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Mardi 3 mai 2 03 /05 /Mai 17:27

 

Chap 2 : ÉMILIE

 

 

 

 

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 Oui, après, j'ai connu Émilie….. Ma première vraie fille, ma première vraie femme, ma première vraie fois, ça a été Émilie, une copine de ma sœur, une jolie nana qui a trois ans de plus que moi. Une brune un peu rousse parfois aux cheveux longs, très mince, d'allure sportive.


Elle venait régulièrement à la maison pour bosser avec ma sœur et, un jour, j'ai eu l'occasion de lui demander de m'emmener en ville où elle devait faire des courses et moi voir des copains.

Emilie, c'était pour moi, une sorte de déesse mignonne, toujours souriante, avenante et j'en étais un peu amoureux sauf qu'elle avait 3 ans de plus que moi.

 

Elle était superbe dans sa robe courte, blanche, sans manches et sans bretelles. Son teint ressortait et la rendait excitante et désirable à souhait. Dans la voiture, j''essayais de la regarder le plus discrètement possible mais elle s'est vite rendu compte de mon manège. Un garçon de dix-sept ans, ça ne risque pas de manipuler une fille de 20 !

 

« Antoine, tu as quel âge ? 18 ? »

« Non, 17, 17 et demi….. »

« Tu vois, je t'en aurais donné 19 ! Tu fais plus…. Mûr…. Que ton âge ! »

« Je suppose que je dois considérer ça comme flatteur ? »

« Tu supposes peut-être juste…. »

« Toi, je ne veux pas me risquer à te donner un âge mais tu es jolie comme une fille de 20 ans ! »

 

J'avais eu le temps de me renseigner auprès de ma soeur sur son âge…..

 

« Merci » me répondit-elle avec un sourire étrange sur les lèvres...Et tu as une petite amie ? »

« Non, pas pour l'instant…. Et, tu n'es pas obligée de me répondre, toi, tu as un petit ami ? »

 

Ma sœur m'avait dit qu'elle sortait avec un certain José mais je n'en savais pas plus. Je ne voulais pas mettre la puce à l'oreille de ma sœur en montrant trop d'intérêt pour Émilie !

 

« Non, moi non plus, je n'ai personne mais ce n'est pas grave, tu sais, ça viendra, pour toi comme pour moi ! »

« J'aimerais bien avoir une copine qui te ressemble, tu sais ? »

« T'es gentil ! »

 

Et puis la conversation s'est arrêtée là, c'était le moment pour moi de descendre de voiture. On s'est embrassé sur la joue mais j'ai eu l'impression que ses lèvres frôlaient les miennes…

 

« Tu crois qu'on pourrait prendre un pot ensemble ? »

« Si tu en as envie, oui, pourquoi pas. Pas demain, après-demain, en fin de journée, à la sortie de l'École, vers 18h ? »

« OK, Émilie, j'y serai, sans faute ! »

 

A cette époque, Émilie terminait ses études d'infirmière et je suis donc allé comme convenu, la récupérer à la sortie de son école. Elle en sortait accompagnée de plusieurs de ses amies et on est allé prendre un pot avec deux d'entre elles….. Elle m'a présenté comme « un ami ». Je commençais à espérer qu'un jour ce serait comme « mon ami » mais je rêvais, peut-être. En tout cas, la conversation était très facile et ses amies, sympas comme tout et mignonnes ce qui ne gâchait rien. Quand elles nous ont quitté, on a fait un bout de chemin ensemble….

 

« Alors, Antoine, elles te plaisent mes copines ? »

« Elles sont sympas et mignonnes, de surcroît ! »

« Elles ont dix-neuf ans et elles ne demandent qu'à sortir avec un garçon comme toi ! »

 

Alors, je ne sais pas ce qui m'a pris mais je me suis retourné face à Émilie…

 

« Émilie, moi c'est avec une fille comme toi que je veux sortir…. ! C'est avec toi ! Tu ne comprends pas ?»

 

Sur le moment elle n'a rien dit….

 

« Tu veux qu'on se revoie, Antoine ? »

« T'en poses des questions ? C'est comme demander à un aveugle s'il veut voir…. »

« Je te rappelle ! »

« T'as mon n° ? »

« T'inquiètes, je me débrouillerai. Si je le veux, je le trouverai….. » Elle est partie en me faisant un clin d'oeil et un sourire…. prometteur.

 

Effectivement, quelques jours après elle me téléphonait, on s'est revu, on est allé au ciné avec d'autres de ses copines. Et puis, on est allé à la plage…. On sortait ensemble mais pas encore exactement comme je l'aurais souhaité et elle le savait très bien. J'attendais qu'elle prenne une initiative mais ça ne venait pas. En ma présence, elle ne parlait pas de José et faisait comme s'il n'existait pas....

 

Et puis, une fin d' après-midi de plage, il allait bientôt faire nuit, ses copines rentraient l'une après l'autre chez elles. Contrairement à son habitude, Émilie ne semblait pas du tout pressée de quitter la plage. Après l'habituel superbe coucher de soleil, il s'est rapidement mis à faire nuit, une nuit sombre, sans lune…. La plage de La Saline était quasi déserte…. Elle m'a proposé de marcher un peu avant de rentrer…. Puis :

 

« J'ai envie d'un dernier plouf, pas toi ? »

 

Elle s'est approché de moi, a posé son sac de plage, m'a embrassé, a enlevé complètement son maillot de bain et a foncé dans l'eau ! Quand elle est ressortie, nue et brillante, elle était parfaitement désirable et bandante, ce qu'elle a remarqué tout de suite ! Elle s'est collée à moi et là je l'ai serrée dans mes bras et elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte combien j'avais envie d'elle. Sa main est descendue sur mon ventre, puis sur mon maillot de bain qu'elle n'avait jamais caressé puis doucement dans mon maillot de bain. Elle l'a baissé à mi-cuisse, a commencé à me branler doucement et, tout à coup, elle se recule et me regarde de haut en bas en souriant d'un air un peu moqueur :

 

«Woahhhh ! C'est beau, ça ! »

 

Moi, je ne sais pas où me mettre et j'ai le réflexe con de mettre mes mains devant mon sexe …..

 

« Antoine, te casse pas la tête, on voit tout, t'as une belle bite, tu sais ! »

 

Fou rire, je rougis mais de nuit, un black qui rougit, ça ne se remarque pas ! Elle revient dans mes bras frotter son ventre sur mon sexe :

 

« Antoine, t'as envie de moi ? Tu viens ? J'ai ce qu'il faut ? »

Vu la taille qu'avait pris mon engin, je ne pouvais pas nier que elle seule pourrait le ramener à une taille raisonnable ;)


« Tu veux aller où ? »

« Je ne sais pas, on va voir. Je me rhabille un peu... »

 

Elle remet son maillot, sort une grande serviette qu'elle me passe autour de la taille…. Mon sexe continue à faire une grosse bosse qu'elle touche gentiment avant de me prendre par la main. On prend la direction de ces passages qui, de la plage conduisent en 50 m à la grande avenue où est garée sa voiture.

 

Dix minutes après, on était derrière le Jardin d'Eden, dans des fourrés confortables, nattes et serviettes étalées, ma bite dans sa main et moi suçant ses bouts de seins pour commencer. Et puis elle a sorti une capote grande taille.

 

« C'est la taille habituelle de tes amants ? »

 

Elle n'a pas répondu et me l'a mise avant de s'empaler dessus. On a baisé comme des bêtes et elle a joui, m'a-t-il semblé avant que je ne me déverse dans le plastique….

 

Quand on a eu fini, elle m'a demandé :

 

« Dis-moi, Antoine, tu sais, je ne suis plus vierge depuis longtemps ? »

« Je m'en fiche, tu sais ! »

« Et toi ? Tu as déjà fait souvent l'amour mon petit chéri ? Tu t'es fait souvent sucer ? »

« Non, pas vraiment ! »

« Faut dire que t'es pas facile à sucer. Faut avoir une grande bouche ! Et t'as déjà léché des chattes ?»

« Hein ? »

« Lécher une chatte ? Tu l'as jamais fait ? »

« Ben non, tu veux que j'essaie ? »

« Bien sur que tu vas essayer ! Mais pas ce soir. »

 

On est rentré chacun chez nous.

Ce soir-là, j'ai repensé longuement à Émilie, à ce qui pourrait se passer la prochaine fois qu'on ferait l'amour.

 

A suivre…...

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Samedi 23 avril 6 23 /04 /Avr 08:26

 

Chap 1 : TRIPLE SAUT

 

 

 

Je suis black, né en 1996…. Un black ? Oui, ici, à La Réunion, tout le monde est un peu black, un peu blanc, un peu jaune ou gris ou bleu….. Je ne suis pas plus mauvais qu'un autre garçon de 20 ans, j'ai les mêmes peurs et les mêmes désirs. Je suis étudiant et je viens d'un coin un peu défavorisé de St-Denis, le St-Denis de La Réunion, pas celui du 9_3 ! Mais ça pourrait être pareil !

 

J'ai 20 ans et à 20 ans qu'est-ce qu'on aime ? Vous avez deviné ? Avoir un avenir mais surtout avoir des des nanas ! Et je dois dire que, aujourd'hui, je m'en sors pas mal. On me dit plutôt beau gosse et sympa. Et les filles qui m'ont essayé ne se plaignent pas. J'aime les baiser et les faire hurler mais pas de douleur ! Et le plaisir que j'y prends, c'est elles qui me le donnent et j'ai appris à les en remercier !

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J'avais pourtant mal commencé avec les filles. Avec la première que j'ai approchée au collège, j'avais quatorze ans, elle, quinze, on s'était embrassé aux toilettes. Je n'y connaissais rien aux filles à part les conneries qu'on peut se raconter entre garçons et le fait qu'il fallait que je mette au chaud ma tige bien raide quelque part entre leurs cuisses ! Je lui avais caressé ses petits seins naissants et elle avait trouvé le chemin de ma braguette gonflée et dure comme à chaque fois que j'approchais une fille d'un peu près…. Tout se présentait assez bien…. Et puis, je ne sais pas jusqu'où on serait allé, mais elle m'a demandé si j'avais pris de quoi se protéger… J'ai demandé se protéger de quoi…. Alors elle m'a planté là, se rappelant tout d'un coup qu'elle avait un cours cinq minutes après, non sans m'avoir traité de petit con ! Je me suis effectivement retrouvé là raide comme un manche avec l'air plutôt con !

 

La deuxième, j'étais au lycée, nous avions tous les deux seize ans. C'était une métisse indienne très jolie, mince, un teint de porcelaine, mat, légèrement foncé et qui l'avait déjà fait, ce qui, d'un côté, me rassurait un peu. J'étais amoureux d'elle. Elle m'avait dit avec un air coquin : 

 

« Si tu veux le faire avec moi, on doit se protéger, j'apporterai ce qu'il faut ! Mais soit un peu patient, je te dirai quand tu peux venir...».

 

Alors, un jour que ses parents n'étaient pas là, on est allé dans leur garage et on a commencé à se caresser debout, je l'ai prise dans mes bras et j'ai passé ma main dans son dos. Ma main, en descendant, a accroché quelque chose….

 

« Ca, c'est mon soutif, tu peux le dégrafer, tu sais ! »

 

A peine avait-elle dit ça que je me suis mis à bander au point que je me sentais gêné et espérais qu'elle ne s'en rendrait pas compte. Elle a fait mine de ne pas le remarquer mais son sourire montrait le contraire….

 

« Tu l'as jamais fait ?  C'est vrai ?»

 

J'ai bafouillé quelque chose mais elle avait parfaitement compris. J'ai un peu bataillé pour défaire cette putain d'agrafe… et elle a pris ma main…

 

« Détends-toi, Antoine, je veux juste me caresser avec... »

 

Elle a passé ma main sous son soutif…. Dans mon pantalon, le Piton de la Fournaise se réveillait…. Pourvu qu'il attende avant de cracher !! Et puis elle a glissé mon autre main dans sa petite culotte, je tremblais d'angoisse, je passais mes doigts sur sa touffe, elle était mouillée, je bandais comme je n'imaginais jamais pouvoir le faire, je ne contrôlais rien.

 

« T'as senti comme je mouille ? »

On s'est embrassé de longues minutes et puis elle s'est mise à genoux et m'a demandé :

 

« Je peux y aller ? »

 

Je l'y ai encouragée. Elle a bataillé dur pour baisser mon pantalon et en extraire ma queue et quand elle l'a vue, elle m'a dit : 

 

« Mais… C'est pas possible !?  Je vais jamais y arriver !? T'es trop gros ! Je ne vais jamais arriver à le mettre en bouche ! Woahhhhhh ! Au fait, tas des capotes ?»

 

J'ai failli pleurer. Je n'en avais pas .

 

« J'en ai, moi, mais ça va jamais le faire ! »

 

On a essayé de mettre le premier préservatif. On a éclaté de rire. Moi, j'étais un peu gêné. Mais on a aussi éclaté le préservatif. Le deuxième, j'étais serré comme pas possible. Ce n'est pas que j'étouffais, c'était pire que si j'étouffais….. Dire que j'avais la bonne taille chez moi ! Elle m'a présenté son cul, elle s'est emparée de ma queue entre ses jambes et se l'est difficilement introduite dans sa chatte. Mais finalement, de son côté, ça avait l'air d'aller, elle me disait qu'elle aimait et de continuer mais j'ai fini par lui dire que j'étais tellement mal que je voulais l'enlever. Elle m'a dit qu'elle n'avait fait que trois mecs mais j'étais le premier à lui dire être mal dans sa chatte !

 

Elle a proposé de me finir avec sa main. Me faire branler par une fille ? Je ne savais pas quoi faire…. Je l'ai laissée faire…. Elle n'avait pas encore beaucoup d'expérience mais qu'est-ce qu'elle branlait bien ! Avant, pendant et après !!

 

La troisième fille a été la bonne. Une black de terminale, plantureuse à souhait…. J'avais dix-sept ans… On en avait envie tous les deux, j'avais la bonne taille de capote. Et tout est allé très vite et bien… On est parti à vélo à quelques kilomètres de La Saline, et on s'est trouvé un endroit tranquille. Elle aussi avait plus d'expérience que moi et quand elle a pris difficilement mon gland dans sa bouche, j'ai été un peu surpris, je n'aurais pas osé lui demander, mais c'était tellement bon que quand elle a attiré ma tête entre ses cuisses en me disant :

 

« Lèches-moi ! »

 

Je me suis exécuté et j'ai essayé de ne pas être ridicule mais c'était la première fois que j'approchais aussi près du sexe d'une fille…. J'ai glissé ma langue où j'ai pu et je me suis orienté en fonction des soupirs que j'entendais. Elle m'a finalement dit que je devais y aller et quand elle m'a montré ses fesses en les écartant avec ses mains, j'ai compris ce que je devais faire.

 

« Allez, mets-la moi, chéri ! Bien profond ! »

 

Elle était vulgairement excitante et ça me plaisait ! Est-ce qu'elle a fait semblant de jouir, je n'en sais trop rien mais toujours est-il qu'elle m'a complètement vidé les couilles dans la foulée !

 

Je n'étais plus puceau !

 

Mais après, j'ai connu Émilie……

 

A suivre…..

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 09:33

Bonsoir Coco,

 

Tu as vu ?

Tu as vu comment j'ai bien soigné Jean-Luc ?

Remarques, je lui ai donné rendez-vous vers 19h30 à mon cabinet, comme ça, j'étais sure qu'il serait mon dernier patient. Il m'avait prévenue qu'il avait un truc qui demanderait une consultation probablement beaucoup plus longue que la moyenne de mes patients. Au moins en fin de journée, pas de souci.

Oui, tu as vu. Pour ça, skype c'est bien ! ;) Tu es arrivée un peu sur la fin mais tu as vu l'essentiel.

 

Lla première chose qu'il m'a dite quand je lui ai demandé ce qui se passait, c'est qu'en entendant ma voix au téléphone, il s'était retrouvé avec une excroissance « énorrme », qu'il avait beau faire, il n'arrivait pas à la réduire et qu'il pensait que seule une toubib comme moi pourrait le soigner.

 

Alors, quand il est arrivé, je lui ai proposé de s'allonger sur la table d'auscultation…

 

« Déshabilles-toi. Tu peux garder tes chaussettes ! » C'est ce que j'ai l'habitude de dire à mes patients mais je vais changer ma formule car c'est ce qu'il a fait….. Au sens propre du terme.

 

Effectivement, il n'a gardé que ses chaussettes et j'ai pu voir qu'il avait bien un truc énorme. Bon, ce n'est pas la première fois que le lui voyait mais là, il était particulièrement bien formé, bien cylindrique, bien long, bien coloré et ça avait l'air tellement raide !! Je ne voyais qu'une seule solution à mettre en œuvre pour y remédier de suite.

 

Je lui ai pris sa tension mais Jean-Luc a une tension excellente. Il est hypertendu seulement là où il doit l'être et là, rien à redire !

 

Ensuite, je me suis dit que la seule façon de traiter ce genre de maladie, pas très grave finalement, c'était de pousser le bouchon le plus loin possible jusqu'au feu d'artifice final marquant le début de la retraite….. Là, j'ai dû payer de ma personne, comme tu as pu voir, mais qu'est-ce que je ne ferais pas pour mes patients……. J'ai dû utiliser tous mes outils personnels pour avancer….. Ma langue, mes doigts, mes mains, mes seins, mes lèvres et j'ai même dû me résoudre à mettre au chaud son truc dans un endroit que je réserve vraiment aux cas qui me sont les plus chers. Mais je n'ai pas eu à me plaindre et je crois même y avoir pris du plaisir…. Tu confirmes, hein, je crois ?Et que lui aussi a dû en prendre parce que, tu as vu, après quelques (longues) minutes, tout est redevenu normal….

 

Finalement, je ne lui ai pas fait payer la consultation…… Si je devais faire payer la consultation à chaque fois que je soigne un homme pour érection persistante en ma présence…..

 

Bises à ta chatte, Corinne…..

 

Cathy

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 18:16

 

 

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Jeudi 7 janvier 2016:

 

Journée tranquille en perspective avec mes cousins qui ont pris des RTT . En tout cas jusque vers 18h.

Puis Cathy passe me prendre à 18h pour aller voir le coucher de soleil sur la plage de La Saline. Elle joue bien son rôle en disant qu'on part toutes les deux dans le sud retrouver Matthieu. Je n'ai pas l'impression qu'Hélène soit dupe mais ce n'est pas grave !

 

 

Jean-Luc a réservé à 20h à La Marmite. On papote longuement sur la plage en attendant de l'y retrouver. Cathy me dit plusieurs fois qu'elle va réellement aller retrouver Matthieu à St-Pierre pendant que Jean-Luc me sortira à St-Denis. Je ne lui dis surtout pas que Jean-Luc a d'autres projets pour moi . Elle n'a pas besoin de le savoir. De toutes façons, je ne sais pas grand-chose des projets précis de Jean-Luc si ce n'est qu'on va retrouver quelque part des gens que je connais ou dont j'ai entendu parler pour se faire très plaisir ensemble.

 

Jean-Luc arrive juste à l'heure pour passer à table. Super cuisine de buffets de cuisine créole…. Cathy essaie de savoir où Jean-Luc compte aller mais celui-ci reste très évasif…… ce qui n'empêche pas le repas de se passer très agréablement. Quelques clins d'oeil avec Cathy, on se partage le même homme qui nous regarde avec fierté, je crois….

 

En se penchant vers nous pour rester discret :

 

« Je suis fier d'avoir à ma table les deux plus jolies femmes de La Réunion….. et dans mon lit aussi :) . Mais jamais ensemble... »

 

Cathy me fait un clin d'oeil… Dois-je comprendre que c'est un appel du pied pour un trio prochain ?

Je ne sais pas.

 

On se sépare vers 21h30 et je monte dans la voiture de Jean-Luc. On prend la route des Tamarins en direction de St-Denis et il me donne aussitôt une paire de lunettes qui équivaut finalement à un bandeau. Je vois au travers des formes troubles. Comme on l'avait convenu ensemble, je pourrai les enlever une fois les présentations faites, ou bien les garder, mais pas avant.

 

« Au fait, on va être combien, finalement ? »

« Normalement, on va être huit. »

« Ah non, ce n'est pas ce qu'on avait dit ! Je ne prends pas sept hommes, tu es fou ! »

« T'inquiètes pas, il y aura quatre hommes et quatre femmes, dont toi, c'est équilibré, non ? Quatre hommes dont moi. Thomas....»

« Ah, le Thomas chez qui on est allé l'autre jour ? Le Thomas à Linda ? Linda que je ne connais pas encore ? »

« C'est ça, oui ! »

« Je préfères !  Et les autres ? Je les connais ? »

« Tu verras bien mais rassures-toi, la vedette c'est toi ! » Rires.

 

 

 

On commence assez vite à monter. Les virages s'enchaînent, serrés. Je n'ai pas entendu le bruit caractéristique du passage sur le pont de la rivière des Galets. J'en conclus qu'on monte probablement vers le Maïdo, à deux contre un ! Je ne dis rien à Jean-Luc sauf que ses lunettes me gênent un peu.

 

« Je peux enlever mes lunettes ? C'est grave si je sais où on va ? On va vers le Maïdo, non ? »

« D'accord mais tu les remets quand j'arrête la voiture ? Il y a un peu de chemin à pied mais je te guiderai. »

« Si tu veux ! Ma robe te plaît ?»

« Oui, bien sur, surtout que je sais comment elle s'enlève… et ce que tu as dessous. Je te baiserais bien là tout de suite…. Mais on est déjà à la bourre ! »

« C'est pas vrai, c'est seulement parce que tu n'as pas envie de moi, c'est tout ! »

« Me provoques pas, tu veux ? Au fait, tu sais ? Il va y avoir des jeux... »

« Coquins ? Oui, parles-moi un peu du programme... »

« Oui, d'abord les présentations. Les présents seront autour de la table, tu passeras avec moi et il déclineront leur identité et te diront un petit mot d'accueil. Ensuite on partagera le punch de l'amitié préparé par l'une de ces dames. Ensuite tu choisiras ton premier partenaire et tu désigneras les partenaires des autres dames… Sympa, non ? »

« Tout ça à l'aveugle ? »

« Oui, mais tu pourras caresser tes partenaires pour mieux les choisir…. »

« De haut en bas ? »

« Oui, de haut en bas. »

« Vraiment ? Hummmm ! »

« Et puis, je pensais à corser un peu la difficulté. »

« Ah oui ? Comment ? »

« Je pensais tirer à pile ou face Hommes ou Femmes. Et les gagnants auraient les poignets attachés souples dans le dos. T'en penses quoi ? »

« Ah oui ! Génial ! Mais il faut qu'ils soient assez libres quand même…. »

« Oui, faut voir ! »

 

Le temps de préciser quelques détails, nous voici arrivés à l'endroit où garer la voiture. On est bien presqu'en haut du Maïdo, avec une vue splendide sur la côte ouest, presque 2000 mètres plus bas. Je la connais par cœur, cette vue que je ne peux pas admirer ce soir. Il fait frais mais une fraîcheur agréable qui change de la moiteur de cet été tropical ressentie en bas. A une quarantaine de mètres un kiosque de pique-nique. Activité favorite des réunionnais le dimanche. Mais là il s'apprête à accueillir un autre type d'activité. :)

 

Le kiosque est même partiellement bâché, pour se protéger du vent ? Peut-être, des regards indiscrets ? Bof, personne ne vient ici la nuit. Quand on approche du kiosque, on commence à entendre de la musique, musique d'ambiance dansante, musique réunionnaise, musique créole… sympa, cool… J'ai quand même un peu l'angoisse…. Jean-Luc me demande de remettre mes lunettes brouillantes. Il me tient la main quand on arrive au kiosque et on est alors accueilli par des remarques cool du type : 

 

« Vous vous êtes arrêtés en cours de route ? » 

« On allait commencer sans vous ! »

« Bonjour Corinne, bienvenue parmi nous ! »

« On savait que Jean-Luc savait choisir ses amies mais, là, bravo ! »

 

Des commentaires sympas. Puis Jean-Luc a déclaré :

 

« Mes amis, je vous présente Corinne qui aimerait repartir en Métropole avec de très bons souvenirs de la Réunion et en particulier des Réunionnais ! »

Applaudissements……

 

« Et des Réunionnaises, bien sûr aussi, pourquoi pas ! »

 

Autres applaudissements !Tout ça se présente pas trop mal. Avec mes lunettes, je ne distingue que des personnes qui bouge, je devine juste des couleurs de peau, des couleurs de cheveux… Et quand Jean-Luc demande aux présents de se préparer pour le tour de table, il y a beaucoup d'agitation mais ce que je comprends, c'est que Jean-Luc vient de m'enlever ma robe paréo et que je n'ai plus que mes dessous…

 

« Ne t'inquiètes, ça va être la même tenue pour tout le monde. Et tout le monde va voir que je bande déjà pour toi ! »

« Arrêtes ! »

 

« Bonjour Corinne, moi c'est Emilie. Bienvenue et j'espère qu'on va bien s'amuser ensemble... »

Elle me passe les mains rapidement sur le visage et sur les seins….Je fais pareil. Manière de faire connaissance. Caresses de femme.

« Bonjour Emilie. Si tu es l'Emilie dont j'ai entendu parler, tu es celle aux trois jeunes amis fidèles du Blue Diamond….  Tu es venue avec tes amis?»

« Avec seulement deux, le troisième est malade. Mais ça devrait aller quand même... »

J'espérais que ce n'était pas José qui était malade…:)

 

« Bonjour, moi c'est Thomas, Bienvenue et j'espère qu'on va bien s'amuser ensemble... »

« Ah, Thomas, le copain de Jean-Luc, l'homme du Blue Diamond…. Celui qui baise sa femme dans les parkings et devant tout le monde... »

« Il y a un peu de ça, oui ! » Rires !

 

« Bonjour, moi c'est Linda, Bienvenue et j'espère qu'on va bien s'amuser ensemble... »

« Ah, Linda, la femme du copain de Jean-Luc, l'homme du Blue Diamond…. Celle qui se fait baiser dans les parkings et devant tout le monde... »

« Il y a un peu de ça, oui ! » Rires et caresses!

 

« Bonjour, moi c'est José, Bienvenue et j'espère qu'on va bien s'amuser ensemble... »

« Bonjour José... »

 

Là, José répond par une longue phrase en créole à laquelle je ne comprends rien mais qui fait pouffer de rire Emilie et quelqu'un d'autre…. José me caresse avec un intérêt certain. Je passe mes mains sur ses épaules puissantes, descend jusqu'à sa taille, les passe sur son ventre musclé , descend le plus bas possible,…..

« Tu peux me traduire, Emilie, ça avait l'air drôle ! »

« Je n'ose pas….  Disons qu'il souhaite que tu prennes beaucoup de plaisir ce soir ici… Il souhaite faire partie de ceux qui t'en donneront.»

« Je n'ai rien contre…. »

« Moi non plus. » répond José en faisant descendre ma main encore plus bas. C'est vrai qu'avec des lunettes, on ne voit pas le regard des autres et ça facilite les audaces.

 

Puis c'est le tour d'Antoine l'autre ami d' Emilie. Même scénario sympa.... Antoine est le benjamin de l'équipe. Il est étudiant. Il est moins baraqué que José mais quand je descends ma main très bas sur son boxer, j'ai tout de suite l'impression qu'il n'a rien à envier à José. Enfin la dernière personne, la quatrième femme de l'assemblée ….

 

« Bonjour, moi c'est l'inconnue que tu connais un peu, Bienvenue et j'espère qu'on va bien s'amuser ensemble... »

 

Là, j'ai un choc ! Cette voix… ? Je m'approche de cette femme… Dans mes lunettes floutées, je vois des cheveux blonds, je caresse ces seins, j'aime ces mains sur ma peau… je les connais !

« Putain, mais c'est pas vrai, Cathy ? Mais qu'est-ce que tu fous là !? »

 

Elle part d'un grand éclat de rire et m'explique qu'elle pense que c'est ici le meilleur endroit pour s'amuser à La Réunion, cette nuit ! Là, tout en partant d'un fou rire, je deviens vulgaire !

 

« Putain, la salope ! Elle me dit pendant tout le repas qu'elle va retrouver son mec à St-Pierre. J'aurais dû m'en douter. Tu me l'as dit 3 ou 4 fois au moins ! Je me vengerai !»

« J'espère bien ! :) Je prends ça du bon côté. Après tout, je n'ai aucune raison de ne pas vouloir Cathy ici.

 

Jean-Luc annonce alors :

 

« Punch coco pour tout le monde et Corinne va désigner les duos qui vont commencer la nuit !!! »

 

Punch coco renouvelé et petites discussions avec les uns et les autres et puis Jean-Luc :

 

« Corinne, à toi ! Annonces-nous la chacune de chacun, à toi ! »

« A moi ? Bon..... » En fait, je procède par élimination... Jean-Luc, il me baise quand il veut, il n'est pas prioritaire ce soir. Thomas, on verra plus tard.... José, je le prendrais bien pour moi.... mais je vais lui confier Cathy, na !

 

« José, je te confie.... Cathy ! » Applaudissements... «  Linda, je te confie... Jean-Luc ! » Applaudissements « Thomas, je te confie... Emilie ! » Applaudissements, et Jean-Luc :

« Eh bien ! Tu t'es réservé le benjamin, bravo ! Ne nous l'abime pas, il est fragile. Allez, punch coco et plaisir pour tous ! »

 

Jean-Luc éteint la plupart des lumières . Je ne sais pas trop où est Antoine mais je sens quelqu'un qui s'approche....

 

« C'est toi Antoine ? Je vais enlever mes lunettes. Ce n'est pas très confortable... »

 

J'enlève mes lunettes et je vois un jeune homme, pas mal du tout mais un peu perplexe... Il est en boxer, moi en soutif et string ….

 

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Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 16:49

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Ca, ce sont mes fesses!

 Mardi 5 janvier 2016:

 

J'ai un appel matinal de Cathy qui aimerait que je lui rende visite à son cabinet médical et qu'elle me prendrait en priorité si j'en avais envie. Ceci dit sans se cacher sur un ton coquin me fait comprendre qu'elle prendrait du plaisir à m'ausculter en profondeur….. et réciproquement. J'hésite pour le principe mais j'accepte… évidemment !

 

 

 

A midi moins le quart, je me pointe à son cabinet en apportant quelques samoussas et je constate que je suis bien la dernière dans la salle d'attente. Puis je vois la belle Cathy raccompagner sa dernière patiente et venir me chercher dans la salle d'attente.

 

 

« Si Madame ….. veut bien venir…:)  »

« Avec plaisir, bien sur ! Tiens, j'ai apporté ça. »

« Hummm ! J'adore. C'est pas terrible pour la ligne mais j'adore ! Ca veut dire que tu as un peu de temps à me consacrer ? »

« Tout ce que tu veux. »

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Cathy et un de ses outils :)


 

Elle me prend par la main et m'enlace pour m'embrasser presque violemment. J'adore sentir sa langue rechercher la mienne. J'adore sentir son corps de jeune femme sportive se frotter au mien. Elle est un peu plus grande que moi, elle a des seins plus petits que les miens mais plus fermes et j'adore les caresser. On achève de se déshabiller, ce qui est très rapide, juste quelques dessous. Je suis amoureuse de ce corps que je vois en face de moi et que je veux voir vibrer de plaisir….

 

Je me colle à elle et recommence ma danse du serpent en caressant et en me laissant caresser toutes les parties de mon corps. Je suis follement excitée. Elle a une peau douce, légèrement halée sauf ses seins et la place de son string.

 

« Cathy, je n'en peux plus de t'avoir si loin ! »

« Corinne, à chaque fois que je baise, je pense à toi ! C''est de ta faute ! » Et elle éclate de rire.

« Tu es superbe, tu sais ? J'ai failli ne pas te reconnaître ! »

« T'es gentille de me dire ça. En tout cas, je me sens cent fois mieux que l'année dernière. J'étais une loque déprimée quand tu m'as fait rencontrer Matthieu. Tiens, je vais te donner plein de  photos pour ton blog!

 

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Jean-Luc ne m'a pas laissé le temps de me déshabiller!!(Cathy)

 

 

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Avec Matthieu, ça peut être n'importe où!! (Cathy)

 

 

 

 

«Tu es sure? » 

«Et je ne regrette pas que tu m'aies poussée dans les bras de Jean-Luc. »

« Je ne sais pas lequel de vous deux en avait le plus envie :) »

« Je ne sais pas mais… mais… il me… il me…. »

« Il te bourre bien. N'hésites pas à le dire! :) »

« Ca c'est sûr, il me bourre bien et me fait bien bourrer par d'autres et avec lui, c'est génial ! »

« Le Diamant Bleu ? »

« Oui, le Diamant Bleu, vous en avez parlé ? Corinne, j'ai tellement envie que tu me lèches la chatte. »

 

Elle me conduit doucement vers la table d'auscultation et je l'y allonge. Elle est nue, désirable, détendue, les yeux déjà à moitié fermés. Je la fait descendre un peu sur cette table, je lui écarte les cuisses et, debout au pied de cette table, j'ai tout le loisir d'admirer ses formes parfaites, faites pour être désirées, pour être désirées, caressées, pénétrées…

 

« Tu es bien, chérie ? »

« Question stupide. » me répond-elle à voix basse, un léger sourire aux lèvres.

 

Je la caresse alors longuement de l'intérieur des cuisses jusqu'à ses seins et à son cou, en évitant soigneusement sa chatte. Je sais que ça l'excite, puisque ça m'excite, moi, de tourner autour du pot, si on peut dire, sans y toucher, en se rapprochant de plus en plus pour y concentrer un appel au plaisir de plus en plus fort. Quand je juge le moment opportun, je me penche en avant pour commencer à effleurer sa touffe très légèrement avec ma langue.

 

« Détends-toi, Cathy, penses à un bon moment passé avec Matthieu, avec Jean-Luc ou un autre... »

« J'en ai plein de bons moments…. »

« Tant mieux, je ne sais pas, moi. Ton premier coup avec Matthieu, là-bas, à la plage. Tu l'attendais avec impatience, non ? »

 

Je n'ai pas eu à mouiller longuement sa touffe ni sa fente. Le désir d'être pénétrée l'avait fait pour moi et avant moi. Quand j'ai écarté ses lèvres avec ma langue, elle vibrait de l'attente…..

 

« Corinne, tu fais quoi ? Dépêches-toi ! Bouffes-moi la chatte ! S'il te plait ! »

« Patience, ma belle ! Tu l'attendais avec impatience, hein ? Ton Matthieu ? Tu te demandais quoi faire pour qu'il te saute.. T'avais envie de sa queue, hein ? »

« Oh oui, ca faisait deux ans que j'avais pas baisé, tu parles ! »

 

Alors je lui ai bouffé sa chatte, gentiment et je l'ai pénétrée avec deux doigts. Je ne crois pas qu'elle se soit aperçue tout de suite de leur présence en elle. Mais quand j'ai senti certaines de ses réactions :

 

« Cathy, je crois que j'y suis, non ? »

« C'est bien possible. » me répond-elle dans uns souffle de plaisir.

 

Je lui effleure alors son point G avec la légèreté que me donne la confiance que j'ai en moi de la faire jouir quand je voudrai. Je lèche son clito et ses petits gémissement m'excite comme pas possible. J'ai les doigts trempés.

 

« Et tu l'as sucé, ce soir là ou il t'a embrochée d'un coup ? »

« D'un coup, mais c'était tellement bon. Je retrouvais la sensation d'une vraie bite qui me voulait !! »

 

Elle éclate de rire alors je profite de cet instant. Un éclat de rire, c'est comme un moment de surprise provoqué par une claque sur les fesses. Les défenses s'abaissent…

J'accélère juste mes caresses de son point G, je retire mes doigts et je fais pénétrer ma langue le plus loin possible… Et là, ça y est ! Elle se met à trembler, accroche les bords de la table avec ses mains, son bassin se soulève brutalement alors que j'ai encore ma langue dans sa chatte, alors, d'une main ferme sur son ventre, je la plaque sur la table pendant qu'elle jouit violemment en appelant voluptueusement par leur prénom toutes les queues qui l'ont baisée depuis un an ! Hummm , apparemment, elle a dû se régaler la coquine ! :) .

 

Quand elle s'est un peu calmée, je reprends mes douces caresses sur son corps…..

 

« Cathy ? »

« Oui, Corinne, c'était génial. Retournes pas en Métropole :) »

« C'était pas ça ma question… Qui c'est José ? »

« J'ai parlé de José ? Hummm…. »

« Oui, apparemment c'est lui qui a la plus grosse et la plus longue, si j'en crois ce que tu as raconté. Encore mieux que Jean-Luc. C'est pas peu dire. »

 

Elle se redresse un peu sur ses avant-bras ……

 

« Je ne devrais pas te laisser me caresser ! » Et dans un grand éclat de rire….

« Oui, en plus c'est vrai ! »

« Alors, qui c'est ce José, racontes! :)  »

« Disons que ça a un rapport avec Blue Diamond... »

« C'est un des amis d'Emilie ? »

« Exactement ! Mais j'aimerais ne pas t'en dire plus. Peut-être que tu le rencontreras un jour, quand tu reviendras. »

« D'accord, ma belle. Je vais te laisser. Tu travailles, toi. Moi je vais bosser à la plage. »

« Oui ou dans le 4*4 de Jean-Luc :)  »

« C'est malin ! Si ça pouvait être vrai ! Donc jeudi soir, on dîne ensemble et on est censée partir les deux ensemble voir Matthieu à St-Pierre ? »

« J'ai compris ça. Tu sais, Corinne, je t'aime, à ma façon. »

 

Je l'ai embrassée et je suis partie….

 

A la plage, Jean-Luc m'a rejointe sur le coup des 16 heures et, je vais vous décevoir, on n'a pas baisé. Je devais être rentré tôt pour aller au ciné avec mes cousins. Je lui ai demandé qui était José. Il n'a pas plus répondu que Cathy.

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