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Lundi 6 juin 1 06 /06 /Juin 18:04

 

Mardi 20 mai:

 

Quelques jours passent et je me surprend à être impatiente du coup de fil de Corinne qui doit me reparler de notre projet de randonnée....

Finalement, je cherche à la joindre... J'appelle et je tombe sur Hélène.... On papote longuement et je finis par lui avouer que je me demandais si Corinne ne m'avait pas oubliée.... Elle me dis que non, mais qu'elle est très occupée mais qu'elle va lui rappeler ses promesses.

 

Mercredi 21 mai:

 

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J'ai décidé de finir ma journée tôt. J'essaierai d'aller à la plage et peut-être de m'entraîner après... J'en suis là de mais réflexion quand la secrétaire du cabinet me passe Corinne. Je n'y croyait plus...:)

 

-Bonjour Corinne, ca va?

- Oui, super, et toi, en forme ?.

- Oui, ca va.Tu vas à la plage cet aprem?

- J'irais bien mais j'ai pas de voiture.....

- Ecoutes, si tu veux, jje passe vers 16 heures chez Hélène..... tu y viens avec moi ?

- Super, je t'attendrai en bas. Vivement 16h !

 

A 16h je suis devant chez Hélène où Corinne m'attend...

 

- On va où?

- Je sais pas, La Saline?

- Comme tu veux, c'est toi qui conduit....

 

Je me sens bien. On discute très librement de tout et de rien comme deux vieilles copines et dans le feu de la discussion j'effleure sa cuisse à moins que ce ne soit un peu plus..... Je la retire très vite ce qui lui fait dire que ce n'est rien.....

 

Arrivées à La Saline, on se gare sans problème face au couloir entre deux villas qui nous mène à la plage … Sur la plage c'est grand beau...... toujours aussi peu de monde...... On se déshabille...... J' enlève mon soutien-gorge.......

 

- On va se baigner?

- Tout de suite!

 

17h:

Quand on sort de l'eau, Corinne va se promener le long de la plage, se faire sécher au soleil et regarder ce que les gens ramassent, c'est du moins ce qu'elle me dit ..... Je m'allonge à l'abri du petit parasol. Je me recouvre de ma grande serviette de bain pour enlever mon bas de maillot mouillé, au moins le bas du corps.... Une fois complètement nue sous ma serviette, je me sens parfaitement bien, une main sous la tête, les yeux mi-clos et mon autre main glisse imperceptiblement sous la serviette vers mon entrejambe. Je commence à me toucher doucement.... de longues minutes passent .. Je rêvasse tranquille.... J'ai presqu'oublié Corinne quand je l'entends tousser.... Je la vois 'allongée à côté de moi et se donne l'air de surveiller les allées et venues sur la plage.

Je prends conscience de sa présence et je sursaute, retire brusquement ma main comme une enfant prise la main dans le pot de confiture.... Mais là, le pot de confiture et le plaisir associé se trouvent entre mes cuisses :)

 

Elle me dit tout doucement, d'un air entendu:

 

- Cathy, excuses-moi de t'avoir dérangée, mais tu devrais terminer ce que tu as commencé..... Il n'y a personne.....

- Oh ca va! Je fais n'importe quoi par moment.....je ne me suis même pas rendue compte..... Ne m'en veux pas.....

- Pourquoi t'en voudrais-je? Tu ne fais pas n'importe quoi, tu t'es mise à poil sous la serviette pour te donner du plaisir en attendant qu'un mâle bien monté le fasse à ta place. Donnes-moi ta main!

 

Ca me fait rire.... Elle prend mon poignet et glisse ma main sous la serviette exactement là où elle était..... Je la regarde d'abord d'un air interrogatif, ma main immobile..... Puis je détourne le regard et mes doigts commencent à bouger.....

 

- Détends-toi, chérie. Donnes-toi tout le plaisir que tu veux. J'ai tout mon temps. Tu as tout le tien!

- J'ai honte!

- Arrêtes! Je le fais souvent aussi!

 

Je ferme les yeux..... Elle lâche mon poignet.... Mes mouvements deviennent plus intenses et saccadés.....

 

- Bouges pas tant, on va se faire embarquer! :)

- J'm'en fous, Corinne! Si on est dans la même celulle, j'te boufferai la chatte!

 

Intenses et saccadés, jusqu'à ce que je me tourne brusquement vers elle, presque contre elle pour jouir intensément, le temps pour elle de réajuster la serviette sur mes fesses. Mon orgasme fini, je la regarde l'air plutôt satisfaite C'est là qu'elle me dit :

 

- Tu sais, Cathy, que tu asElle a une très jolie poitrine..... Des seins petits mais superbement bien galbés.... Des tétons qui pointent....

 

Ses yeux qui brillent.... J'ai le sentiment que quelque chose de particulier est en train de se passer.

 

- Woahhh! C'était bon!

- J'espère! Tu n'as pas eu l'air gêné que je te regarde jouir?

- Si, mais tu ne l'as pas vu! :)

- C'est vrai!

- Tu as déjà fait l'amour avec une femme?

- Oh oui, et elle s'appelait Cathy!

- Ah oui? Il y a longtemps?

- 13 ou 14 ans maintenant.

- Et c'était bien?

- Quelle question, bien sur que c'était bien!

- Et tu as arrêté?

- En grande partie, oui!

- Et pourquoi?

- A cause des hommes.

- Des hommes?

- Oui, tu sais, ces personnes qui ont un truc bizarre entre les jambes..... un truc qui peut devenir énorme si tu sais y faire..... tu vois ce que je veux dire? Et dont tu peux faire un usage très intéressant :)

- Je ne me rappelle plus très bien. Ca fait si longtemps que ....

- Ecoutes, si je trouve un de ces trucs bizarres sur mon chemin, je t'en apporte un, d'accord? Enfin, le premier sera pour moi, le deuxième pour toi!

- T'es une sacrée coquine! Et ton mari, dans tout ça?

- Oh..... Laisses le où il est, je négocie de rester une semaine de plus!

- Tu le trompes?

- Je ne t'en ai pas dis déjà beaucoup?

- Si. Au fait quand tu es venue au cabinet, soi-disant pour te faire palper, tu savais très bien que tu n'avais rien, hein?

- Oui!

- C'était pour quoi alors?

- Pour mieux faire connaissance :)

- Tu sais que je peux palper autrement que professionnellement! :)

- Je m'en doute. Bon, tu me ramènes?

- Bien sur! Donc, vendredi à 13heures chez Hélène? T'auras un sac à dos, chaussures, frontale? J'ai réservé pour 2 avec le repas du soir.

- Oui, bien sur mais t'iras pas trop vite pour moi, hein?

- T'inquiètes!

 

 

Vendredi 23 mai :

 

13h: Corinne est à l'heure!

- Ca va Cathy, en forme?
- Ca va, oui, et toi?
- Oui, à part l'âge et le manque d'entraînement.....
- Arrêtes, c'est une balade cool, tu verras, 2h cet aprem, 1h et demie demain matin!
- N'empêche que toi tu cours régulièrement et pas moi mais je m'en fiche, tu devras m'attendre :) !
- Bon, on va d'abord à St-Denis, SIN DNI comme on dit ici et après la voiture monte....
- Alors? Embouteillages?
- A cette heure-ci ça devrait rouler.....

Effectivement, ça roule plutôt bien et à S-Denis, on passe devant l'Hôpital et on commence à monter. Enfin, ma petite VW a du mérite...... On passe le Brulé et 1/2 heure après on arrive vers 1300 m, bravo Titine! et on gare la voiture..... Plus que 2 heures :)

2 heures de montée en forêt tropicale, mais aujourd'hui il ne pleut pas. Je monte doucement pour que ma Corinne soit en forme pour la suite. Après 2h, vers 16h, on arrive au gîte!

Ce gîte ne ressemble pas du tout aux autres gîtes, on dirait plutôt un refuge alpin de moyenne montagne. Un chalet immense et sûrement confortable mais qui ne semble pas être pour nous et des petits bâtiments dortoirs-douches à une cinquantaine de mètres. Un seul dortoir est ouvert, 8 places, pas de chauffage, chauffe-eau en panne! Tout va bien! Bon, on ne va pas rester 2 semaines alors on va survivre.....

- T'inquiètes pas, Cathy, je connais les refuges de montagne !

On s'installe et on commence à discuter avec un couple de retraité métropolitain qui parte pour une rando de 3 semaines. On a l'air un peu ridicules avec nos petits sacs.... Je propose d'aller faire un tour, tant qu'il fait jour, sur le chemin qu'on empruntera demain matin en pleine nuit. Vers 18h, retour au dortoir, on essaie la douche, froide mais froide de montagne, Brrr, impraticable, demain soir, on va sentir bon!

C'est le moment que 2 types que je ne connais pas ont choisi pour arriver! Bonjour, bonsoir, vous arrivez d'où? Vous allez où? Et patati et patata.... Moi c'est Jean-Luc, lui c'est Matthieu.... Nous c'est Cathy, là, moi c'est Corinne... Et patati et patata.....

- Mais vous Corinne, j'ai l'impression de vous avoir déjà vu quelque part....
- Oh ben, ça m'étonnerait, je ne suis pas du tout d'ici et là je viens juste d'arriver.
- Et c'est la première fois que vous venez?
- Ah non! Mais je ne crois pas pour autant qu'on s'est déjà croisé. Ca s'est un bon truc de dragueur!! :)
- Non, pas du tout!

Pendant ce temps là je regarde Matthieu qui, comme moi se demande ce qui se passe...


- Et la dernière fois que vous êtes venue, c'était quand?
- Il y a 4 ans, également en mai. Mais vous savez qu'insister , c'est déplaire? Non, je plaisante.
- Il y a 4 ans? Et le Piton des Neiges?
- Quoi le Piton des Neiges? Oui, je l'ai fait! Faut se lever tôt et j'aime pas me lever tôt, c'est comme là!

Alors là, Jean-Luc surprend Corinne...

- Vous n'avez pas une amie qui s'appelle Hélène?
- Une amie et même une cousine, oui!
- Et vous avez fait le Piton avec elle?
- Oui!
- Et c'était avec un groupe de leurs amis?
- Oui!
- Ben, j'en faisais partie et c'est là que je vous ai vue!
- Alors là!? Oui,peut-être...Sûrement,même....Et vous m'avez reconnue?
- Oui, pas tout de suite, mais finalement ça a fait tilt!
- D'accord, d'accord.....

Bon, elle abrège... Vous prenez votre repas au gîte?... Oui.... On y va ensemble?.... Pourquoi pas..... A 18h30, il fait nuit et on part dîner au gîte presque bras dessus bras dessous! Je me mets en face de Matthieu, Jean-Luc à ma gauche et Corinne en face de lui...... Je me détends et Matthieu a l'air sympa. Peau blanche, cheveux châtain clair, yeux brun, un peu plus grand que Jean-Luc. Pas du tout le genre a en faire trop et à se pousser du col. Je détesterais.

Et Matthieu qui demande:

- Et demain, vous partez à quelle heure?
- A 5 heures, si Corinne veut bien, on monte pour le lever du soleil à 6h30 à là-haut.
- Mais il faut pas 1h30 pour monter!
- Ah nous on n'est pas des rapides! Intervient Corinne
- Bon, Jean-Luc, on va devoir se lever plus tôt que prévu. De toutes façons, quand elles vont se lever tout le monde sera réveillé! C'est jamais discret les filles dans un dortoir! :)
- Ah,le vilain macho!
- Je plaisantais! Si vous voulez, on peut partir ensemble, à moins que ça ne vous embête.
- Non, pas du tout. T'en penses quoi Corinne?
- Ca m'embête mais je ferai un effort! Au fait, on pourrait se tutoyer, non?

Et tout le monde de rire!

J'oublie de dire que le couple de métropolitains était à côté de nous et participait aussi aux discussions. Après le gâteau qui n'était pas terrible, tout le monde a repris le chemin du dortoir. Réveil à 4h30! Pas de petit déjeuner ou presque! Chacun dans son lit! J'aurais aimé faire des réflexions sur ma solitude dans mon lit mais ce n'était pas le moment. Je m'endors une main entre mes cuisses.... Pourquoi pense-je à Matthieu ?

 

A suivre......

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 23:19

 

Chap 4 : CAPOTE OR NOT CAPOTE

 

 

 

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 Un jour, je lui ai fait remarquer que j'avais compris qu'elle avait un copain, José. Elle avait déjà évoqué une autre personne vue régulièrement mais j'avais compris que ce n'était pas le moment de demander des détails ! Et puis elle avait sorti dès le premier jour des capotes qui n'étaient pas vraiment de taille moyenne !!


Donc c'était celles d'un copain plutôt bien monté apparemment ! Et puis, une de ses amies, Audrey, à l'occasion d'un pot pris ensemble en avait demandé des nouvelles.

 

Alors, je lui ai demandé pourquoi, puisqu'elle avait déjà un copain, elle avait eu envie de baiser avec moi. Elle m'a avoué que leur relation était basée sur une certaine préférence mais pas une exclusivité. Et puis qu'elle aimait les mecs bien montés et qu'il n'était pas question quelle se prive de lui pas plus que de moi, si je voulais. Si je n'acceptais pas ce deal, je devrais laisser tomber. Ça tombait bien, je voulais ! Elle m'a donc présenté José. C'est un garçon plus baraqué que moi, grand, costaud, mais quand j'avais questionné Audrey en aparté, elle m'avait dit qu'elle me trouvait plus mignon que lui ! :) J'en avais déduit que j'avais des chances auprès d'Audrey…... Emilie baisait déjà avec José quand Audrey s'est laissé sauter par lui sans que ça pose de problèmes ni aux uns ni aux autres.

 

C'est comme ça qu'a commencé notre relation à trois. Émilie ne voulait pas faire de trio, elle nous voulait séparément…… Au moins au début. Un jour, on en discutait et, comme boutade, je lui ai lancé que j'aimerais, pour mon dix-huitième anniversaire, la voir faire l'amour avec José !

 

« Et tant qu'on y est, me faire sodomiser par lui! T'exagères ! »

« Pourquoi, il t'a jamais sodomisée ? »

« Si, bien sur ! »

« Et pourquoi tu ne me l'as jamais proposé à moi ? On n'en a jamais parlé. Allez, Émilie, je serai discret, je piquerai une bouteille de champagne chez mes parents . Tu fêteras mes dix-huit ans en te laissant faire par tes deux chéris ! Laisses-toi faire, qu'est-ce que ça changera pour toi ?  Successivement ou en même temps ?»

« Je vais réfléchir. »

 

 

En fait, elle a rapidement réfléchi puisque le lendemain elle me disait que pour mon anniversaire, on trouverait autre chose de sympa à faire…. Fin de l'histoire ! Pas de trio avec Émilie et José !

 

Mais Émilie n'est pas une fille égoïste. Cette année là, elle terminait sa formation en école d'infirmière et elle pensait à ses copines d'école…. Je connaissais déjà Audrey, sans l'avoir baisée, mais parmi ses copines proches, il y avait aussi Martine, Nadia et Anne-Hélène. Ce petit groupe se retrouvait souvent à 3, 4 ou 5 pour prendre un pot ou aller au resto ou sortir en boite….

 

Audrey et Nadia étaient ses plus proches copines. Audrey n'était pas particulièrement jolie ( Elle avait- elle a toujours – des dents de devant remarquables: ) un peu trop ) mais elle avait une chevelure dorée et surtout une poitrine superbe qui attirait les regards de tous les garçons. Deux superbes grosses oranges, bien placées et on la sentait même un peu gênée de tous ces regards ! Elle faisait un effort pour ne pas qu'on les remarque mais... difficile....:)

 

Nadia était complètement différente. C'était une fille brune, cheveux foncés, brillante en classe, paraît-il, vive et très sympa ! Physiquement, beaucoup moins bandante qu'Audrey mais aussi plus cool. Et puis Nadia avait le même âge que moi et elle m'avait déjà proposé de fêter nos dix-huit ans ensemble en faisant une teuf dans la maison de ses parents qui lui prêteraient volontiers. Je vivais avec mes parents en appartement et je ne pouvais rien y organiser !

 

Je ne connaissais pas de copains à Nadia mais Emilie m'avait dit qu'elle s'était faite larguer par son copain, Marc, quelques mois auparavant et qu'elle commençait à languir....

 

J'étais prêt à servir de copain à Audrey mais je me demandais comment faire pour y arriver. Et puis, un jour qu'on était à la plage avec Audrey, je sortais de l'eau pour m'allonger à côté d'elles et j'ai surpris un bout de conversation, un morceau de phrase, quelque chose comme : « Ça y est, c'est bon avec José ! ». J'ai eu tort, c'est vrai, de vouloir savoir ce qui était bon. Elles ont brutalement changé de conversation… Je n'ai pas insisté….

Mais quand Audrey a dû partir….. C'est Émilie elle-même qui a lancé le sujet en souriant :

 

« Alors, mon petit coquin est curieux ? »

« Excuses-moi, je n'aurais pas dû ! » Mais j'avais quand même vraiment envie de savoir….

« Ça fait plusieurs mois qu'Audrey me dit avoir envie de José. Elle voulait que je serve d'entremetteuse….  Et donc, hier, elle lui a ouvert ses cuisses et José ne s'est pas fait prier pour s'y engouffrer, apparemment par tous les trous disponibles !»:)

« Mais toi et José ? »

« Moi et José ? Je reste prioritaire mais il ne déteste pas baiser mes copines ! » :) J'espère que je suis aussi prioritaire pour toi. »

« Tu sais bien que je n'ai que toi comme copine ! »:)

« Tu le regrettes ? »

« Non, pas du tout. »

« Mais si ! Je suis sure que tu as envie de te faire une de mes amies, j'en suis sure !  Et j'en connais de mes amies qui t'ouvriraient leurs cuisses ! Tu connais Nadia ?»

« Arrêtes, tu me fais bander ! »

« Tu veux me baiser avant de rentrer ? »

« Quelle question ! Surtout sans capote ! »

« Moi aussi, allez, viens ! »

 

On commençait à mieux se connaître. Elle m'avait expliqué depuis un moment que José et elle avait fait le nécessaire pour ne plus avoir besoin de capotes et elle voulait que je fasse pareil. Je l'avais fait 3 semaines avant et je gardais un souvenir inoubliable la première fois où on avait fait l'amour sans le plastique.

On était parti dans les Hauts avec sa voiture et on s'était arrêté dans un coin tranquille, à la nuit tombante, surplombant St-Gilles.

Émilie était appuyée debout contre la voiture…. On s'embrassait comme des fous….. Je bandais comme pas possible en lui caressant les seins…. Elle me disait que ça lui provoquait des poussées de cyprine et que je devais lui enlever son string pour ne pas le mouiller….. J'ai sorti ses seins de son soutif et je les ai léchés pendant qu'elle me branlait doucement…. Et puis, n'en pouvant plus de me retenir et elle, je crois, un peu pareil !, elle m'a dit :

 

« Baises-moi, chéri, baises-moi doucement, dégustes-moi ! Tu sais, la première fois que je l'ai fait sans capote, c'était avec José. J'ai eu l'impression d'être dépucelée une deuxième fois et ça a été incomparablement plus agréable que la première ! Alors, je te veux en douceur et à fond…. »

 

Elle avait passé un bras autour de mon cou, puis soulevé un genou, j'ai passé un bras dessous et elle en a profité pour saisir mon sexe de sa main disponible et caresser sa fente et son clito avec mon gland. Je ne pensais pas être si proche d'une expérience aussi inoubliable…..

 

« Viens,chéri, doucement ! »

 

Je suis venu, doucement, en fermant les yeux, j'ai pénétré sa grotte humide avec mon manche qui ressentait les moindre détails de ce parcours initiatique où les sensations étaient complètement nouvelles. Jusqu'à présent, je ne connaissais rien à la façon de percevoir l'intimité de mes copines mais là j'étais vraiment, moi aussi, en train de me faire réellement dépuceler, c'est-à-dire, me faire offrir par une fille une découverte complètement folle !

 

Émilie semblait savourer la situation et quand je n'ai pas pu aller plus loin, elle a passé ses deux bras autour de mon cou et m'a dit :

 

« Soulèves-moi, je veux me planter sur ta bite, ouaiiiissss, c'est si bon !, doucement ! »

 

Je l'ai prise sous son autre genou, soulevée toujours appuyée contre la voiture et……

 

« Ne bouges pas, chéri. Regardes-moi ! Tu sais, je te sens bien. Tu me l'as fourrée comme j'aime et j'ai senti tous les détails de ta grosse bite. Je peux te raconter exactement comment elle est faite et te dire que tu vas me faire jouir ce soir ou alors je te vire définitivement de mes contacts !! »

 

On a ri mais j'étais inquiet de savoir qui de nous deux ferait jouir l'autre en premier…. J'étais tellement obsédé par le désir de cette fille que je ne sentais plus réellement mon sexe. Il était gonflé comme je n'avais jamais eu l'impression que ça puisse m'arriver et c'est elle qui a commencé à se soulever doucement et à redescendre…. Et c'est moi qui lui ai dit :

 

« Doucement, je suis limite…. »

« Mon chéri est limite ? Mais non, regardes, c'est moi qui suis limite…. »

 

Effectivement, elle a accentué son manège, accéléré progressivement ses va-et-vient jusqu'à me demander de la prendre en levrette…. Ça tombait bien, j'ai pu décompresser. On a vite étalé une couverture et l'ai prise en levrette. Elle était tellement mouillée que mes mouvements ont vite été accompagnés de « floc, floc » excitants autant pour elle que pour moi. J'avais la bite en feu quand Émilie est partie en vrille en hurlant des cochonneries et en me saisissant par les couilles pour me faire jouir sans délai ! Je crois que jamais « se sentir vidé » ou « se faire vider les couilles » n'a été une expression aussi appropriée ! Je suis longtemps resté sur elle, elle à plat ventre, plantée en elle…..

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« Hé, p'tit con, tu débandes jamais ? »

« C'est de ta faute, t'es trop bonne ! »

« C'est toi qu'est trop bon, baises-moi encore si tu veux, je suis à toi….. »

 

Sans la quitter,je me suis remis à genoux, elle aussi et je l'ai tringlée en ajoutant un doigt dans son cul jusqu'à ce qu'elle rejouisse sans retenue……

 

Elle a remis son string et on est redescendu. Elle m'a ramené chez moi, complètement chamboulé …..

 


Et donc, ce soir là, quand elle m'a demandé si je voulais la baiser sans capote avant de rentrer, ça faisait plus d'une semaine que j'avais été réellement dépucelé et on a remis ça comme si c'était la dernière fois qu'elle se faisait défoncer.

 

Avant de se séparer, je lui ai demandé :

 

« Tu vas en parler à José ? »

« Si tu me donnes ton accord. Je vais le rendre jaloux :)  »

« C'est comme tu veux. Je m'en fiche.... »

 

 

A suivre.......

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Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 17:56

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Chap 3 : PYGMALION

 

 

Cette première fois avec Émilie a été une révélation pour moi mais elle m'avait donné faim et j'avais envie quelle devienne mon Pygmalion, qu'elle m'apprenne tout ce qu'elle savait. A 20 ans elle devait en savoir plus que moi ! On s'est revu quelques jours après en compagnie de ses amies infirmières et élèves-infirmières que je commençais à connaître… Audrey, Nadia, Martine, Hélène, Claire, Sylvie, et d'autres .....

 

 

Je n'étais pas le seul garçon, tant s'en faut, puisque José était en général là. Il y avait souvent Marc qui était le copain de Nadia, d'après ce que j'avais compris. Il y avait Etienne que je connaissais depuis la 6ème et avec qui j'avais l'habitude de travailler. Lui c'était le copain d'Hélène quand elle était dispo pour lui. Etienne, c'était le garçon avec qui j'échangeais sur tout les sujets. Ca pouvait aller de maths à histoire ou bouquins en passant par le cul des filles qui n'était pas le moindre de nos sujets de préoccupation !

 

Et puis, on a refait l'amour un soir après la plage. On avait planqué la voiture quelque part dans les Hauts et étalé une couverture le long de la voiture. Je lui ai dit que j'avais envie d'elle ( ça, elle s'en était rendu compte!) mais d'elle aussi comme mon Pygmalion, que j'étais prêt à être à son écoute et que je suivrais tous ses conseils…..

 

« Chéri, tu veux que je t'apprennes à me faire jouir, rien qu'avec ta langue et, peut-être un ou deux doigts ? »

« C'est le programme de ce soir ? »

« Oui, ça te plaît ? »

« Tu crois que je vais avoir 20 sur 20 ? »

« J'espère bien ! T'as intérêt !»

 

Alors, elle s'est allongée, elle a écarté les cuisses et, prenant ma tête entre ses mains, elle l'a approchée de son sexe. Avec les autres filles, je n'avais pas imaginé aller jusque là. Je cherchais seulement à jouir dans la chatte de mes quelques partenaires et je savais comment y arriver. Là, l'odeur de son sexe m'enivrait complètement.

« Tu vois mon clito ? C'est ce que je suis en train de caresser avec mon doigt…. »

 

J'avais mon nez sur son doigt qui passait doucement sur son petit bouton, provoquant ces soupirs encore inconnus pour moi.

 

« Chéri, vas-y, remplaces mon doigt, maintenant avec ta langue….. »

 

J'essayais de deviner ce que je devais faire mais je balbutiais dans l'art du cunnilingus …..

 

« Doucement, Antoine, je dois te sentir à peine,tu dois m'effleurer mon bouton, te faire léger, léger….. Là, on dirait que tu lèches une glace et que tu ne veux rien en perdre! »

 

Elle a éclaté de rire et m'a encouragé de sa douce voix :

 

« Viens doucement, chéri, je sais que tu vas y arriver, que tu vas me faire jouir, je le sens, je le sais, sois léger, comme le papillon qui se pose sur la fleur, oui, comme ça, comme la libellule sur la rivière, oh oui,, je te sens bien, continues, oui, n'arrêtes pas, surtout ! »

 

Elle parlait de moins en moins, soupirait de plus en plus et moi j'essayais de me contrôler pour que ma langue soit le moteur de ces soupirs et bientôt de ces gémissements…… Et puis elle a écarté ses fesses avec ses deux mains. Je n'ai pas bien compris ce qu'elle voulait….

 

« Mouilles deux doigts ! »

 

J'ai alors abandonné son clito pour me sucer deux doigts….

 

« Non, pas comme ça ! Je suis mouillée où, moi, à ton avis ? Et remets ta langue là où elle était, elle y était très bien ! Mouilles deux doigts et enfonces les doucement, juste un peu, là où je t'ai montré le chemin...»

 

Elle n'avait pas l'air fâché, au contraire, elle avait l'air de s'amuser, alors j'ai glissé deux doigts en suivant sa suggestion pour les mouiller, ça n'a pas été difficile……

 

«  Oui,comme ça, retournes-les, oui, doucement, je crois que tu es au bon endroit…. Hummmmm ! C'est sacrément bon ! »

 

Et ensuite je les ai enfoncé doucement là où elle m'indiquait un chemin… Elle a de nouveau éclaté de rire et j'ai cru qu'elle se moquait de ma maladresse et de mon manque de savoir-faire.

 

« Mais non mon chéri, ça me fait rire à chaque fois et c'est tellement bon ! Maintenant, continues, je me tais, fais-moi décoller ! J'en ai envie ! »

 

Elle s'est arrêtée de parler mais ses soupirs, ses gémissements et petits cris ont bientôt repris puis à la fois à mon étonnement et à ma surprise, elle a commencé à trembler légèrement, son bassin s'est mis à vibrer, à se soulever par à coups légers d'abord puis violents au point que je n'arrivais plus à suivre son clito et elle a tout envoyé promener en disant que c'était trop bon en reprenant sa respiration comme si elle venait de courir un marathon ! Elle s'est alors redressé, ses seins pointés vers moi, transpirante….

 

« Alors, p'tit con, tu te débrouilles pas si mal, fais voir toi, maintenant ! »

 

Et avant que j'ai pu comprendre ce qui m'arrivait, j'étais sur le dos…..

 

« Fais-voir ta grosse queue que j'm'amuse un peu avec ! »

 

Elle s'est saisi à deux mains de ma bite pour mr branler et me sucer avec détermination en essayant de la mettre dans la bouche, ce qui me plaisait beaucoup même si au début, j'étais un peu gêné. J'avais l'impression de la forcer à faire quelquechose qu'elle n'avait pas envie de faire. Mais elle avait répondu en éclatant de rire, qu'elle aimait sucer le sexe des garçons. Ca l'amusait de les rendre durs ! Elle souriait tout le temps ! C'était sa façon d'être.....

 

Et puis, elle m'avait enfilé une capote XXL et s'était empalée dessus plus vite que la fois précédente avant d'entamer une danse étrangement lascive mais dont chaque mouvement tendait à ouvrir un peu plus le déversoir de mon plaisir…..

 

Elle s'est faite littéralement exploser ! Et moi avec par la même occasion ! Elle m'a épuisé, vidé mais j'étais trop bien ! Là, j'ai compris que mon plaisir avait été plus dans ce que semblait avoir ressenti cette fille que dans le fait de m'être fait vider les couilles par elle.

 

 

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Elle n'était pas vierge quand je l'ai eue mais c'était la première qui ait eu un orgasme flamboyant avec moi…. Et elle allait m'apprendre encore beaucoup de choses….. Ses caresses préférées….. Ses rythmes de montée d'orgasme….. Les positions où elle me sentait le mieux….. Les positions où elle se sentait le mieux……

 

Surtout, elle allait m'apprendre les vertus de l'écoute de l'autre, les vertus du partage, les vertus de l'attente….

 

A suivre......

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 08:43

Dimanche 11 mai:

J'ai passé une nuit épouvantable ! Je me suis réveillée vers 2h du matin avec un mal de tête pas possible et l'impression d'avoir gâché la soirée de mes amies.. Heureusement, c'est dimanche, je ne travaille pas. Ca va permettre au doliprane de faire son effet.

 

Je devrais appeler chez Hélène pour m'excuser. Elle m'a secouée, c'est vrai, mais elle n'a pas complètement tort.Je sais que je devrais mais, quand je suis comme ça, je me trouve des excuses pour ne pas le faire. J'arrive quand même vers deux heures de l'après-midi à le faire. Mais personne ne répond. Je suppose qu'ils pique-niquent tous... Comme tous les Réunionnais, le dimanche !

 

J'ai des SMS de deux copines et même d'un des autres toubibs du Centre qui me drague ouvertement... Je décide d'aller à la plage avec mes deux copines. Il fait moyennement chaud, 27 ou 28°C. En fin de journée, je ne sais plus quoi faire... Je vais m'entraîner. Je prends mes chaussures et je vais courir. A une époque, c'était un plaisir. Courir, marcher, marcher en montagne, courir en montagne.. Avec mon connard d'ex, on se débrouillait bien. J'ai beaucoup perdu.

 

Aujourd'hui, je viens de courir une heure, j'ai presque fini en rampant. Je devrais m'y remettre plus sérieusement.

 

Lundi 12 mai:

Je me suis réveillée vers 6 h. J'avais chaud. Je me suis mise nue dans le lit. Pas de bruit dans l'immeuble.
Je commence à me caresser de manière inconsciente, pensant à ma dernière fois avec…. Je n'ose même pas penser à ma dernière fois avec ce connard. Ca fait plus d'un an !

 

Vers 9h je commence mes consultations. J'adore mon métier qui me permet de mettre de côté mes problèmes perso. Et puis, ça me met en face de personnes qui ont parfois des problèmes bien plus graves que les miens.

 

A la pause de midi, la secrétaire me dit que quelqu'un m'a demandé et a finalement pris un rendez-vous pour une visite. Je demande qui c'est.... et pour quand c'est ?

 

« C'est Madame Corinne E...., elle vient jeudi à 10h. »

« OK, très bien. Elle n'a pas dit pourquoi ? »

« Non, elle voulait vous parler... »

« D'accord ! »

 

L'après-midi est cool. Pas de gros bobos, pas de diagnostics hésitant ou de gens à envoyer d'urgence.... aux Urgences !

 

Quand je sors à 19h30, il fait nuit... Je décide de me faire une ½ heure de footing rapide vers l'Ermitage. Heureusement qu'il y a plein d'itinéraires bien éclairés. Quand je rentre chez moi, j'ai un message d'Emilie ( une copine ) qui me proposait d'aller au ciné.... Trop tard ! Et là, je suis crevée !

 


Mercredi 14 mai:

Journée normale.... Je décale quelques rendez-vous de fin de journée pour pouvoir courir et aller au ciné  avec Emilie! 


Jeudi 15 mai:

Corinne arrive un peu en avance au cabinet médical pour son rendez-vous de 10h. Je la fait entrer. Corinne est vraiment ce qu'on appelle une « belle femme ». BCBG, beau cul, belle gueule, mais ça, je ne lui dis pas comme ça !

 

« Tu sais, je m'en veux pour samedi dernier mais, bon, il y a des moments ù je ne vais pas très bien ! . J'ai essayé de vous appeler mais j'ai l'impression que vous étiez bien occupées, Hélène et toi . »

«   Bon, tu sais, Cathy, on a toutes nos problèmes. Ne t'imagines pas, parce que tu as des problèmes, que les autres n'en ont pas. Tu sais, moi, les parties de jambes en l'air avec mon mari, comme tu disais l'autre soir, ça fait un moment que j'ai du trouver d' autres solutions
« Tu as raison mais l'autre soir, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je m'en excuse encore. Mieux vaut en rester là, non ? Au fait, tu es venue pour quoi?
« Pour te voir d'abord, j'aimerais ensuite savoir si tu voudrais faire des balades avec moi et ensuite te demander un avis médical que je ne peux pas demander à Bastien. »
« Ah oui? Lequel? »
«  Eh bien, lors de ma dernière mammo, il y a 4 mois, c'était pas clair. J'avais d'abord un truc, tout petit  et après recherche de confirmation, il n'y avait plus rien. »
«  Tu veux quoi? Une palpation et que je te donne un avis? »
«  J'aimerais bien. »
« D'accord, enlèves ton soutien-gorge. »
«  Bien sur. »
«  Et mets bien les bras le long du corps. Respire bien. »


Je fais alors ce que j'ai à faire et il faut bien que je lui masse et lui palpe les seins. Mais je constate qu'elle ne peut s' empêcher qu'ils durcissent un peu...

« Ils réagissent bien, on dirait. »

Ca la fait rougir un peu.

 

« Oui, je sais ! »

«  Mets les bras derrière la tête. Ils sont parfaits tes seins. Même parfaitement érectiles. Tu vois? J'aimerais avoir les mêmes... »

Je passe mes doigts sur le bout de ses seins. Peut-être plus que nécessaire..... Agréable... Hummm...


« Tétons érectiles? »

 

Elle cherche à détourner la conversation..


«  Pour ce que je peux en apprécier, ils ont l'air très mignons les tieins. »

« Oui mais j'aimerais avoir les tiens. Tu fais combien? Un grand C? Entre C et D, 90? 95?

«  95C ou D, ca dépend. »
«  Moi, 85 B et puis surtout pas assez palpés...., lui dis-je en rigolant.... »
«  Je peux m'en occuper si tu veux... »
«  Comment ça? »
«  Non, je dis n'importe quoi. »

« Pas forcément...... »

« Par contre, je voulais te demander si tu m'accompagnerais en rando quelque part la semaine prochaine? Jeudi ou vendredi? Tu pourrais te libérer? Ca te dirait? »
« Oui pourquoi pas? On se rappelle? Tiens mon portable perso. »

Une fois Corinne partie, je m epose vraiment quelques questions. Elle vient me voir pour un motif médical bidon. Elle a des seins parfaits sur l eplan médical et qui régissent très bien à la première caresse.... Elle vient parce qu'elle s'interesse à moi ? Sur quel plan ? En fait, c'est plutôt sympa quand même, je devrais être contente. Et puis, c'est une bonne idée cette ballade en montagne... Pourquoi pas ?

Mais elle a quand même dit, je ne l'ai pas rêvé, qu'elle s'occuperait volontiers de mon 85B... Je n'ai jamais laissé une femme s'en occuper..... de mon 85B ! J'aurais peut-être dû ! J'aurais peut-être dû essayer.... Qui sait ?

 

A suivre........

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 08:17

 

Mon histoire...

 

 

Introduction :

 

 

IMG 04210 Je m'appelle Cathy. J'ai aujourd'hui 30 ans. Je suis ce qu'on appelle une jolie blonde. 1M75, 52 KGS, 85B. Même si la photo est floutée...... Une grande blonde.... Quelques ancêtres holandais, peut-être.... Je suis baisable, hein ? Je suis sportive, j'adore courir et avec mon mari nous faisions beaucoup de courses en montagne. A La Réunion, tout le monde courre !

Je suis installée comme médecin à La Réunion. La Réunion, je trouve ça fabuleux, aujourd'hui, mais ça n'a pas toujours été le cas. Je suis arrivée ici il y a quatre ans avec mon mari, médecin également. On s'adorait et on avait fait le pari de vivre au soleil même si c'était loin de nos familles. On était jeune, 26 ans. On débutait, on s'aimait, on baisait, partout, dans toutes les positions, dans tous les endroits, par tous les temps..... surtout quand on restait enfermé en cas de cyclone !

 

Mais ça ne suffisait pas à mon mari ! J'ai commencé à avoir des doutes quand j'ai constaté qu'une de ses patientes, une jolie métisse avec des seins plus attrayants que les miens, lui rendait visite plus fréquemment que normal au cabinet.... J'ai surveillé le manège plusieurs semaines et, un jour, n'y tenant plus, dès que je l'ai vue entrer dans son cabinet, j'ai attendu dix minutes et je me suis approchée discrètement de la porte. Là, très rapidement, j'ai compris comment il était en train de l'ausculter !

 

Ce n'est pas avec un spéculum mais avec sa grosse queue qu'il lui explorait le vagin ! J'ai jamais joui avec un spéculum !

 

J'ai eu du mal à finir ma journée..... Ca faisait huit ans qu'on était ensemble. Le soir je lui ai demandé confirmation qu'il la baisait bien. Le lendemain, il quittait la maison et un mois après, il rentrait en métropole. Divorce lancé !

 

J'ai très mal supporté la chose. J'ai tenu le coup avec quelques comprimés, je me renfermait sur moi-même, je refusait les contacts des hommes, j'ai arrêté de courir, mais j'avais quelques amis à St-Paul comme Hélène....

 

Hélène est à La Réunion depuis bien plus longtemps que nous. Hélène et Bastien sont des gens avec qui nous avons été en relation dès notre arrivée et je n'ai pas cessé d'être en relation et qui m'ont beaucoup soutenue. J'étais tout le temps invitée chez eux et on y rencontrait souvent des gens sympas.

 

C'est comme ça que j'ai connu Corinne, c'était en 2013. Juste avant ma rupture. Corinne venait régulièrement de métropole voir sa cousine Hélène, accompagnée de son mari.

 

Corinne est une femme d'environ 45 ans. Une belle brune bien conservée, BCBG, élégante, un peu plus petite que moi, un peu plus ronde avec des seins dont j'ai tout de suite été jalouse. Elle travaille dans l'immobilier du côté de Genève. Elle est également assez sportive et, même si elle ne court pas aussi vite que moi, elle grimpe et on a pu faire le Piton des Neiges et La Fournaise sans problème.

 

Et puis Corinne est repartie avec son mari. Et puis, ma rupture, ma mini déprime, etc.... Les mois passaient, j'assurais fièrement ma mission au centre médical mais ma vie personnelle, ma vie amoureuse, ma vie sexuelle : point mort ! Je me masturbais de temps en temps mais j'ai jeté tous les godes que mon mari m'avait acheté !

 

Et puis, un jour, Hélène m'a dit que Corinne allait revenir, seule, cette fois-ci. Moi, j'en étais contente mais finalement, pas plus que ça !

 

« Elle arrive dans trois jours et on a décidé d'aller, le soir de son arrivée dîner entre filles, avec toi. Allez, viens ! »

 


Je me suis laissée convaincre et trois jours après, c'était donc le

 

 

Samedi 10 mai 2014:


19h30:
J' arrive comme convenu vers 19h30 au Manta... Hélène et Corinne sont déjà là en train de déguster un punch coco,. J'en commande un tout de suite et on s'installe pour dîner.

 


- Oh Cathy, je suis si heureuse de te revoir!
- Moi aussi, tu sais! Et la famille, le mari, les enfants?
- Ecoutes , aux dernières nouvelles, tout allait bien...... Elles datent de quelques heures....

La conversation s'engage de façon plutôt sympathique, Le punch coco est délicieux... comme toujours ici.

Corinne est une belle femme dans la quarantaine sûre d'elle. Elle pilote une petite entreprise d'immobilier ou quelque chose comme ça vers Lyon. Elle a des enfants grands et, si j'ai bien compris, elle est là pour trois semaines seule chez ses cousins. Bientôt, je suis l'exemple des filles et je commande une pinacolada. Je sais que je devrais faire attention, je ne tiens pas l'alcool. Si les garçons veulent bien s'amuser avec moi, ils me payent un coup à boire mais en général je suis méfiante. Là, je ne sais pas pourquoi...


Le garçon apporte notre 2ème pinacolada et la conversation revient malheureusement sur nos situations familiales, enfin, surtout la mienne et là, j'ai un peu perdu les pédales. La question de Corinne était tout à fait anodine.....

- Tout allait bien ? Pour moi, ce n'est pas tout à fait la même chose, tu sais? Mon mari s'est tiré!
- Oui, j'ai appris,  ça a du être dur à vivre, j'imagine.
- Oui le salaud! Je l'aimais, il faisait de moi ce qu'il voulait! Les yeux fermés! Et toc, elle a 22 ans! J'en ai 30! Je ne suis pourtant pas bonne à être mise à la casse!! Je suis encore baisable, non ?
- Pas si fort Cathy, non, évidemment. Qu'est-ce qu'on devrait dire, nous?!
- Ca faisait 8 ans qu'on était ensemble!
- Oui je comprends.

-Non, tu ne comprends rien , en fait ! Tu ne peux pas comprendre !

 

J'ai été très secouée par mon divorce et c'est vrai que ce soir-là, j'ai du mal à penser à autre chose. La conversation revient toujours sur mes problèmes et Hélène semble ne pas trop apprécier comment évolue la discussion qu'elle aurait voulue plus cool, pour Corinne, j'imagine, qui débarque.

 

Alors quand , au moment du dessert je redemande du punch.....


- Cathy, t'es sure que ça te fait du bien?


Là, j'ai un peu pété les plombs...

 

- Bien sur! La mère la pudeur! Tu t'en fous toi! Tu vas rentrer, ton mec va te baiser et moi mes draps sont froids ...

 

Corinne ne sais pas si c'est du lard ou du cochon, elle essaie d'intervenir.....

- Cathy....

 

- Oh toi , Corinne, c'est pareil! Tu t'en fous, pendant 3 semaines , peut-être que tu vas être seule, mais après, retour au pays et partie de jambes en l'air tous les soirs! Moi, demain, je mets ma blouse blanche et je vois des gens qui m'occupent l'esprit mais que l'esprit. J'aimerais bien que certains parfois m'occupent autre chose que l'esprit...Comme là maintenant! Tu vois le mec là-bas? J'en ferais bien ma fin de soirée!
- Chuuuuuuut! T'es pas sympa de dire ça, Cathy. Tu n'arrête pas de dire que tu voudrais des mecs mais des mecs, on t' en a présenté 4 ou 5 mais il y a toujours un détail qui cloche !

J'ai les yeux humides. Je vais me mettre mettre à pleurer si ça continue.... Je trouve Je ne me rends plus trop compte de ce que je dis. J'ai conscience des signes que me font Hélène et Corinne de parler plus bas. Je parle plus bas mais je suis un peu paf. Paf, oui, j'aimerais en avoir un là, mais, ça, je ne leur dis pas.

 

Hélène insiste pour que j'arrête de boire mais je termine ma pinacolada sans ciller . Puis le garçon, qui n'a rien compris à leur film, apporte des petits verres de rhum arrangé qu'il pose sur la table avant que mes copines aient eu eu le temps de l'arrêter. Je ne m'en laisse pas compter..... mais consciente....

- Je me sens pas très bien, je veux rentrer....

Mais à peine debout je me rassois brutalement. Je ne tiens pas debout. C'est la honte, je suis complètement pétée ! Heureusement dans ce coin du restaurant, on est les dernières.

 

Hélène nous dit:

- Allez, je vais payer et on la ramène. Elle est complètement....
- Oui, je suis paf, je sais, j'en peux plus..... Excusez-moi.

Hélène est sympa. Corinne aussi du reste. Elles se sont mises à deux pour me remonter à mon appartement... Elles m'ont déshabillée et bordée. Je m'en tiens une couche ! Je pleure mais je m'endors assez vite.


Quelle soirée!

 

 

A suivre.........

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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