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Dimanche 12 juillet 7 12 /07 /Juil 22:15

 

Vendredi 30 mai

 

8h: Je petitdéjeune avec Hélène qui fait le pont. Elle va m'accompagner à la plage où Jean-Luc viendra me prendre vers midi. En attendant, je prépare mon sac comme si j'allais au Piton des Neiges.... Et puis il faut que j'appelle Andréa pour qu'elle me raconte leur escapade chez Aïna et Pierre il y a 3 mois.

 

9h30: J'appelle Andréa......

Allo, Andréa, ca va?”

Super, oui et toi? Tu veux faire d'autres photos?” Et elle éclate de rire...

Non, ça va, j'en ai assez, j'ai l'impression d'être une vedette du porno! Sous des angles que je ne pourrais vraiment pas voir! Rien n'a échappé à ton oeil perspicace.... Et puis les gros plans, tu y vas!!”

Tu n'as plus qu'à trier! …... Alors si ce n'est pas pour ça, tu veux savoir quoi?”

Ben ce soir, tu sais, on va à St-Leu.”

Vous allez bien vous amusez...”

““Oui, je ne sais pas, mais ca m'inquiète un peu. J'en ai parlé à Jean-Luc et il aimerait que tu me racontes comment ça s'est passé pour vous....”

Très bien, ma chérie, t'en fais pas. Pierre a un truc énorme mais c'est Aïna qui étrenne. Bon, en fait, tu verras, on arrive chez eux par l'ascenser, directement dans leur appartement. La porte de l'ascenseur s'ouvre et les deux t'accueillent dans une tenue assez sexy, style peignoir assez transparent, arrivant à mi-cuisse. Du genre où au moindre geste, tu apprécies tout de suite ce que Pierre a à t'offrir! Bon, mais au moins tu sais à quoi t'attendre et tu es venue là un peu pour ça aussi.

Ils te font visiter l'appart. Et te montrent une chambre avec des peignoirs similaires sur le lit , ils te montrent la douche et t'invitent à les rejoindre au salon dès que tu le souhaites. Tu verras, leur appart est vraiment cool. Ils avaient un éclairage intime et avaient dégagé le tapis du salon. Sur la table basse du salon, des sextoys, des huiles essentielles censées être aphrodisiaques.... Bref, je te passe les détails, on échange des banalités et puis on tire au sort celui ou celle qui va décider du scénario de la première partie de soirée. Ce soir là, c'est Aïna que le sort à désignée! C'était marrant parce que, tu l'as déjà rencontrée, Aïna, c'est plutôt une jeune femme distinguée, très mince et quand elle a dit:

 

Puisque c'est à moi de choisir, je voudrais une double, Pierre derrière, Jean-Luc devant et toi Andréa tu complètes le terrain laissé libre par ces messieurs, d'accord? Pierre tu commences?”

Tu es sure, ma chérie?”

Oui, sure!”

 

Je me suis dit que ça risquait d'être difficile mais bon, ce n'était surement pas leur première fois. Alors nos deux hommes se sont assis dans le canapé et tout en discutant on les a pompé grave et quand Aïna a dit doucement :

« On y va ? »

Elle s'est mise à genoux le cul en l'air et elle m'a demandé de faire pareil face a elle. J'étais parterre ma tête à 10 cm de la sienne je la voyais encore souriante, les yeux fermés, me disant :

« T'affoles pas, Andréa, ça va être dur mais ca v ale faire. Surtout tu laisses faire ! T'interviens pas !»

Pierre expliquait ce qu'il faisait, un doigt, deux doigts, un gode petit, un moyen, un gros... Pendant ce temps, Jean-Luc me baisait en douceur pendant que je regardais Aïna, toujours à 10 cm de mon visage, changer de couleur, respirer de façon hachée, se pincer un peu les lèvres.... Puis Pierre a dit :

« Ma chérie j'arrive ! »

Jean-Luc continuait à me baiser gentiment et je préférais être à ma place ! Putain oui !

Aïna se pinçait les lèvres, elle serrait les poings et des larmes ont commencé à perler à ses paupières... Elle avait manifestement mal. Pierre l'encourageait en lui disant que le plus dur était bientôt fait, que son gland était bientôt à l'abri, que... et que.... tu parles ! Et puis tout d'un coup ça a du être vrai, parce que Aïna, sans se détendre complètement, semblait plus calme. Elle a passé ses doigts sur ses yeux...

« Ca va aller » Je lui ai demandé doucement. 

« Oui, t'inquiètes, ca va aller... Je veux que tu me lèches la chatte quand je te le dirai, d'accord ? »

« Oui bien sur ! »

« Ca va toi ? Il te baise bien ? »

« Je préfère ma place:) »

Pierre s'enfoncait en elle mais Aïna semblait maitriser. Et puis quand Pierre a été au fond, il a dit :

« Deuxième étape ! »

Alors , il a pris sa femme à bras le corps, il l'a soulevée comme une plume et s'est assis puis couché délicatement par terre avec deux coussins sous les épaules. Aïna allongée sur lui, regardant le plafond, les deux pieds en appui par terre et emboitée du cul par son mec, elle m'offrait sa chatte, c'était chaud !

Jean-Luc m'a lâchée et je suis allée lécher Aïna, Jean-Luc revenant me bourrer dès que j'ai été à l'oeuvre ! J'ai été obligée de lui dire de se calmer, que je pouvais pas tout faire. Au bout de quelques minutes, Aïna :

« Putain, je vais jouir ! »

J'ai ralenti.....

« Jean-Luc, viens me fourrer, oui, maintenant ! »

Jean-Luc ne s'est pas fait prier et s'est mis à la bourrer d'enfer ! Moi je me contentais d'encourager Aïna et de caresser les couilles des deux mâles qui s'affairaient sur elle et puis elle a joui et là, je te dis pas, une vraie crise, hurlements, des « Continues ! » à n'en plus finir et des gestes dans tous les sens, ses bras, ses jambes, je me suis pris son poing dans la figure mais elle ne se rendait compte de rien, on aurait dit une épileptique. Pierre imperturbable, Jean-Luc s'est vidé d'un coup..... Woahhhhhh !!

Et puis Jean-Luc s'est relevé, Aïna semblait se réveiller, s'est déboitée tout doucement de Pierre.

« Ca va les hommes ? J'ai complètement pété les plombs mais c'était si bon.... Si vous voulez vous doucher, moi j'y vais ! »

Dix minutes après, on était de retour dans nos peignoirs et on est passé à table...

« Ca donne faim tout ça ! »

Ambiance sympa, détendue, collation délicieuse.....

Et puis, au bout d'une demi-heure, on dégustait leurs patisseries fines, Aïna s'est laissée glisser sous la table...

« Honneur aux invités ! » a décrété Pierre. Je me suis dit que Jean-Luc allait passer un bon moment..... Quand j'ai senti des mains caresser mes genoux et les écarter doucement mais fermement..... J'ai compris que je devais me prêter au jeu et avec plaisir je me suis laisser glisser un peu sur ma chaise pour offrir mon intimité à notre hôte qui savait manifestement utiliser sa langue et ses doigts. J'essayais de garder ma sérénité mais c'était de plus en plus difficile et je serrais les dents pour ralentir mon orgasme arrivant alors qu'Aïna faisait tout pour rendre mes efforts inutiles et évidemment, ce qui devait arriver arriva et je me suis écroulée sur la table en hurlant que c'était bon devant nos deux mecs en train de se branler en rigolant.

Quand elle a eut finit avec moi, au bout de quelques secondes, à la tête de Jean-Luc, j'ai compris qu'elle avait décidé de s'occuper de lui. Alors, je me suis levée, j'ai fait le tour de la table, j'ai saisi la main libre de Pierre et lui montrant qu'il devait me suivre je lui ai dit :

« C'est mon tour, j'veux ta queue ! »

Il ne s'est pas fait prier et je dois dire que son énorme truc s'engoufrant dans ma chatte c'est assez jouissif. T'as vraiment l'impression que t'es occuppée de fond en comble, de la cave au grenier !! Tu ne penses plus à rien, tu ne demandes pas si tu vas jouir, tu te demandes seulement quand ! Mais il avait apparemment décidé de prendre son temps et j'aime ça. Je profitais de mon plaisir quand je me suis aperçue qu'Aïna etait à plat ventre à côté de moi, prise en levrette par Jean-Luc et qu'elle me souriat d'un air coquin.

« Alors, Andréa ? Confortable, mon mec ? ».

Bref la suite et la fin, je te laisse deviner. Mais t'inquiètes, Corinne, ils sont super sympa. T'évites Pierre dans ton joli petit trou et tout ira bien. Préfère Jean-Luc ! »

«  Oui, j'y connais déjà Jean-Luc » et j'éclate de rire. »Bon, Andréa, merci pour tes précisions. Bon de toutes façons , on va y aller mais c'est bien d'avoir ton avis et ton ressenti. Je t'embrasse. »

« Oui, moi aussi. Au fait merci pour les photos que tu as faites de Jean-Luc et moi . Je ne me suis jamais vue sous ces angles là ! »

« Oui ? Moi non plus remarques ! » Et on éclate de rire toutes les deux !

« Bon, je te laisse, Andréa, A+ ! »

« Oui, d'accord, amusez-vous bien ! »

 

11H : Jean-Luc arrive et on embarque direction le sud de l'ile. Avec lui, on a prévu de visiter le Jardins des Epices et des Senteurs à St-Philippe. On a environ deux heures de route.... On a la visite prévue à 14 heures et puis après, retour, plage, dîner et on devrait être comme prévu vers 21 heutres à St-Leu chez Aïna et Pierre.

« Tu sais, Jean-Luc, j'ai eu Andréa au téléphone... »

« Ah oui ? Alors, elle t'a raconté ? »

« Oui, elle m'a raconté ; bon, je veux bien tout ce que tu veux sauf me faire sodomiser par Pierre, d'accord ?  Mais par toi......»

Ca le fait sourire ….

« OK, c'est d'accord, ça ne pose aucun problème. »

Je m'approche de lui qui conduit et appuie mon coude sur son épaule pour lui dire doucement :

«  Mais par toi, autant que tu veux ! C'est ce que je voulais dire....»

« Je m'en rappellerai, t'inquiètes ! »

Sur le coup des 1 heure de l'après-midi, on est presque arrivé et on s'arrête pique-niquer dans un endroit juste un peu à l'écart de la route, il fait beau, c'est calme, cool ! Je devine que Jean-Luc aimerait bien un dessert plus complet que celui qu'on a apporté mais on n'a pas vraiment le temps... Dommage quand même. Un peu avant 14h, juste au moment d'aller prendre nos billets, le portable de Jean-Luc sonne....

« Allô !?.... Oui, bonjour Pierre..... Un problème ?..... Ah bon?.... C'est arrivé quand ?.... Ah cette nuit ? …... Oui, je comprends..... Non mais c'est pas grave.... Je lui dis, bien sûr !..... Non, mais on se rappelle...... »

J'ai l'impression qu'il y a un problème chez nos futurs hôtes.....

« Qu'est-ce qui se passe, Jean-Luc ? »

« Le père de Pierre est mort cette nuit. »

« C'est pas vrai ! ? Mais il devait être jeune ! »

« Oui, un cancer, 62 ans !  Tu te doutes que notre soirée est reportée...»

« Oui, je me doute . C'est con ! A tout point de vue !»

« Oui, c'est clair ! Tu vas devoir te contenter d emoi seul ce soir. »

« Oui, moi qui fantasmais sur le sandwchich qui m'attendait »

« Le sandwich ? »

« Oui, je me voyais déjà prise entre toi et Pierre:) »

« Si ce n'est que ça....:) »

« Oui ? »

« Je vais lui chercher un remplaçant... »

« Ah, Jean-Luc, tu es vraiment quelqu'un de serviable.... Bon, on va le visiter ce jardin ? »

« Oui, allez, on va être en retard... »

 

Le Jardin des Epices est Le jardin à visiter à La Réunion. Je vous renvoie à tous les topo-guides de l'ile. Mais 2 petits conseils pour rendre cette visite des plus enrichissantes : demander si c'est Michel qui fait visiter et visitez en pantalon, pour les petits moustiques très gourmands suivant l'humidité et le moment de la journée..... Si vous avez un pantalon et que Michel fait visiter vous m'en direz des nouvelles......

Nous on a de la chance. Il ne pleut pas et c'est Michel qui nous fait visiter... C'est cool. Après la visite et quelques achats dans la boutique, on prend doucement le chemin du retour. Vers 16h30 , on s'arrête à St-Pierre...

« Alors c'est là qu'habite Matthieu ? On pourrait aller lui faire la bise ? »

« Oui on pourrait mais il courait à St-Gilles cet aprem avec ta copine, la toubib, Cathy. Alors je lui ai laissé les clés de mon appart. Ca lui évite de revenir içi et il y a des chances qu'on le voie ce soir tard ou demain matin »

« Ah, d'accord... Il court après Cathy :)  ! »

« J'ai dit il court avec, pas après. Remarques, elle est mignonne.... »

Ca fait plusieurs jours que je n'ai pas eu de nouvelles de Cathy depuis notre frotte-minou de lundi. Donc elle a passé la première avec Matthieu, c'est déjà pas mal....

« Donc il attendra demain pour la bise.... »

On visite un peu la ville, le bord de mer.... Ici la mer est partout ou presque..... Et on reprend le chemin du retour.... L'Etang Salé, La Saline.... L'Hermitage..... Arrêt plage.... 17h30 On prend le sac de plage, les nattes, les serviettes..... Et on se fait un petit plouf. J'en profite car je sais que dans moins d'une semaine je serai loin, loin de la plage, loin de Jean-Luc, loin de Cathy........ Il y a encore un peu de monde mais la nuit va bientôt être là.... A 18h30, il n'y a bientôt plus que l'éclairage du CocoBeach qui nous donne un peu de lumière.... Le soleil a disparu à l'horizon faisant rougir les quelques nuages qui s'y trouvaient.

On va passer un petit moment autour d'une pinacolada sans équivalent en métropole..... Et puis, vers 19h30, on se pointe au resto , au Manta, comme le jour de mon arrivée... Ce soir-là, Cathy avait bu et on l'avait raccompagnée chez elle... Je ne l'ai pas raconté à Jean-Luc....

Ce soir, je ne bois qu'un peu... Au lieu d'être au Manta, on devrait être à St-Leu.... Je repense à ce qu'Andréa m'a raconté ce matin.... Je n'ai couché qu'une fois avec deux hommes... Il y a longtemps... C'est Philippe qui nous avait organisé ça.... Tiens faut que je le skype.... Ca m'aurait pas déplu d'être à St Leu.... Mais c'est pas grave..... Au lieu de baiser avec deux hommes une fois je baiserai deux fois avec le même homme..... La question n'est pas de savoir si je vais, c'est quand.... J'en suis là de mes pensées quand....

« Tu penses à quoi, Corinne ? »

Je n'ose pas lui dire vraiment à quoi je pense alors :

« Que dans une semaine, j'aurai repris le travail!»

« Je vais te manquer ? »

« Bien sur, ce sont des moments que je ne suis pas près d'oublier . Et moi, je vais te manquer ?»

« Bien sûr ! »

« Tu parles ! Dès que je serai montée dans l'avion, tu vas aller t'occuper d'Andréa à temps plein ! » Sourires.....

« Et toi ? Tu vas retrouver ton mari, ton Philippe, t'iras bien faire un tour à Lausanne de temps en temps, non ? »

« Je ne sais pas ! »

Je me sens bien, il fait encore chaud, j'ai bien mangé, je me sens détendue, libre. En espérant qu'il me dise « Pas tout de suite ! » je lui propose :

« Tu te rappelles que je dors chez toi, hein ? »

« Je ne risque pas d'oublier mais c'est peut-être un peu tôt, non ? »

« Comme tu veux, je fais ce que tu veux ! »

« On peut marcher le long de la plage.... »

« Oui, c'est une bonne idée.... »

« Je sais ce qu'on va faire, suis-moi ! »

Je ne risque pas de faire autre chose.... En fait, on reprend la voiture et on prend la direction de la Saline, enfin de La Saline les bains.... Un fois garés le long de la grande ligne droite, on descend, il prend le sac de plage....

« On va se baigner ? »

« On ne sait jamais, il faut être prévoyant. On n'est pas obligé d'attendre minuit :)  »

On emprunte un long couloir qui au bout de 50 mètres nous fait déboucher sur la plage... De jour, j'irais les yeux fermés. La nuit, les lumières de l'avenue éclairent un peu les 20 premiers mètres du couloir.... Après, on n'y voit presque rien. Je m'efforce de suivre la silhouette de Jean-Luc qui semble savoir où il met les pieds. Il regarde si je le suis, prend ma main et bientôt on débouche sur la plage. On devine la mer pas loin. Pas de lune, les seules lumières, au loin, au sud et celles des villages sur les Hauts... J'ai gardé mes nu-pieds. De jour, on regarde à éviter tous les résidus de coraux qui jonchent la plage... La nuit, on voit à peine où on pose les pieds... On marche doucement le long de la mer.... Jean-Luc passe son bras autour de ma taille. On parle doucement même si on ne dérange personne..... Je sens la chaleur de sa peau au travers de ma fine robe d'été. Au bout d'un quart d'heure peut-être, il s'arrête, s'éloigne un peu de l'eau....

« Viens ! »

A vingt mètres, quelques arbustes que je devine au milieu des patates à Durand.... Il pose le sac, sort quelques affaires :

« Tu viens ? On va se baigner ? »

« Hummmm, d'accord, si tu veux. »

Là, Jean-Luc se déshabille complètement en évitant de me faire face et m'invite à faire pareil...

« Je peux garder mes nu-pieds ? Rien que mes nu-pieds ? »

Il éclate de rire sans même me répondre. Savoir Jean-Luc nu à deux mètres de moi commence à m'exciter. Il part vers l'eau et quand je suis aussi nue que lui, je m'avance vers lui, me colle à son dos et passe mes mains autour de sa taille, lui caresse doucement le ventre et descend mes mains jusqu'à prendre la base de sa tige entre mon pouce et mon index pour petit massage de mon cru.

Mais mon cru, je me dit qu'il a l'air d'aimer. Et mon Jean-Luc il est cuit. C'est finit pour lui. Il ne maîtrise plus rien. Là, je connais la suite et je sais d'avance ce qui va se passer....

Sauf que je n'en connais que les grandes lignes....

Brutalement, il se retourne et me serre dans ses bras avec force..... Il me soulève du sol, je pousse un cri de surprise quand il fonce vers l'eau et que je vois mon brushing un peu défait sou sl'eau d e mer... je crie que : « Non, je ne veux pas ! » et au moment où je m'y vois il fait volte face et s'accroupit pour nous mouiller en douceur....

« Salaud ! J'ai cru que tu allais me balancer à la flotte ! »

« Ce n'est pas l'envie qui me manquait, tu sais ? »

Je réalise alors que ce n'est pas un début d'érection qu'il a, mais une vraie, surtout quand je prends son sexe dans ma main.....

« A propos d'envie, c'était la seule que tu avais ? Me foutre à l'eau ? »

« Bien sur, où vois-tu que j'ai une autre envie ? »

« Je ne la vois pas ! Je la sens ! Je la tiens !Mais je ne la lâche pas ! »

« Hummm , j'espère bien ! »

Je le lâche quand même pour courir vers le sac de plage.. Heureusement qu'il est blanc, je le devine à quelques mètres..... J'étale nos serviettes de bain après m'être essuyée rapidement. Quand Jean-Luc arrive il me trouve dans une position qui ne nécessite pas beaucoup d'explications quant à ce que j'attends de lui... Et Jean-Luc n'a pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre... Il faut dire que ma peau blanche se voit tellement bien dans ce noir total..... Sans préliminaires.... Mais j'en avais même plus envie.... Missionnaire à n'en plus finir.... Rien à faire.... Les vacances.... Attendre que ça vienne..... Fermer les yeux.... Les ouvrir pour compter les étoiles.... Se dire que pourvu qu'il ne change rien à ce qu'il fait …. Que la mayonnaise est en train de prendre ….. Soudain, des éclairs dans ma tête, de l'orage dans l'air ? De l'orgasme dans l'air ? Dans l'air du temps.... Le temps de l'orgasme... Orage.... Orgasme.... c'est si proche..... A peine l'or(g)ag(sm)e fini.......

« Branles-moi, fais-moi jouir ! Vides-moi ! A toi de jouer !»

Oui, ca va j'ai compris... Pour jouer , je joue avec son jouet....Je m'y emploie et je suis même surprise de remplir ma mission avec tant de facilité !

 

Une fois ma mission remplie, nous reprenons doucement le chemin vers notre voiture. Jean-Luc démarre et je remarque tout de suite qu'on ne prend pas le chemin de son appartement mais on monte dans les hauts. Quand il quitte la route principale, je lui souris, j'ai compris.

« Monsieur en redemande ? »

« Je ne m'en lasse pas.....  Regardes le point de vue, c'est superbe, hein ?»

Effectivement, les lumières de la côte donnent un relief particulier à ce paysage. Et là il me baise sur le capot et sur les sièges arrière. Jean-Luc est déchaîné et je lui rend la pareil ! Je prends mon temps pour jouir et le faire jouir et puis cette fois-ci …..

« On va vraiment à ton appartement ? »

« Pourquoi ? Ca t'a déplu ? »

« Oh non ! Pas du tout ! » Tout ça avec le sourire...:)

 

Quand on arrive à l'appartement, il me dit de faire doucement, que Matthieu est peut-être rentré, qu'il dort à moins qu'il ne soit pas seul.... On ouvre l'appartement sans allumer la lumière. Celle de l'extérieur au travers des baies vitrées suffit pour atteindre sa chambre.

 

On se déshabille et on se glisse sous le drap... Il est presque minuit. Des bruits, à côté, nous font sourire... Matthieu n'est pas seul.... Et là, je me dis : 

« Mon Dieu ! Pourvu que ce soit Cathy ! »

Je demande à Jean-Luc :

« Tu la connais ? »

« Non mais il s'en occupe bien ! »

Puis tout se calme, il est minuit et on s'endort sans savoir.... Pas grave !

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 12:04

 

Vendredi 30 mai

(Vu par Cathy)

 

J'essaie de te joindre depuis plusieurs jours et tu ne réponds toujours pas. Que se passe-t-il ? Je voulais simplement te dire que, ce soir, j'ai mon deuxième rendez-vous avec Matthieu pour s'entraîner. Je vais arrêter complètement de fumer mais il me faudra surement pas mal de séances pour arriver à le suivre. Mais si on veut être prêts en octobre...... Au moins Matthieu ! Moi je ne sais pas encore si je m'inscris....

 

16h30 : On se retrouve devant l'Aquarium de St-Gilles. Matthieu propose qu'on prenne sa voiture et qu'on aille à l'Hermitage poser nos affaires sur la plage et partir de là. Un quart d'heure après, notre petit parasol est planté, il n'y a quasiment personne … Peut-être un ou deux touristes tous les trente mètres.... On laisse juste des serviettes de bain si on veut se baigner au retour...... Tout le reste tient dans un petit sac à dos. Y compris deux frontales. Mercredi, il faisait vraiment nuit quand on est rentré à la voiture et on voyait à peine où on mettait les pieds.

17h : C'est parti ! Direction le sud..... Matthieu parle beaucoup... Mais quand je fais un effort, moi, j'ai du mal. Je suis admirative. Ca en dit long sur sa réserve de capacité... Ca c'est la toubib qui parle.... Les Hauts sont couverts, nous, en bord de mer on est tranquille.... 27 ou 28 °. Je vais mieux que mercredi mais je sais que s'il veut me larguer, ça lui est très facile.... Il fait bientôt nuit.... On décide de faire demi-tour.... Bientôt les frontales sont indispensables et puis je suis crevée.... mais si bien en sa compagnie.... Je me prends à penser que s'il a envie de me sauter là, je me laisserai faire....... Mais ça fait si longtemps.... Les sensations, j'ai dû en oublier.....

«  Je te ralentis, je ne vaux plus rien.... »

Encore à me plaindre de mon sort, je me tape mentalement sur les doigts.... on arrive bientôt au petit parasol qui n'est plus qu'un paralune et encore.....

« On se fait un petit plouf ? »

Il a à peine dit ça qu'il tombe le short et court se jeter à l'eau, torse nu en slip... Moi, je n'avais rien prévu en rechange, j'avais imaginé revenir me doucher chez moi comme avant-hier. Qu'est-ce que je fais ? Bon allez ! Comme lui, en petite culotte et soutif ? Dans le noir, je devine son corps moyennement athlétique..... Chiche que j'enlève mon soutif ? Chiche ? Cathy ? Tu te lances ? Oui, je l'enlève et me pointe sur le bord de l'eau juste avec ma petite culotte.... si je la mouille, il faudra que je l'enlève... bon, je verrai bien..... Quand il se retourne et me voit comme ça tout près de lui, il a un petit sourire, il me parcourt de la tête au pied... je ne sais pas ce qu'il voit.... moi, je devine plus que je ne vois les reliefs de son slip.... il s'approche, me prend par la main....

« Tu es belle, tu sais ? » Cette fois-ci, je réfléchis à deux fois avant d'ouvrir la bouche. Je pourrais dire : « Non, arrêtes, tu n'en penses pas un mot ! » ou quelque chose d'aussi encourageant  que : « C'est la première fois qu'on me le dit ! ». Finalement Cathy, tu cherches quoi ? Bon, je m'approche et le laisse me prendre par la taille.... Il me presse contre lui et je lui glisse dans l'oreille :

« Matthieu, tu.... tu... tu as envie ? »

« A ton avis ? »

« Je ne veux pas être prétentieuse mais je crois que oui... même plus, je sens que oui » J'éclate de rire.... Lui aussi...

« Et à moi, tu ne me demandes pas ? »

« Cathy, tu as envie de bai..... »

« Oui !  Tout de suite !»

« Ici ? »

« J'aimerais bien ! »

« A cette heure-ci, on pourrait être dérangé ! On reviendra à une autre heure, mais je connais un endroit sympa, si tu veux. Pas très loin, avec une belle vue... »

« Bien sur »

Je suis fière de moi ! Je remets ma robe, ma petite culotte mouillée oubliée dans mon sac à main ! Lui ne remet que son pantalon.... Dans la voiture, je m'approche autant que faire se peut du conducteur et lui pose une main sur la cuisse. En fait, on roule dix minutes et on s'arrête un peu à l'écart de la route, la voiture cachée dans un bosquet... Dès qu'il arrête le moteur, c'est le grand calme.... la tranquillité …. On commence à s'embrasser doucement, il me caresse les seins.... en hésitant un peu, j'approche la main de son sexe que je devine déjà dur dans son pantalon..... Je pensais avoir un mouvement de recul ….. Je touche la bosse …. Je provoque chez lui un léger mouvement.... Je poursuis mon avance et commence à le caresser sans pudeur aucune..... J'avais un peu peur de moi..... non, je me sens au contraire pleine d'audace.....

« On va dehors ? » demande-t-il.

« Si tu veux, oui, bien sur ! »

Il ouvre la portière de son côté, je fais de même... Il récupère dans le coffre des couvertures qu'il jette par terre, puis prend ma main et m'entraîne à quelques mètres, là où les buissons laissent le regard admirer les lumières de la côte, une sorte de point de vue splendide. On devine les limites du lagon de St Gilles à L'Etang salé ! Il me montre le parcours qu'on a fait aujourd'hui, c'est sympa vu d'içi :) Et puis on revient à la voiture, je m'adosse à celle-ci contre la portière du passager..... On s'embrasse..... je passe mes bras autour de son cou..... Ses mains descendent le long de mon corps.... Je ne cherche même pas à retenir mes soupirs.... Il me caresse les seins.... J'en soupire encore plus et le plaisir provoqué descend bien plus bas que mes seins.... mon ventre ….. ses mains descendent sur ma taille... soulèvent doucement ma robe.... la remonte sur ma taille.... je n'ai évidemment pas remis ma petite culotte.... il commence à me effleurer doucement ma chatte qui ronronne de façon incontrôlée..... alors, je descends également mes mains sur son sexe.... enfin son pantalon.... que je fais descendre.....

Je me suis remémoré en quelques secondes les gestes qui plaisaient tant à certaines de mes anciennes rencontres alors que je craignais mes réactions aux caresses reçues autant que mon appréhension vis à vis du corps de l'autre.... et je prends son sexe en main  et tant que j'y suis:

« Matthieu, j'ai envie de te sucer ! »

« Tu sais ? Il n'y a pas d'autorisation à demander. Tu n'as qu'à te servir ! »

Matthieu ést d'une douceur incroyable.... Je me mets à genoux et je me sers.....

D'abord, je le branle doucement, histoire de forcer le retour de mes sensations, puis lèche ce gland prometteur, pose mes lèvres dessus.... de mon autre main, je lui malaxe doucement les bourses et quand je l'entends réagir, je suis sure d'être dans le vrai..... Je me force à bien ouvrir la bouche en grand pour engloutir sa queue.... un réflexe..... je sens qu'il se concentre sur ce que je fais..... je me délecte de sa hampe pendant quelques minutes et quand je le sens raide et haletant, j'abandonne son sexe. Matthieu me remet alors debout contre la voiture.....

«  Voilà, Cathy, tu écartes les bras en croix, comme ça, oui, et tu fais comme si tu étais attachée, d'accord ? »

« Oui, tout de suite ! »

Il me soulève alors une jambe tout en se mettant lui, maintenant, à genoux et commence à lécher mon entrecuisse....... C'est trop bon ! J'ai peur.... J'ai peur de ne pas pouvoir résister..... résister au plaisir que je sens venir...... sa langue parcourt ma fente jusqu'à ce qu'elle lui laisse atteindre mon domaine secret dont il fait connaissance avec une délectation qu'il sait me rendre compréhensible même si dans ma position, je ne suis pas apte à comprendre grand chose en dehors du fait que nos deux sexes sont prêts à s'entendre sur la suite des opérations......

« T'as.... préservatif ? »

« T'inquiètes, ma chérie, j'ai pensé à tout ! »

« Salaud ! » dis-je en éclatant de rire....

Et il refourre sa langue exactement là où il faut et tout d'un coup, je perds le contrôle de la situation et pose brutalement mes deux mains sur la tête de Matthieu en émettant quelquechose qui ressemble à un râle de plaisir ponctué d'un « Oh, oui ! Continues » Peut-être même plusieurs : « Oh, oui ! Continues ! » Jusqu'à ce que Matthieu, se redressant brusquement, me montre le préservatif :

« Tu me le mets ? »

« Ca fait longtemps.... »

« Pas grave, vas-y ! »

J'y vais et pas si mal que ça..... Quand je me redresse, il me colle le dos à la voiture, passe ses bras successivement sous chacune de mes cuisses, me soulève et, me laissant doucement redescendre, m'empale sur son engin,.... je ne sais plus où j'en suis.... plaisir..... sexe.....

« Matthieu, mon dos..... la couverture, je préfère..... »

Il me pose et je me jette sur la couverture..... sur le dos, grand écart....

« Allez, viens ! Je te veux au fond de moi ! Comme tu veux ! »

Il ne se fait pas prier....... »Oh oui, continues ! Continues !Continues !Putain que c'est bon ! Continues !Continues !Continues !Putain que c'est bon ! Continues !Continues !Continues !Continues !.... » C'est probablement ça un orgasme avec un homme. Je ne sais plus où je suis, je ne sais plus si je suis avec Matthieu... Je le vois qui s'agite... En moi ? Sûrement, mais je ne sens que mon ventre, ma tête qui explose....... Il continue à me pilonner jusqu'au moment où il ne peut plus continuer. Alors il retire brutalement le préservatif et :

« Branles-moi !

Peur de mal faire, j' hésite ...

« Allez, vas-y, putain, maintenant ! »

Alors je le branle avec ardeur, mon regard va de son sexe à son regard perdu dans son plaisir intérieur, quand il me fait cadeau en hurlant de sa première giclée, il reprend sa queue en main et se vide complètement.... j'en ai partout …. puis il me repénètre et se repose sur moi son sexe encore complètement bandé. J'aime cette idée qu'il a encore du désir pour moi...... Tout devient calme.... Il finit par me demander :

« Ca va, »

« Tu te fous de moi ? Evidemment que ca va ! Tu ne t'en es pas rendu compte ? Et puis j'ai faim maintenant ! Et toi, ca va ? Tu m'as bien défoncée comme tu voulais ?»

« A ton avis ?  Allez je t'emmène au Manta.»

 

Le Manta ? Tu te rappelles, Corinne ? Le soir de ton arrivée ? J'étais complètement partie, j'en ai encore honte... Mais là tout se passe bien.......

 

21h30 : On sort du restaurant et on va se promener un petit moment à la plage.... il y a un peu de vent. Il a passé sa main autour de ma taille …..

« Cathy ? »

« Oui ? »

« Tu es obligée de rentrer chez toi ce soir ? Tu commences tôt demain matin ? »

« Non, je ne travaille pas demain matin. Pourquoi ? Tu as un plan douteux ?»

« Oh ! Tout de suite ! Des sarcasmes ! Non, mais quand je viens par içi, j'ai toujours les clés de chez Jean-Luc et j'y ai une chambre réservée. A moins que ça te gêne de le voir demain matin au réveil... Et j'ai envie que tu dormes dans mes bras....  Et Jean-Luc m'a dit qu'il ne rentrait pas avant 1h ou 2h du mat ! Donc, c'est cool !»

« Mais j'ai rien comme rechange. Regardes, je n'ai même pas de petite culotte.... »

« T'en as pas besoin ! »

« Je n'ai pas de nuisette ! »

« T'en as pas besoin non plus. »

C'est vrai que l'idée de me réveiller dans les bras de Matthieu, demain matin, ça me plaisait assez !

 

22h30 : Matthieu tourne la clé dans la serrure et on entre chez Jean-Luc. Il me fait visiter rapidement...

« Tu veux un thé ? »

« Oui, pourquoi pas. Merci. »

 

23h : Le thé terminé, Matthieu me prend dans ses bras et éteint la lumière du salon. Il y a juste un peu d'éclairage par l'extérieur.... les grandes baies vitrées sont ouvertes.... il y a une grande terrasse sans vis à vis et avec vue sur le parking.... Je devine ce qui va m'arriver ! J'en rigole intérieurement ! Tu vas te faire sauter sur la terrasse..... Mais c'est ce qui peut t'arriver de mieux !:)

Ma robe, je n'ai que ça, tombe vite par terre.....

« T'es sacrément poilue, j'adore ça ! Les foufounes épilées, ca fait pute ! »

Il m'a fait allonger par terre sur les tapis de la terrasse et pendant que je le suce, il me fait jouir de ses doigts, je suis obligée d'arrêter.... puis il enfouit sa langue et je suis obligée d'arrêter.... je comprends alors que je dois m'empaler sur lui.... il commence à me pilonner quand des portières claquent sur le parking..... des voix s'élèvent.... juste quelques mots.....

« Merde, c'est Jean-Luc.... et apparemment il n'est pas seul....  Allez, ramasses tout, on va dans la chambre.....»

Arrivés là, on se glisse à poil sous les draps et on fait silence..... J'entends la porte de l'appartement se refermer et Jean-Luc discute avec quelqu'un. Au début, je ne reconnais pas la voix.

« Ca peut être qui ? »

« Je n'en sais rien. Il ne me dit pas tout. Apparemment, ce n'est pas Andréa. »

« Andréa, c'est celle que vous baisez tous les 2 ? » lui dis-je avec humour.

« Tu sais ça, toi ? »

« C'est toi qui me l'as dit ! »

Alors, il me plaque à plat ventre et m'enfile comme il faut par derrière dans une levrette.....

«  Arrêtes, Matthieu, il vont nous entendre... »

Il me baillonne avec une main pendant qu'il me la met bien profond comme ça fait longtemps qu'on ne m'en a pas mise une. Evidemment, j'ai un orgasme qu'il ne peut contenir de sa main mais je m'efforce d'être discrète au maximum avant qu'il ne se vide sur mes fesses..

«  Je n'entends rien, tu crois qu'ils sont couchés ? »

« Probable, mais je crois que la nana qu'est avec c'est ta copine. »

« Quelle copine ? »

« Ben, Corinne ! »

« Tu crois ? Jean-Luc baiserait avec Corinne ? J'en crois pas mes oreilles ! »

« Ben, elle est encore baisable.....

Je ne relève pas et repense effectivement à toi Corinne et à ces moments si sympas passés ensemble. Tu te rappelles, il y a 4 jours ?

 

Minuit : Minuit, c'est un autre jour...... A suivre.....:)

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Samedi 2 mai 6 02 /05 /Mai 16:14

 

C....., 45 ans ( Tiens, tiens....) et Michel, 59 ans,

 

Nous nous sommes connus sur un site internet, je ne me souviens plus du tout lequel.

Du genre qui ne laisse normalement pas de doute sur les intentions de ceux et celles qui s'inscrivent: Passionnés par le sexe et l'érotisme.

 

Ces sites sont généralement peuplés par des mecs un peu lourds, en manque car peu et mal baisés d'une part et par de faux profils féminins destinés à aguicher et faire payer les précédents d'autre part. Un business qui marche, le nombre de mecs lourds étant suffisant pour l'alimenter....

 

Pourtant bien que ne correspondant à aucun des deux profils, nous nous sommes inscrits tous les deux sur ce site, sans se donner le mot.

 

Après quelques échanges nous nous sommes découvert une passion commune: raconter, publier nos expériences sexuelles, et profiter de l'excitation provoquée.

 

Nos emplois du temps ne nous permettent que trop rarement d'échanger en direct aussi nous nous envoyons nos scénarios par écrit et quand nous pouvons, nous nous les racontons en direct avec Skype.

 

Donc jusqu'à hier nous ne nous connaissions pas visuellement.

 

Le dialogue entamé sans caméra, ce qui m'a d'abord plu chez C......, c'est sa voix: grave, suave et très sensuelle.

Quand je dis qu'elle m'a plu, c'est peu dire. Après quelques mots j'ai senti monter en moi une excitation très agréable. En résumé sa voix seule a déjà provoqué chez moi une érection maximale.

Pour me sentir à l'aise je me suis immédiatement dévêtu. Un sexe en érection dans un pantalon de ville, c'est inconfortable....

Non que je sois monté comme un cheval mais quand même, il faut un peu de place pour se sentir bien.

 

Vous avez remarqué combien les hommes n'ont pas du tout le compas dans l'œil quand il s'agit de parler de la dimension de leur sexe? Moi j'essaie de rester objectif et je me satisfait totalement d'être dans la moyenne de longueur et un peu au-dessus en épaisseur. Tout n'est-il pas question d'usage et d'expérience?

 

Bref me voilà nu à écouter la belle voix de C...... me racontant en tant que femme un des scénarios que j'avais vécu en tant qu'homme. Très excitant.

A tel point que je commence à caresser mon sexe durcissant de plus en plus.

 

Au fil de la conversation nous mettons en service nos caméras et je découvre C...... avec plaisir qui, comme moi s'est complètement dévêtue.

A genou devant sa cam, les jambes écartées, penchée en avant caressant lentement ses magnifiques seins.

 

Les seins de C.... Parfaits! Lourds juste ce qu'il faut, tétons parfaitement délimités, belle tenue. Peau mate, hanches bien galbées, ventre plat, me laissant juste deviner son pubis et me donnant envie d'en découvrir plus.

 

Je me lève pour lui montrer mon sexe raidi pointant vers la caméra. Je saisi mes couilles à pleine main pour les lui faire apprécier. Un gros plan sur mon gland humide lui suggère quelques gémissements de plaisir.

Mon sexe est rasé de près, je trouve que le contact avec une main ou une bouche de femme est plus agréable pour les 2 partenaires.

Je me masturbe lentement, de mon gland humide en descendant en rotation jusqu'à la garde.

C..... a l'air d'aimer le spectacle à tel point qu'elle change de position, s'asseyant les jambes écartées devant la caméra, me laissant admirer sa magnifique chatte rasée qu'elle caresse et explore de ses doigts experts et agiles, tout en me laissant voir par dessous ses seins dont les tétons pointent et paraissent durs sous ses doigts.

 

Je sens ma sève monter, j'accélère le mouvement. Une tension bien connue me parcours le dos, les muscles de mes cuisses se tendent. Il ne faut pas aller trop vite, je me calme et ralentis le mouvement.

Je fais des mouvements d'avant en arrière avec les hanches. J'ai trop envie de la pénétrer. Frustration du virtuel.

J'imagine mon sexe entrant avec une douceur ferme dans son sexe chaud, restant d'abord en entrée puis progressivement au fur et à mesure de mes mouvements en profondeur jusqu'à la garde, mes couilles effleurant ses lèvres à chaque pénétration.

 

Mais C...... est presque arrivée à son point de non retour. Le mouvement de ses hanches est très évocateur.

 

D'une main elle pétrit ses seins, de l'autre se pénètre, caresse ses lèvres mouillées, titille activement son clito que je devine durci par le désir, ouvre son sexe comme pour m'inviter à enfourner mon membre dur comme du béton.

 

Elle gémit, elle veut me voir éjaculer devant la caméra. J'accélère donc et j'intensifie la pression sur mon sexe au maximum de sa dureté.

 

Le frisson dans le dos remonte jusqu'à ma nuque, ma sève monte encore et encore, j'ai l'impression que mon sexe va exploser et inonder l'écran.

Tous mes muscles sont tendus, je vais jouir et je sens que C..... arrive aussi à l'orgasme.

 

Les spasmes se déclenchent violemment, nombreux et abondants sous les gémissements de C.....

.

Ma sève jaillit, le plaisir est immense. Je continue les mouvements de ma main, violemment cette fois-ci, en poussant des grognements rauques de plaisir.

 

Le plaisir semble être partagé par ma belle interlocutrice qui jouit en poussant de petits cris.

 

Nous coupons nos caméras, nous échangeons quelques mots de satisfaction et je suggère à C...... de concrétiser en réel ce que nous venons de faire en virtuel.

 

Peut-être aurons-nous une histoire commune à vous raconter sous peu?

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 17:05

 

 

 

Les personnages :

Corinne 45 ans,

Dominique dite « Dom » 40 ans, une bonne copine de Corinne

Chloé 19 ans, la fille de Dominique

Michel 50 ans à l'époque, mon amant du moment

____________________________

 

Nous étions tous les 4 en week-end à la campagne, il faisait beau et chaud. Une grande ferme rénovée avec piscine à notre disposition.

Seins nus, en string de bain et lui en boxer, Michel et moi décidons de faire une sieste dans un carré de verdure à l'arrière de la maison pendant que Dom et Chloé se baignent dans la piscine, également seins nus.

Allongés, ma main sur le ventre de Michel provoque une érection immédiate. Clin d’œil intéressé de Michel, je lui rends la pareille et mes seins commencent à pointer vers le ciel.

Il se laisse faire – ça ne vous étonne certainement pas – ma main descend et parcours de haut en bas son ventre puis son membre tendu.

Il me dit que, vus de côté, mes seins sont magnifiques avec le ciel bleu en arrière plan, ma main s'insinue sous son boxer.

Je saisis son sexe à pleine main, me penche vers lui, ôte son boxer et commence une fellation de rêve.

Il paraît que je suis douée et coquine...

Après de longs moments exquis, n'y tenant plus il me porte au-dessus de lui pour un 69 en écartant mon string. Je l'enlève, et lui offre ma chatte trempée qu'il déguste à pleine bouche et pleine langue pendant que j' enfourne sans fin son sexe dans ma gorge, dégustant son gland et pétrissant ses couilles de mes fines mains agiles et expertes.

Puis je descend le long de son ventre et m'empale sur son sexe, avec des mouvements circulaires des hanches, cambrant le dos et offrant mes seins à ses mains. La douceur de la peau, la fermeté, la texture de mes seins, la dureté relative de mes tétons gonflés le rendent fou de désir. La dureté de son sexe augmente encore, à ma plus grande satisfaction.

Nous sommes fort occupés dans cette position lorsque Dom et Chloé arrivent au coin de la maison et nous découvrent avec intérêt.

Loin de penser nous déranger, elles nous observent.

Notre excitation redouble, nous sachant observés. Nous avons tous les 2 des tendances exhibe..

Je leur fait signe de nous rejoindre.

Hésitation de Chloé

Sa mère la prend par la main.

Elles sont magnifiques toutes les deux.

Ah !.. les seins de Chloé ! 2 citrons pointant vers le haut, peau blanche, sûrement très douce. J'ai l'impression que Michel a bien envie de vérifier.

Je marque une pause, pour le faire durer, et peut-être le partager ? Voilà une idée qui va lui plaire. Je suis est partageuse.

Tout en restant empalée jusqu'à la garde sur son sexe, je caresse Dom et Michel fait signe à Chloé de s'étendre à son côté.

Hésitation de la belle.

Michel insiste, elle le rejoint et il peut enfin caresser ses magnifiques seins, son sexe toujours à fond dans le mien qui recommence mes ondulations des hanches.

Le spectacle est saisissant : mes fesses qui ondulent, à contre-jour les petits tétons de Chloé dans les grosses mains de Michel et Dom qui me caresse , me titille le clito, effleure le sexe de Michel avec ses doigts, saisissant ses couilles à pleine main...

Puis Dom invite Chloé à la remplacer. Pendant qu'elle se lève, enlève son string et vient coller sa chatte sur la bouche de Michel.

Le voici avec la chatte de Dom sur la langue, le sexe à fond dans le mien qui mouille tellement que ses couilles trempées dans la main inexpérimentée de Chloé roulent et l'excitent apparemment beaucoup.

Je suis au bord de l'orgasme. Dom me pétrit les seins. Je gémis de plus en plus fort et Michel est au paradis, au bord de la jouissance. Je vois qu'il se retient le plus possible.

Quelques minutes encore de cette situation de rêve.

Puis nous n'y tenons plus. Michel et moi jouissons ensemble, il m’inonde de sa sève chaude, ses spasmes sont longs, nombreux et délicieux. Le calme revient bientôt sur nos 4 corps détendus.

Enfin... Michel et moi, seulement, car Dom et Chloé sont très excitées et aimeraient avoir leur tour...

Je viens alors m'étendre à son côté pendant que Chloé lèche son sexe. Elle n'en perd pas une goutte.

Inexpérimentée Chloé ? Pas tant que ça.

Se faire sucer après éjaculation vous connaissez ? Et en plus par une nymphette aux seins magnifiques ? Le bonheur pour Michel qui ne tarit pas d'éloges sur Chloé.....

Je me laisse dorloter par Dom pendant que Chloé se donne comme objectif de faire bander Michel très vite et très fort. Et j'avoue qu'elle sait bien s'y prendre.

Chloé enlève son string et se caresse pendant qu'elle déguste son sexe, à nouveau tendu comme un arc.

L'excitation remonte. Dom rejoint sa fille pour partager son jouet : le sexe de Michel...

La mère et la fille s'occupent tant et si bien de lui que sa motivation revient encore plus fort.

Qui va-t-il choisir en premier ?

Choix difficile...

Elles comprennent son dilemme et se mettent à 4 pattes toutes les deux à côté, les hanches cambrées à souhait.

Du coup, je prends le relais avec une fellation rapide en caressant Chloé.

Le sexe en avant, Michel choisit Dom et passe son gland sur son clito avant de la pénétrer fougueusement.

Dom gémit de plaisir, Chloé et moi venons derrière et lui caressons le sexe en fonction de ses mouvements.

Chloé s'installe à côté de sa mère, offrant à Michel sa chatte ouverte. La tentation est trop forte, il la pénètre doucement avec délectation et beaucoup de douceur.

Elle jette sa tête en arrière. Dom et moi la caressons sur tout le corps.

Ses coups de boutoir, de plus en plus forts lui provoquent de petits cris.

Dom s'allonge sur le dos, les cuisses ouvertes.

Il invite Chloé à s'allonger sur sa mère.

Dans cette position, leurs deux chattes sont très proches. Il peut les pénétrer l'une, puis l'autre très facilement.

Je les caresse toutes les deux puis saisit de temps en temps la grosse queue de Michel pour le guider vers l'une ou vers l'autre.

Voilà une position qui plaît à tout le monde.

Puis , sans prévenir je lui enfonce un doigt dans l'anus.....

Doucement d'abord puis profondément jusqu'à atteindre sa prostate.

Un massage prostatique et pénétration de 2 chattes offertes en même temps... Jil est vraiment gâté !

Il ne se doutait pas que je maîtrisais aussi bien l'anatomie masculine.

Dom commence à fatiguer, Chloé se retire et s'allonge sur le dos, les cuisses ouvertes.

Alors Michel la prend en missionnaire, mon doigt toujours à l’œuvre.

Dom se joint à moi et lui suce les couilles pendant ses mouvements dans la jeune chatte de Chloé.

Plus reposant, et position dominante sur Chloé tout en étant dominé par moi et caressé par Dom.

La sève a l'air de monter, Chloé arrive au ciel.

Elle jouit en poussant des cris.

Je sens que Michel se retien encore....

Puis n'y tenant plus il se retire brusquement pour inonder le corps de ses 3 partenaires avec son jus sucré et chaud jusqu'à être complètement vidé ! Je fais un clin d'oeil à mes amies:)

Nos corps étendus, nous profitons de la douceur de cette fin d'après-midi torride.



Oui mais Dominique ????

Elle n'a pas eu son compte, mais c'est une autre histoire que je vous conterai un jour.

Pour cette fois, je me chargerai de Dom, je fais confiance à ma légère tendance bi.

 

Corinne

 

 

Par délégation de Michel



Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 18:21

 

"Emilie, tu veux voir la fin du film?"
"Pas sûre... et toi?"
"Suis-moi!"

 

On s'est éclipsé discrètement. Dehors, il faisait frais et humide. On a remis nos manteaux pour aller à la voiture de Jacques. Il a fait démarrer la Mercedes et on a quitté Archamps. Je me suis approché le plus possible de lui, autant que me le permettait la ceinture. Il a posé sa main sur ma cuisse et comme c'était une boite automatique, il pouvait la laisser.... J'ai évidemment fait de même. On roulait silencieusement. D'après ce que j'ai pu voir, on est parti en direction des pentes du Salève et on bout de dix minutes , il avait trouvé un endroit cool pour arrêter la voiture.

Personne, vue sur les lumières de l'agglomération genevoise.

Quand il a coupé le contact, ça m'a fait une drôle d'impression, silence total, l'impression d'être vraiment entre nous, tranquilles..... Et puis, il s'est approché, je me suis approchée, le réflexe du désir, je suppose... Lui aussi s'est approché....Il n'y avait rien d'autre à faire qu'à se laisser guider par l''instinct...

J'ai passé mes bras autour de son cou... On s'est embrassé..... J'ai caressé ses cheveux pendant que ses mains descendaient dans mon dos......

J'ai enlevé mon manteau et il a fait de même.... Puis on s'est embrassé à nouveau, ses mains caressant mon dos commençaient à me chauffer …. Puis j'ai ostensiblement défait deux ou trois boutons de mon chemisier et enlevé ma petite culotte. J'ai posé alors une main sur le haut de sa cuisse et quand il a pris mes seins dans ses mains et qu'il les a consciencieusement pelotés, il ne s'est probablement pas rendu compte des contractions violentes provoquées dans mon bas-ventre alors qu'il ne pouvait plus cacher son érection. J'ai caressé son pantalon là où manifestement cela lui faisait plaisir et quand il a glissé une main entre mes cuisses....

« J'ai envie de t'embrasser, tu peux baisser le dossier du siège ? »

« Bien sur. »

J'aurais pu lui dire que j'avais envie de le sucer mais, de toutes façons, il a très bien compris. J'ai défait sa ceinture et sa fermeture éclair, puis, pendant que son pantalon descendait sur ses chevilles, j'ai pris son sexe en main pour le branler doucement et quelques secondes après, je l'avais en bouche. Un sexe tout à fait correct que je sentais devenir hyper-dur à chacun de mes aller-retours. Et vu ses expressions de satisfaction, j'ai cru aller un peu trop vite quand il m'a dit :

« Cathy, on peut passer derrière ? »

« Bien sûr ! »

Tu parles que je voulais ! Je suis passée la première, facilement, en remontant ma jupe au maximum, ce qui semblait lui plaire beaucoup. Alors, pendant qu'il défaisait ses chaussures pour enlever son pantalon et boxer, je suis passée derrière avec le paquet de mouchoirs en papier et me suis allongée sur le siège arrière, j'ai retiré ma jupe, j'ai ouvert complètement mon chemisier, défait mon soutien-gorge et écarté mes cuisses ….

« Jacques, tu as prévu ce qu'il fallait ? »

« Oui, j'arrive avec. »

« Tu veux que je te le mettes ? »

Ca l'a fait rigoler que je lui propose de lui mettre le préservatif...

« Si tu veux, avec plaisir ! »

Il est arrivé derrière et il ne perdait rien du spectacle.... J'ai commencé à me masturber doucement, je mouillais déjà.... J'avais envie de sa queue...

« Ca te plait que je me caresse comme ça devant toi ? »

«  J'adore ! T'es belle, tu sais ? »

« Approches ! »

Je lui ai mis le préservatif.... puis, pendant que j'enfonçais mes doigts dans ma chatte, mon autre main le branlait avec vigueur. Quand j'ai senti que le moment était venu... c'est lui qui m'a dit :

« Cathy, j'ai follement envie de te baiser et maintenant ! »

« Moi aussi, viens, baises-moi maintenant ! »

 

Il ne s'est pas fait prié et m'a pénétrée avec douceur et fermeté. C'était sympa. Je n'étais pas installée au mieux mais ce n'était pas grave. Je pensais un instant à Antoine qui voulait des photos mais là, on n'était pas partis pour ça. La prochaine fois, peut-être. Pour l'instant, je dégustais le sexe de mon partenaire. C'est sur que le plastique, j'ai toujours eu un peu de mal avec. De mal à jouir avec. Sinon, c'est obligatoire mais j'étais quand même bien et lui semblait assez content de sa situation. Il n'avait pas l'air de se plaindre de ce qu'il faisait. Quand j'ai senti que c'était le moment, je lui ai proposé de me prendre en levrette. J'ai réussi à trouver la bonne position et on a remis ça.

 

Il a joui en moi, assez vite, trop vite à mon goût. On n'a pas eu besoin des mouchoirs. Mais il avait des excuses. On n'était pas très confortablement installé et il en avait tellement envie ! Sur l'échelle de Richter de mes orgasmes, notés de 1 à 10, je dirais 6 pour ce coup là. J'en ai un peu rajouté pour le faire jouir et lui faire plaisir.... Mais j'étais heureuse qu'il soit heureux et je n'ai jamais connu d'orgasme de 10 la première fois. En plus, baiser dans une voiture, sans pouvoir en sortir, la nuit, en hiver, ça complique beaucoup de choses.

 

Il m'a ramenée au Ramada. On était donc juste avant Noël et je lui ai expliqué qu'on ne pourrait pas se revoir avant janvier. Je lui ai dit que je déménageais pendant les vacances. Je lui ai fait comprendre que s'il voulait qu'on se revoie, ce serait bien que ce soit sans préservatif. Il a compris ce qu'il devait faire, moi aussi. Une fois dans le hall du Ramada, j'ai fait semblant de prendre l'ascenseur et j'ai repris discrètement ma voiture pour rentrer en France.

 

En janvier, on s'est revu assez vite et on est retourné s'isoler en voiture. Là, on a baisé et il nous a pris en photo, avec mon appareil, sous toutes les coutures. Ca avait l'air de lui plaire. On s'est revu trois ou quatre fois.

 

Mardi dernier, il m'a appellée sur le coup de midi :

« Emilie, tu peux te libérer vers 14h30 ? J'aimerais qu'on se retrouve au Ramada dans le hall. »

« Rappelles-moi vers 14h, je te dirai ! »

Pourquoi le Ramada ? Je n'en avais pas idée. A part qu'on connaissait tous les deux comment y aller.... J'ai réussi à me libérer et je me suis pointée au Ramada à l'heure dite.

On s'est embrassé et je lui ai demandé :

« Pourquoi le Ramada ? »

« Une surprise. On prend un café ? »

« Oui, avec plaisir.... »

Le café à peine terminé, il me demande :

« Emilie, donnes moi un chiffre entre cinq et quinze. »

J'étais un peu surprise de la question mais je lui ai proposé douze. Il m'a aussitôt entraînée vers les ascenseurs. A trois heures de l'après- midi, il n'a pas beaucoup de monde voire personne. On a pris le premier ascenseur. On est monté, seuls. Il a appuyé sur le bouton douze. Dès que les portes ont été fermées, il m'a fermement poussée dans un angle et m'a embrassée presque sauvagement. Au premier étage, il me caressait les seins fermement. Je me demandais seulement s'il y avait une caméra vidéo. Si oui, le gars devait se marrer.. Moi ça m'excitait passablement. Au troisième étage il avait relevé le devant de ma jupe et cherchait à atteindre ma dentelle. Je commençais à savoir ce qu'on allait faire au douzième. Mais je n'étais pas pressée d'y arrivée. Arrivés au onzième, il s'est calmé et on s'est rajusté avant que les portes ne s'ouvrent.

Dehors, personne dans les couloirs.... Main dans la main..... Jusqu'à passer devant les toilettes de l'étage. Dans les toilettes, personne. On entre, une rangée de sept ou huit lavabos, six cabines... J'aimerais bien qu'on entre dans l'une d'elle, je me sentirais plus à l'abri des éventuels arrivants mais ce n'est pas le projet de Jacques qui est de me soulever en prenant mes fesses dans ses mains et de me poser sur le rebord d'un lavabo, de me serrer contre lui tout en sortant son outil et …... tout d'un coup , des bruits de voix dans le couloir.... Il me lâche et, tenant son pantalon d'une main, il se précipite dans une cabine où on s'enferme en retenant notre souffle. Je m'assois .... Deux personnes, apparemment, entrent.... Jacques se retourne avec d'infinies précautions et je n'ai plus qu'à me pencher doucement en avant pour prendre son sexe en bouche tout en écoutant des bruits de portes qui se ferment, de chasse d'eau , de robinet de lavabo pui tout d'un coup, grand calme ! J'éclate de rire tout en continuant à sucer mon ami qui devient rapidement raide comme un manche :

« Tu veux que je me tourne ? »

C'est demander à un aveugle s'il veut voir...

« Oui, je crois que c'est un peu obligatoire ! »

Vu l'exiguïté des lieux.... C'est vrai que baiser dans des toilettes, ce n'est pas très glamour mais c'étaient celles du Ramada et mon ami s'est avéré diablement endurant au point que je n'ai pas eu à simuler quoi que ce soit. Les carrelages des toilettes du Ramada sont très beaux. J'ai eu le temps de les apprécier

A 15h30, j'étais dehors . Pleinement satisfaite . On se reverra sûrement :)

 

Emilie

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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