Je ne sais pas lequel de vous deux en avait le plus envie :) »

« Je ne sais pas mais… mais… il me… il me…. »

« Il te bourre bien. N'hésites pas à le dire! :) »

« Ca c'est sûr, il me bourre bien et me fait bien bourrer par d'autres et avec lui, c'est génial ! »

« Le Diamant Bleu ? »

« Oui, le Diamant Bleu, vous en avez parlé ? Corinne, j'ai tellement envie que tu me lèches la chatte. »

 

Elle me conduit doucement vers la table d'auscultation et je l'y allonge. Elle est nue, désirable, détendue, les yeux déjà à moitié fermés. Je la fait descendre un peu sur cette table, je lui écarte les cuisses et, debout au pied de cette table, j'ai tout le loisir d'admirer ses formes parfaites, faites pour être désirées, pour être désirées, caressées, pénétrées…

 

« Tu es bien, chérie ? »

« Question stupide. » me répond-elle à voix basse, un léger sourire aux lèvres.

 

Je la caresse alors longuement de l'intérieur des cuisses jusqu'à ses seins et à son cou, en évitant soigneusement sa chatte. Je sais que ça l'excite, puisque ça m'excite, moi, de tourner autour du pot, si on peut dire, sans y toucher, en se rapprochant de plus en plus pour y concentrer un appel au plaisir de plus en plus fort. Quand je juge le moment opportun, je me penche en avant pour commencer à effleurer sa touffe très légèrement avec ma langue.

 

« Détends-toi, Cathy, penses à un bon moment passé avec Matthieu, avec Jean-Luc ou un autre... »

« J'en ai plein de bons moments…. »

« Tant mieux, je ne sais pas, moi. Ton premier coup avec Matthieu, là-bas, à la plage. Tu l'attendais avec impatience, non ? »

 

Je n'ai pas eu à mouiller longuement sa touffe ni sa fente. Le désir d'être pénétrée l'avait fait pour moi et avant moi. Quand j'ai écarté ses lèvres avec ma langue, elle vibrait de l'attente…..

 

« Corinne, tu fais quoi ? Dépêches-toi ! Bouffes-moi la chatte ! S'il te plait ! »

« Patience, ma belle ! Tu l'attendais avec impatience, hein ? Ton Matthieu ? Tu te demandais quoi faire pour qu'il te saute.. T'avais envie de sa queue, hein ? »

« Oh oui, ca faisait deux ans que j'avais pas baisé, tu parles ! »

 

Alors je lui ai bouffé sa chatte, gentiment et je l'ai pénétrée avec deux doigts. Je ne crois pas qu'elle se soit aperçue tout de suite de leur présence en elle. Mais quand j'ai senti certaines de ses réactions :

 

« Cathy, je crois que j'y suis, non ? »

« C'est bien possible. » me répond-elle dans uns souffle de plaisir.

 

Je lui effleure alors son point G avec la légèreté que me donne la confiance que j'ai en moi de la faire jouir quand je voudrai. Je lèche son clito et ses petits gémissement m'excite comme pas possible. J'ai les doigts trempés.

 

« Et tu l'as sucé, ce soir là ou il t'a embrochée d'un coup ? »

« D'un coup, mais c'était tellement bon. Je retrouvais la sensation d'une vraie bite qui me voulait !! »

 

Elle éclate de rire alors je profite de cet instant. Un éclat de rire, c'est comme un moment de surprise provoqué par une claque sur les fesses. Les défenses s'abaissent…

J'accélère juste mes caresses de son point G, je retire mes doigts et je fais pénétrer ma langue le plus loin possible… Et là, ça y est ! Elle se met à trembler, accroche les bords de la table avec ses mains, son bassin se soulève brutalement alors que j'ai encore ma langue dans sa chatte, alors, d'une main ferme sur son ventre, je la plaque sur la table pendant qu'elle jouit violemment en appelant voluptueusement par leur prénom toutes les queues qui l'ont baisée depuis un an ! Hummm , apparemment, elle a dû se régaler la coquine ! :) .

 

Quand elle s'est un peu calmée, je reprends mes douces caresses sur son corps…..

 

« Cathy ? »

« Oui, Corinne, c'était génial. Retournes pas en Métropole :) »

« C'était pas ça ma question… Qui c'est José ? »

« J'ai parlé de José ? Hummm…. »

« Oui, apparemment c'est lui qui a la plus grosse et la plus longue, si j'en crois ce que tu as raconté. Encore mieux que Jean-Luc. C'est pas peu dire. »

 

Elle se redresse un peu sur ses avant-bras ……

 

« Je ne devrais pas te laisser me caresser ! » Et dans un grand éclat de rire….

« Oui, en plus c'est vrai ! »

« Alors, qui c'est ce José, racontes! :)  »

« Disons que ça a un rapport avec Blue Diamond... »

« C'est un des amis d'Emilie ? »

« Exactement ! Mais j'aimerais ne pas t'en dire plus. Peut-être que tu le rencontreras un jour, quand tu reviendras. »

« D'accord, ma belle. Je vais te laisser. Tu travailles, toi. Moi je vais bosser à la plage. »

« Oui ou dans le 4*4 de Jean-Luc :)  »

« C'est malin ! Si ça pouvait être vrai ! Donc jeudi soir, on dîne ensemble et on est censée partir les deux ensemble voir Matthieu à St-Pierre ? »

« J'ai compris ça. Tu sais, Corinne, je t'aime, à ma façon. »

 

Je l'ai embrassée et je suis partie….

 

A la plage, Jean-Luc m'a rejointe sur le coup des 16 heures et, je vais vous décevoir, on n'a pas baisé. Je devais être rentré tôt pour aller au ciné avec mes cousins. Je lui ai demandé qui était José. Il n'a pas plus répondu que Cathy.

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Samedi 23 janvier 6 23 /01 /Jan 13:05

 

Mardi 22 décembre 2015 :

 

Hier soir, j'ai essayé l'oeuf vibro que j'ai emprunté à Jean-Luc. Je l'ai réglé pas trop fort et j'ai commencé à bouquiner. Je me suis endormie sur le livre et, une heure plus tard, je me suis réveillée en sursaut, mouillée de partout, en train de jouir doucement et mon drap pas seulement mouillé de transpiration. Il fait chaud, proche de 28-29°.

 

Il est 13h30. Ca fait plus d'une heure que Jean-Luc m'a rejoint à la plage. On se baigne et on profite bien du beau temps même s'il commence à y avoir du monde. A peine sorti de l'eau, Jean-Luc propose :

 

« Chérie, on va pique-niquer dans les hauts ? »

 

Tu as compris ce qu'en langage 'Jean-Luc', 'pique-niquer' veut dire. Tu enlèves 'pique'.....

 

« Si tu veux, bien sûr ! »

 

Et, sans prendre le temps de nous changer, on va récupérer le 4*4 de Jean-Luc pour monter à son point de vue préféré. La seule question que je me pose, c'est : On baise avant de manger ou après ?

Je laisse la réponse à Jean-Luc mais quand, dès sortis de la voiture, il me prend dans ses bras et me caresse les seins, je connais la réponse… Il détache mon maillot de bain, me pelote et me tord gentiment les bouts. Je me frotte consciencieusement à lui qui s'appuie le dos à la voiture.Je me mets à genoux devant lui.

 

« Détends-toi, Jean-Luc, détends-toi ! »

« Je te parais stressé ? »

« Je vais vérifier. »

 

Son maillot de bain encore mouillé épouse légèrement la forme grandissante qu'il tente de cacher. Je passe un doigt sur cette forme, doucement. Le décor à fleurs, genre Tahiti, se déforme lentement mais sûrement et j'ignorais que Tahiti pouvait être aussi montagneux. Prenant ce relief entre le pouce et l'index, j'ai l'impression de faire rapidement culminer ce relief. Baissant brutalement son short de bain, j'en profite pour gober au vol ce gland rosé qui prolonge une tige brune que je commence à bien connaître.

 

Entre les caresses de ses mains sur mes seins et la pipe que je lui taille, j'ai des contractions violentes de mon bas-ventre accompagnées d'une sensation d'humidité que Jean-Luc apprécie tant.. Là, accroupie devant mon amant à poil, en plein soleil réunionnais, dans un paysage tranquille… la question que je me pose n'est pas de savoir s'il va me baiser mais seulement quand et comment.

 

Quand ? Tant que je le suce, il ne bougera pas et puis elle est tellement bonne que je n'ai aucune raison d'arrêter. Je la détaille, l'épaisseur, la longueur, la courbure légère, le cheminement des veines, la transition entre le membre foncé et le gland si clair…. C'est presque comme si je l'avais déjà dans mon ventre et meilleure elle est dans ma bouche, meilleure elle va être dans mon ventre !

 

Mais j'ai aussi tellement envie qu'elle y soit que j'arrête bientôt de le sucer…. Je me redresse, sa queue dans une main et de mon autre main, je fais descendre mon maillot…. Je commence à frotter ma fente avec son gland…..

 

« T'as pas envie de me baiser ? »

 

Je n'aurais pas dû lui dire ça…. :)

 

En moins de temps qu'il m'a fallu pour le dire, je me retrouve à plat ventre sur le capot du 4*4, à profiter pleinement de la raideur que j'ai contribuer à faire gonfler ! J'adore, il le sait, je le lui dis, je le lui répètes… Je sais que je vais jouir bientôt, alors je lui dis simplement qu'une couverture par terre, ce serait bien plus confortable.

On l'étale sans perdre une minute, et il m'y prend en missionnaire convaincant ! Son bassin monte et descend. Je sens sa tige aller et venir au même rythme...

 

Je crois que c'est là que je lui ai redit que s'il souhaitait me partager avec d'autres, du moment qu'il me tenait la main…. Je devais être bien partie quand je lui ai dit ça mais d'un autre côté, j'aime tellement le sexe avec des gens cool que ça ne m'a pas tellement étonné quand il m'a dit qu'il allait s'en occuper en début d'année prochaine dès que mon mari serait reparti !

Je lui ai dit de continuer et entre deux coups de reins de plus en plus violents, il m'a dit qu'il allait m'organiser une petite fête avec des amis à lui, des gens que je connais ou dont j'ai entendu parler. Une petite fête à 5 ou 6 personnes…..

 

« L'année dernière, on n'a pas pu aller chez Pierre et Aïna, cette année, ne te fais pas de soucis…. »

 

Après, je n'ai plus senti que sa jouissance m'envahir, m'inonder.... J'étais aux anges depuis un moment !

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Samedi 23 janvier 6 23 /01 /Jan 12:53

 

Lundi 21 décembre 2015 :

 

Samedi et dimanche, c'était, d'une part, le premier week-end des vacances d'été à La Réunion et, d'autre part, le 20 décembre, la fête de l'abolition de l'esclavage. Je parie que peu de gens en métropole le savent. Le 20 décembre 1848 ! Autrement dit, un week-end de fêtes et avec du monde un peu partout !

 

A part ça, qui ne vous intéresse pas beaucoup, mon lundi commence comme un jour normal. Plage tranquille le matin, Puis déjeuner chez Jean-Luc. Il me raconte son abolition de l'esclavage avec Cathy et décide que je suis aussi une esclave qu'il doit libérer. :)

 

Une fois « libérée », on part sur St-Denis avec sa voiture. Il va me montrer ce qu'est le Diamant bleu. Il ne me donne aucune explication jusqu'au moment où il arrête sa voiture dans une résidence qui a l'air assez cossue et qui ne ressemble en rien à ce que j'imaginais.

 

« Voilà, on y est ! »

« On est où ? »

« Ben, au Diamant bleu ! Tu n'as pas vu le panneau à l'entrée ?»

« Non, je n'ai pas vu ! »

« Faut ouvrir les yeux :) ! Et là qu'est-ce que tu vois ?»

« Des petits immeubles … plutôt sympas ….. des gens qui se promènent…. Qui discutent….. Certains qui courent ! »

« Oui, c'est une résidence sécurisée… le gens que tu vois dans les allées n'habitent pas ici, ils viennent des grands immeubles que tu vois là-bas ! »

« Ah bon ? Comment ça, sécurisée ? »

« Regardes les immeubles. Pas d'appartement au rez-de-chaussée. »

« Ah oui ! Rien que des parkings en bas. Et on y accède comment ? Au fait, tu sais ça comment ?»

«  J'ai un ami qui habite ici avec sa copine. Pour rentrer,en voiture ou à pied, c'est pareil , un système de sas avec double code. »

« Oui et puis je vois qu'il y a des grilles sur toutes la hauteur du parking. Ca ne rigole pas ! Et plein d'arbustes plantés à la base des immeubles. On voit à peine les grilles, c'est assez discret.»

« Oui, donc les jardins sont plus ou moins publics, accessibles, en fait, à n'importe qui, les immeubles, eux, ne sont accessibles qu'aux gens qui ont les deux codes. »

« Je ne vois toujours pas le rapport avec un endroit où les exhibs, dont Cathy ou moi, aimeraient venir…. »

« Si tu veux, tout à commencé avec ce qu'ont vécu mes amis Thomas et Linda, une nuit où ils sont rentrés tard. Tu vois, c'est le bâtiment,, là-bas.»

« Oui, je vois. »

« Bon, eh bien, je préfèrerais que Thomas te la raconte lui-même ! Sinon, tu vas dire que j'invente ! »

« T'es gonflé ! Et on le vois quand, Thomas ? »

« Là, maintenant, si tu veux ! »

« Je vois que tu as tout organisé ! »

« C'est lundi, il ne travaille pas.Il a une boutique d'articles de sport à St-Denis. »

 

Quelques minutes après, une fois le sas d'entrée passé, Thomas nous ouvre. C'est un grand blond, assez costaud, plutôt mignon. Après des présentations classiques, Jean-Luc lui dit :

« Thomas, j'aimerais que tu parles à mon amie de ce qui se passe ici certaines nuits et comment ça a commencé :) .

 

« Bien sûr. Mais je vais devoir être un peu crû, parfois. Ca vous gêne ? »

« D'abord, on peut se tutoyer ? Ensuite, ça ne me gêne pas, tu le racontes comme tu le sens. »

« D'accord, donc ça a commencé il y a un an environ. Un samedi soir, on rentre de chez des copains après une soirée un peu arrosée ( surtout pour Linda :) ), vers 1h du matin.  On franchit le sas avec la voiture et, en tournant sur notre place, on éclaire brutalement une scène assez…. spéciale, se déroulant juste de l'autre côté des grilles, sous les arbustes bordant le bas de l'immeuble . Appuyée aux grilles et donc nous faisant face, penchée en avant, une jeune noire, une jolie fille, du reste, est en train de se faire baiser en levrette alors que deux autres mecs sont en train de se branler à côté, attendant visiblement leur tour. Les lumières de la voiture les éblouissent un instant mais n'arrêtent pas pour autant leur manège. J'arrête le moteur de la voiture, éteint les phares et il fait tout à coup très sombre. Le mec en train de tringler la fille disparaît. La fille ne bouge plus, semble attendre quelqu'un, se retourne, une silhouette se place derrière elle et le manège reprend, indifférent à notre présence. Je regarde Linda d'un œil interrogateur. Je dois avouer que ça commençait à m'exciter. La fille n'avait pas l'air malheureuse et ne cherchait pas à éviter les coups de queue de ses partenaires. Tiens, un changement de cavalier! C'est reparti ! Linda qui est une nana jolie, avec des avantages certains, gros seins et un beau cul, portait une robe moulante jaune, épaules nues et descendant à mi-cuisses. Elle me regarde et regarde la fille. Elle a l'air surpris dans un premier temps puis elle prend soudain ma main et la pose sur sa poitrine et me dit :

 

« Ce soir, on l'a pas encore fait !? »

« Non, c'est vrai ! »

« J'ai envie, pas toi ? »

 

Il faut dire que me retrouver soudain avec les seins de Linda dans la main me provoque un net début d'érection complètement incontrôlé et de son autre main, elle vérifie son effet. Bref, je sens qu'elle n'a pas envie d'attendre de monter à l'appartement.

 

« Baises-moi là, d'accord ? »

« Où tu veux, ma chérie ! »

« Viens ! »

 

Elle se penche vers moi et fait le nécessaire pour accéder à l'objet de son désir qui ne demande que ça. Elle m'a à peine sucé, enfin j'exagère un peu, qu'elle sort de la voiture et va se planter devant la fille et commence à échanger…. Elle s'est mise dans la même position que la fille, face à elle, séparées par la grille, elle à baissé le haut de sa robe pour mettre ses seins à l'aise et remonter le bas de sa robe pour me montrer son cul à prendre. J'en reste comme deux ronds de flanc mais je suis bien obligé de la rejoindre, quoique ça tienne plutôt du réflexe, et je la prends là, non sans avoir regardé dans toutes les directions si on pouvait nous voir ; mais ce n'est pas le cas. Le mec en face, une vingtaine d'année, me fait un large sourire qu'il veut complice. Chacun baise sa chacune en espérant la faire jouir avant d'exploser….

 

Nos deux nanas discutent, échangent, quand nos coups de rein le leur permettent…..

 

Tu t'appelles comment ?…… Emilie….et toi ?….. Linda, c'est qui ces mecs ?…. Des copains…. Il t'en faut 3 ?…. J'adore le cul…. Moi aussi….. Ils ont l'air costaud tes copains…. Ouais, surtout, celui qui vient maintenant, tu vois ?….. Ah oui ! Presqu'aussi bien que mon mari… Rigolade….. Gémissements….. T'en as 3, veinarde !….. Fait un pari !… un pari ?…. Qu'ils me feraient pas jouir, que j' les viderai avant !…. Ambitieuse….. Ouais ! Je crois que je vais perdre mon pari! Il est trop bon lui !…. Et si tu perds ?…. Je dois trouver….. Trouver quoi ?… Une remplaçante… Hein ? …. Une autre nana, quoi !…. Une autre nana ? Pour faire quoi ?…. Se faire baiser par mes 3 copains !….

 

Le petit jeune derrière elle s'en donnait à coeur joie.

 

Je crois que je perds mon pari… Linda, ton mec il est bien ? …. Te laisserait venir à ma place ?…. Rappelles-moi, 06 92……. je t'en ferai profiter !

 

Elle n'a pas le temps d'entendre ma réponse qu'elle s'envole sur la queue de son partenaire en criant qu'elle jouit, en bavant qu'elle aime ça et qu'elle veut que ça continue… les coups de rein de son mec. Lui, il lui claque les fesses en lui demandant d'avouer qu'elle a perdu… T'ai bien baisée, hein ? Dis-le ! Allez ! …. Oui, OK, c'est bon…. Allez, branles-moi !….

 

Le mec vire le préservatif et se met à danser comme un fou, sa queue virevoltant, criant : 

 

« L'ai bien baisée, l'ai bien baisée ! » avant qu'elle ne la lui chope pour la branler à deux mains et la fasse gicler en quelques secondes….. J'ai son numéro.... On se sépare.....

 

Quelques minutes après, une fois chez nous, assez étonnés des moments que nous venons de vivre, nous nous demandons ce que nous allons pouvoir faire de ce numéro de téléphone. Celui d'une jolie noire qui doit trouver une femme pour satisfaire d'une manière ou d'une autre ses trois copains. Trois copains qui ont l'air assez sympa, bien montés et réglos !

 

« Oui, je ne vois pas bien la suite….. »

« La suite ? C'est que j'ai raconté cette histoire à Jean-Luc et Jean-Luc m'a dit qu'il connaissait une femme que ça pourrait intéresser soit de se faire baiser devant des mecs inconnus soit de se faire baiser par des inconnus. »

« Oui et là j'ai parlé de Cathy à Thomas et on a contacté Emilie pour lui parler de Cathy. Et c'est comme ça que Cathy et moi, on s'est trouvé à la place de Linda et Thomas à baiser sur le capot de mon 4*4 pendant qu'Emilie se faisait prendre par ses 3 jeunes blacks bien montés. Sympa, non ?»

« Et Cathy était d'accord ? Vraiment ? »

« Elle était tellement d'accord qu'elle a voulu prendre la place d'Emilie de l'autre côté de la grille. Elle pleurait qu'elle les voulait ! Et elle s'est bien défendue avec les petits jeunes qui n'en revenaient pas. »

 

Cathy ne m'a rien raconté, je vais devoir lui extorquer des aveux !!:)

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 13:04

On est parti toutes les deux chez elle, je commençais à la sentir un peu émoustillée à raconter ces souvenirs mais j'avais du mal à comprendre ce qui s'était réellement passé. Jean-Luc m'avait laissé entendre que c'était elle qui lui avait sauté dessus. Elle, elle me dit que c'est lui et qu'il a été violent avec elle. Il l'a peut-être été mais pas longtemps car Cathy a l'air d'avoir un super moral et elle est super désirable mon amie. Je me rappelle qu'on a passé d'agréables moment ensemble et que si elle faisait un geste , je ne sais pas si je refuserais, et si je faisais un geste, refuserait-elle ? Sa robe ne cachait rien de ses formes et sa jupe remontée pour conduire me donnait envie d'en faire autant. Je me suis lancée...

« Tu sais, Cathy, j'ai gardé de bons souvenirs des quelques moments qu'on a passé ensemble…. »

Il y a eu un blanc et puis elle m'a dit :

« J'y repense souvent. »

Elle s'est tue. On est arrivé chez elle, ça y est ! Une fois dans l'appartement, elle lance la cafetière électrique, puis se retourne vers moi et, sans rien dire, enlève sa robe. Elle est là devant moi, quasi nue, s'approche, passe ses bras autour de ma taille et m'embrasse. Elle m'embrasse, je l'embrasse et une sensation très particulière m'envahit au fond de mon ventre…. Debout, enlacées, elle commence à me raconter la suite..

« Oui, il est revenu. Beaucoup plus calme, mais toujours aussi endurant. Il m'a baisée en parlant souvent de toi, du reste… Il m'a baisée, il m'a fait baiser, on est allé à St-Leu, là où vous n'aviez pas pu aller,  tu te rappelles ? »
« Oui, je me rappelle, j'ai l'impression d'avoir manqué quelque chose ! »

On se caresse en même temps qu'on parle…. Je lui retire son soutien-gorge, elle fait de même et je m'allonge sur le canapé…

« Oui, on y a été. Il m'a fait rencontrer Aïna et Pierre avant et on a été y passer une nuit au début de cette année. J'ai été prise analement de force par Pierre avec les encouragements de Jean-Luc. Je ne voulais pas. Il a dû mettre dix minutes pour introduire son chibre dans mon pauvre petit cul. Je criais mais rien n'y faisait. Aïna essayait plein de massages locaux pour diminuer la douleur…. Bref, une fois dedans, et avec des mouvements…..  J'ai envie de ta chatte ma chérie...»
« Tu demandes la permission maintenant ? »

Cathy m'a fait alors une démonstration de son savoir-faire conjoint langue plus deux doigts …. En quelques minutes, j'étais aux anges et lui rendait la pareil sans tarder…..

Le café avait eu le temps de passer :)

« Et puis une autre fois, on a été, de nuit, à la plage, à un rendez-vous avec deux couples de ses amis. Deux couples noirs, j'étais la seule blanche et blonde et on me voyait bien de nuit. Tout a commencé  vers minuit. Les deux couples ont commencé à se faire des câlins. Et puis moi j'ai commencé à sucer Jean-Luc…. A un moment donné, Jean-Luc me fourrait et je regardais de côté la fille d'un couple, à cheval sur son mec quand l'autre mec est venue la double-pénétrer !
Quand j'ai eu fini de jouir, Jean-Luc a voulu que je le suce pour le relancer. Je me suis agenouillée entre ses cuisses et il me tenait fermement la tête. Ca, ça ne m'inquiétait pas mais tout d'un coup, j'ai senti deux mains énormes qui m'immobilisaient les hanches, plus moyen de bouger, j'ai commencé à sentir un truc, en fait la queue du mec qui essayait de s'introduire et Jean-Luc qui appuyait ma tête pour que je reste avec sa bite en bouche pendant que l'autre black me sodomisait ! »
« J'y crois pas ! »
« Si, je t'assures. Et puis Jean-Luc s'est glissé doucement sur le dos entre mes cuisses pour fourrer sa queue dans mon trou disponible ! Tu vois, Corinne ? Le problème, c'est que sur l'instant, je me trouve méprisable, j'ai honte de moi. Deux jours après, quand Jean-Luc me rappelle pour me fixer un rendez-vous, je lui dis merci ! »

Je caresse toujours mon amie. C'est vrai qu'en 18 mois, elle est passée du stade de déprimée au stade de …

« Cathy, t'es une bête de sexe !! Je t'adore ! »
« Et encore, je ne te parles pas du Diamant bleu ou du temps passé à admirer la mer et le lagon depuis les hauts !  Ou des jeux de Jean-Luc au restaurant ! »
« C'est bien ça ! T'es une bête de sexe ! »

Je dis ça en plaisantant car Cathy s'amuse, en même temps qu'elle revit avec un plaisir évident ses moments chauds, à me faire plaisir, à me donner du plaisir, un plaisir que je laisse venir sans aucune retenue. Elle se tait en regardant mon plaisir grandir, elle me regarde dans les yeux quand mes lèvres frémissent et que mon souffle devient court jusqu'à ce que je jouisse profondément de ses doigts. C'est en me câlinant qu'elle rajoute :

« En tout cas, Corinne, fais-toi bien baiser par Jean-Luc ! Je crois que tu le vois tout à l'heure ? »
« On ne peut rien te cacher !   :)   »


Effectivement, deux heures après, Jean-Luc me retrouve à la plage et m'embarque dans son 4*4… Dès qu'on roule…..
« Qu'est-ce qu'on fait ? »
« Ben, je vais te baiser comme t'aime ! »
« Excuses-moi, j'aurais dû dire, où va-t-on ? Chez toi ? Admirer la mer depuis les hauts ? Au Diamant bleu ? Ailleurs encore ? »
« Ah, toi ? Tu as discuté avec Cathy ! »
« Oui, et alors ? »
« Pas de problème. Je t'emmène dans les hauts ? »
« Bien sur, pourquoi pas ? »

Je le caresse pendant qu'il conduit.Il trouve amusant que je nous fasse prendre des risques  comme ça mais, quand il ne peut plus supporter, il s'arrête sur le bas-côté. J'arrête aussi. Et puis il redémarre. Je redémarre aussi …. Evidemment, on met un peu plus de temps pour arriver dans un endroit, isolé à souhait avec un beau point de vue. Quand l'endroit me plaît, je le lui fais comprendre en glissant ma main carrément autour de son sexe. C'est important, le point de vue ! Quand on est à plat ventre sur le capot du 4*4,  pleine de Jean-Luc! Jean-Luc me suffit mais le point de vue, c'est un plus !!
Mais là, j'ai tout. Le soleil, la mer et la queue de Jean-Luc qui n'en finit pas de me donner encore du plaisir. Une fois qu'il s'est vidé, je lui demande  ce que c'est que le Diamant bleu….

« Tu as de la suite dans les idées, hein ? »
« Cathy m'a dit de te  demander ! Elle ne veut pas en parler. »
« C'est un endroit idéal pour des exhibs comme toi. »
« Des exhibs comme moi ? »
« Oui, des femmes qui souhaitent s'exhiber à des mâles en rut sans qu'ils puissent la toucher ni rien lui faire. »
« Une boîte d'échangisme ? Un sauna libertin ?»
« Pas tout à fait , mais je pourrai te montrer l'extérieur, si tu veux.»
« Oui, pourquoi pas. Lundi ? »
« Va pour lundi . »

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 12:48

Vendredi 18 décembre 2015 :

 

La journée commence comme hier : arrivée tôt à la plage de la Saline…. L'eau est excellente, plein de poissons, des surfeurs sur la passe de l'Ermitage, preuve que les requins sont ailleurs …… Je reçois un téléphone de Jean-Luc qui aimerait me voir aussi avant le week-end. En langage « Jean-Luc » ça veut dire qu'il n'a pas envie de passer 3 jours sans me faire l'amour. C'est une proposition qui me va bien mais il va falloir jouer serré !

 

« Viens me chercher à La Saline vers 17h. On trouvera bien un endroit tranquille pour que tu m'expliques en détail ce que tu veux :)  »

« Je t'expliquerai à fond les détails, t'inquiètes !! »

 

En attendant, je profite de l'eau, du soleil….

 

Finalement, c'est Cathy qui vient me rejoindre à la plage vers 12h30. On va directement au CocoBeach se prendre un cocktail et des tapas. Pour les cocktails, on hésite entre un« Sex on the beach » et un « Screaming orgasm ». Ca fait sourire le garçon quand je commande un « Screaming orgasm » et que Cathy y va d'un « Sex on the beach ». Il n'y a pas encore beaucoup de monde. On en profite….

 

« Alors, Corinne, quoi de neuf ? Ca y est ? Tu as vu Jean-Luc ? Quand je dis « voir Jean-Luc »…. Moi aussi je le « vois » souvent ! Mais là, je te le laisse tant que ton mari n'est pas là. »

Rires…. Merci…

« Oui, je l'ai vu et bien vu ! »

Et tout bas, de rajouter…

« Il me baise comme j'aime, en douceur et profondeur. Bon et toi ?  Finalement tu l'as harponné comme je te l'avais conseillé ? »

« Ouais, t'étais sacrément gonflée quand même ! Et tu ne l'a jamais raconté dans ton blog, cette fin de nuit où on s'était retrouvé à 4 chez Jean-Luc. »

« C'est vrai mais, tu sais, c'est long à écrire, et puis ça ne t'avait pas déplu de passer 10 minutes contre Jean-Luc, même s'il dormait. »

« C'est pas faux mais tu m'avais forcée la main en m'expliquant que je devrais aller finir ma nuit contre Jean-Luc, qu'il me baiserait peut-être sans s'en rendre compte… coquine ! »

« Quand t'es revenue au salon, je me suis demandée si ça n'avait pas été le cas ! Tu avais l'air toute émoustillée ! »

« Ben, il m'avait lovée contre lui et passé les bras autour de la taille. J'ai bien senti quelque chose de dur dans mon dos, entre mes fesses mais je n'ai pas bougé et je l'ai empêché de me caresser les seins. Il aurait tout de suite su que ce n'était pas toi. Et quand il m'a demandé si je voulais, j'ai répondu par un hummmm vaseux et je suis partie. Il devait faire un rêve coquin avec toi. »

 

Rires….

 

« Et il est arrivé comment dans ton lit ? »

« Ben, rien de particulier jusqu'en septembre, jusqu'au moment où Andréa est allée habiter la semaine à St-Denis.Jusque là, il se la tapait autant qu'il voulait et, là, pas question de l'approcher ! Et j'avais un peu oublié ton idée de le draguer ou de me laisser draguer. Quand Andréa est partie, il s'est retrouvé tout seul et j'ai senti le changement. Il s'est mis à m'appeler au téléphone, àj prendre des nouvelles, à m'inviter déjeuner, ce que j'ai accepté…. Là, j'ai repensé à ce que tu m'avais dit mais aussi à Matthieu. C'était quand même mon mec, Matthieu ! Je couchais avec lui, pas assez à mon goût, je ne voulais pas lui faire un enfant dans le dos ! Je courais avec lui et ça me plaisait. Mais c'est vrai que pendant la semaine, il y avait des moments où j'aurais bien….. enfin bref, j'aurais aimé ne pas être seule ! Tu vois, j'ai changé ! J'avais déjà changé ! »

« Je vois, oui, super ! »

« Et puis un jour, j'ai raconté à Matthieu que j'avais déjeuné avec Jean-Luc et que je le trouvais non pas déprimé mais juste un peu languissant et que je me demandais s'il n'était pas en train de me draguer. C'est là que Matthieu m'a fait comprendre, mais très élégamment, et je résume, en gros, que si j'avais envie de m'amuser en semaine, il préférerait que ce soit avec Jean-Luc plutôt qu'avec n'importe qui d'autre. Mais que le week-end, j'étais à lui ! 

Alors j'ai continué à accepter les avances de Jean-Luc…. Il me caressait la main à table….. Je la lui laissait juste ce qu'il fallait pour le ferrer sans qu'il s'emballe. Ca a duré quelques semaines et puis il y a eu sa visite à mon cabinet pour je ne sais plus quelle raison, un piqûre ou vaccin, peu importe. C'était en novembre, je crois, Il est arrivé vers midi pour le dernier rendez-vous avant la fermeture du cabinet. Quand il est entré, j'ai eu une impression bizarre. Il m'a fait la bise de façon peut-être plus insistante que d'habitude, je ne sais pas, je l'ai senti tendu. On a discuté un peu et puis je lui ai dit de se déshabiller comme je le dis à tous mes patients pour une auscultation classique et prise de tension. Et là une fois en petite tenue, au moment de s'asseoir sur la table d'auscultation, il m'a prise dans ses bras et a voulu m'embrasser sur la bouche. J'ai fait mine de vouloir lui échapper en lui expliquant que ce n'était pas forcément une bonne idée, la remarque con par excellence, que j'étais avec Matthieu et que même si j'avais parfois eu envie de lui, je ne voulais pas décevoir Matthieu. Là, me tenant toujours dans ses bras, il me dit qu'il connaissait bien Matthieu, ça c'est vrai, que si on lui en parlait peut-être ne se considérerait-il pas trahi si c'était avec lui qu'elle s'amusait pendant la semaine plutôt qu'avec un autre. Là, j'ai eu l'impression d'entendre le discours de Matthieu. J'étais sure qu'ils en avait parlé et tes discours me sont aussi revenus aux oreilles. Jean-Luc me serrait toujours aussi fort dans ses bras et je sentais son désir gonfler pendant qu'il essayait de déboutonner ma blouse. En dessous, je n'avais que mon string et un petit soutif. Je lui ai demandé si c'était le médecin ou la femme qu'il venait voir. Il m'a répondu les deux et j'ai eu devant ce corps noir et musclé qui bandait pour moi une bouffée de désir que je n'imaginais pas pouvoir avoir…. Je lui ai dit que le médecin devait faire ce qu'il avait à faire. Alors, je lui ai pris la tension autour du poignet et il m'a dit en baissant son slip qu'il y avait un autre endroit où il avait beaucoup de tension et qu'il aimerait bien que je la lui prenne. Son sexe érigé est aussi gros que mon poignet, alors, tu vois, rien ne s'opposait à ce que je lui passe l'appareil autour du sexe et ça nous a bien fait rire tous les deux. Après, je lui ai fait la piqûre et, à peine avais-je retiré l'a seringue, je l'avais encore en main, je crois, qu'il m'a saisie par la tête pour que j'embouche son énorme...»

« Plus doucement Cathy ! » Je lui faisait des signes pour qu'elle comprenne que des gens s'étaient installés à côté de nous pendant qu'elle décrivait passionément ce qu'ils faisaient tous les deux !

« Oui, je l'ai sucé et il a violemment déchiré ma blouse et mes dessous. Il paraissait en rage et son désir à fleur de peau. Il m'a littéralement violée sur place pendant une demi-heure. Je ne savais pas quoi faire pour l'arrêter. Il m'a filé la fessée, me tordait le bout des seins, me retournait comme une crêpe, un coup sur le ventre, un coup sur le dos. J'étais sa chose et il me disait que ça faisait si longtemps qu'il avait envie de me baiser, qu'il adorait les blondes comme moi, qu'il voulait que je sois sa chose pendant 5 jours par semaine, qu'il me ferait connaître les plus grosses bites de La Réunion, et me ferait baiser par tous ses copains si je n'acceptais pas d'être sa soumise, en quelque sorte ! Jusqu »à ce que j'aie mon « Screaming orgasm » et même plusieurs tellement il était excité. Il est comme ça avec toi, Corinne ? »

« Pour les multiples « sreaming orgasms », je te confirme qu'il sait faire. Il est sacrément endurant, tu as dû t'en rendre compte ! »

Sourires.

« Oh oui ! Et donct il a rajouté qu'il m'appellerait dès le lendemain matin pour me dire où et quand il fallait que je sois pour qu'il me baise à nouveau ! »

« Woahhhh, et bien, ce n'est pas le Jean-Luc que je connais, ça ! »

« Le pire c'est qu'il m'a rappelé pour convenir d'un rendez-vous et que j'y suis allée !  Tu veux connaître la suite ?»

« C'est comme tu veux, si tu as envie d'en parler. Mais peut-être pas içi. Il commence à y avoir trop de monde.»

« Tu veux qu'on aille chez moi ? »

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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