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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 08:53

 

 

 

En ce début mai, il fait très beau et chaud. Alors je me suis dit autant en profiter ! Cet après-midi, il fait un bon 26° au soleil. Pas de vent. Le printemps me donne des envies coquines de soleil sur ma peau un peu trop pâle.

 

J’ai envie de bronzer un peu. Mon jardin est abrité par de hauts murs qui nous séparent de nos voisins et je suis dans une impasse. Enfin, le mur ne va pas tout à fait jusqu'au bout. Une haie sépare le fond de mon jardin du petit bois assez touffu conduisant à la route. Personne ne peut venir par là, sauf mes amants. En plus c'est vrai, je ne les fais pas arriver par la grande porte de devant ! Donc, pas de chichis et je me dis qu’il n’y a personne pour me voir et j’envisage de bronzer toute nue.

 

Je monte dans ma chambre. J’enlève tous mes vêtements et me tartine de crème protectrice, de manière à ne pas ressembler à un homard à l’issue de l’après-midi.

Avant de descendre en tenue d’Ève dans le jardin, je jette un œil par la fenêtre. Aïe, petit souci. Le jeune fils majeur de mes voisins est installé torse nu sur un transat. Il doit être déjà en vacances. Les cours à la fac, ça finit vraiment trop tôt dans l’année.

C’est un gars de 19 ans, pas mal, assez baraqué, avec des cheveux en désordre. Je l’ai déjà surpris en train de m’observer à travers la haie, au fond du jardin, alors que j’arrosais mes fleurs… Il faut dire qu’un t-shirt rouge, même au travers d’une haie d’aucuba assez fournie, ça n’aide pas à être discret. Enfin, j’étais assez flattée qu’une « vieille » de 39 ans attire l’attention d’un jeune homme de 19 ans. J’ai donc fait mine de ne pas m’en apercevoir.

 

Je l’ai parfois croisé dans la rue et j’ai pu m’apercevoir que, très maladroitement, il essayait de deviner mes formes, son regard parcourant ma poitrine et mon bassin.

 

Donc pas de bronzage nue, mais en maillot de bain. Je passe mon maillot de bain deux pièces blanc. Je descends, Initiation de Laura Bath à la main, que j’ai commencé à lire en début de semaine, résolue à lire sagement en prenant un peu de couleurs.

 

Hop! je m’allonge sur mon transat. Je commence à lire ce livre au contenu assez sensuel et apprécie la caresse du soleil sur ma peau, mes cuisses et mon ventre.

Pas un bruit. Je ferme les yeux, c’est si bon ! J’ai sans doute eu tort de m’installer en lisant ce livre. Pourquoi n’ai-je pas pris une revue ? Le livre est très moyennement écrit, mais quelques passages sont vraiment réussis et me font fantasmer. Mon corps réagit à mes pensées. Caresses du soleil? Oui, sûrement mais....seulement?

J’ai vraiment envie de me toucher… Mais je ne suis pas décidée à risquer de me faire épier par mon jeune voisin, même si les murs sont hauts !. Il faut que je sache s’il me mate…

Je pose mon livre, entre chez moi et grimpe quatre à quatre les marches jusqu’à ma chambre au premier. Sans écarter les rideaux, je jette un œil dans le jardin des voisins. Mon jeune voyeur a installé son transat contre le mur mais juste à l'endroit où le mur devient haie et a ouvert la braguette de son pantalon… Je m’en doutais. Le petit coquin fantasme à mort sur moi, et ma tenue légère doit lui donner des envies. Il a dû faire comme moi, monter au 1er étage pour me mater avant de s'installer sur son transat....sa bite en main.

 

« Woahhhhhh ! » me dis-je, le gamin a l'air d'avoir bien été gâté par la nature ! Il faut dire aussi que le maillot de bain blanc moule bien mes seins et que ma toison châtain est partiellement visible au travers de la toile.

 

Je redescends rapidement les escaliers et retourne dans le jardin. L’ombre du cerisier me donne le prétexte de rapprocher de quelques mètres mon transat du mur. Maintenant j'aprçois les pieds de mon voisin..... Je choisis de orienter, mon transat, sans aucun prétexte valable, de manière à me retrouver face au mur de verdure. Je vais permettre au jeune homme d'imaginer mon corps dans de meilleures conditions. Cela m’excite et je ne pense pas, à ce moment précis, à aller plus loin. Je veux juste me sentir désirée et m’imaginer plus tard mon voisin en train de se masturber en me donnant moi-même du plaisir dans ma chambre.

 

Avant de reprendre mon livre, je prends mon smartphone et commence une conversation à haute voix avec une copine imaginaire où j'explique qu'on est bien presqu'à poil, qu'il ne me manque que Bertrand et que s'il était là.... et patati et patata, assez fort pour que mon voisin entende et se dise que la voisine, il se la dégusterait bien pour dessert !

 

Je reprends mon livre en faisant mine de rien et reprends ma lecture. L’héroïne, Natasha, rencontre une jeune fille en mal d’affection qui fait partie d’un groupuscule se battant pour la défense des animaux, groupuscule dirigé par un mystérieux inconnu qui lui donne ses ordres via internet avant de lui demander de s’offrir à lui par webcam ! La situation m’émoustille et je sens mes tétons durcir.

 

J’ai une boule au ventre. J’ai envie de me donner du plaisir et aussi de le montrer au jeune homme qui m’écoute derrière le mur, mais j’ai honte de l’impudeur dont je fais preuve en envisageant cette possibilité. Enlever mon maillot de bain et même sans me montrer toute nue fait battre la chamade à mon cœur rien que d’y penser. Quant à me toucher avec juste un mur ou mur de verdure nous séparant, cela me paraît au-dessus de mes forces.

Cependant, il ne sait pas que je suis au courant qu’il m’observe. Cela me dédouane de la culpabilité de m’exhiber volontairement devant lui.


C’est presque en tremblant comme une feuille que je décide de me caresser les tétons durcis, d’abord d’une main, tenant de l’autre mon livre, par dessus mon haut de maillot de bain. Le tissu commence à m’agacer et je crains d’avoir bientôt les tétons irrités. Et puis, des seins nus on en voit sur la plage. Les miens, j’en suis très fière. Je fais un bon 95c, avec des aréoles roses de taille moyenne et, malgré leur taille, ils sont très fermes. Même toute habillée, les hommes ne peuvent s’empêcher de jeter un œil dessus, ce que j’apprécie d’ailleurs beaucoup.

 

Je pose mon livre et je décide donc, la boule au ventre, d’ôter ce haut qui me gêne. Mes tétons, assez gros en temps ordinaires, sont très gonflés. Je mouille mes doigts et les pince légèrement. Ma boule au ventre disparaît et mon excitation grandit encore en imaginant mon jeune voisin en train de me mater. J’imagine qu’il a dû sortir sa verge de son pantalon depuis un bon moment et doit commencer à se masturber. À cette idée, je ferme les yeux et malaxe mes seins. J’imagine sa verge dressée et les caresses qu’il se prodigue. Je ressens du plaisir à me malaxer les seins, mais, bientôt, cela ne me suffit plus. J’ai une envie irrépressible de soulager le besoin de me toucher et je pense que je vais être obligée de monter dans ma chambre me finir. J’ai presque pris la décision de me lever, mais je me dis qu’une alternative existe, certes impudique, mais qui ne relève pas totalement de l’impossible pour moi.

 

Je passe l’une de mes mains dans ma culotte, je fouille ma toison. Ma petite chatte est déjà toute humide et mon bouton réclame mes doigts. Je vais chercher un peu de cyprine et je commence à appuyer sur mes nymphes dans un geste circulaire, toujours dans mon slip de bain.

Loin de calmer mon désir, je ressens le besoin impérieux de m’introduire deux doigts dans le vagin. Quand je me masturbe, j’ai vraiment besoin de cela. Mon petit slip est bien trop étroit pour pouvoir m’exécuter facilement. Soit je l’écarte, soit je l’enlève.

 

A ce moment là, je lève les yeux par hasard et j'aperçois la silhouette du jeune homme, au premier étage, derrière la porte-fenêtre. J'aurais dû m'en douter, je n'entendais plus rien à côté de moi et, là-haut, il est nu, sa verge en main et le regard perdu.

 

J'ai un moment d'hésitation, je stoppe tout mouvement et puis j'hésite encore et je glisse mes doigts sur ma fente, chaude et humide… mmmhhhh ! j’ai la vulve mouillée et trempée. Je n’y tiens plus. Je retire l’ultime rempart à la vue de mon intimité.

 

Je décide de ne plus penser à rien, seul le plaisir que je vais prendre doit compter. Je n’imagine plus le jeune homme en train de se masturber. Je m’imagine dans ses yeux et je suis toute au spectacle que je lui donne. Mes doigts passent entre mes poils pubiens. Je caresse mes grandes lèvres toutes gorgées. J’écarte mes cuisses et entrouvre ma vulve. Je suis toute grande ouverte maintenant.

D’une main, je caresse mes seins gonflés et durcis par le plaisir et de l’autre je continue à me masturber, deux doigts fouillant mon intimité. Je suis tellement excitée que le plaisir monte très vite, je gémis mais je me retiens, je sais que je ne suis pas seule… Les vagues de chaleur dans mon ventre s’accroissent et mon bassin ondule. L’orgasme n’est plus très loin de mes doigts introduits dans mon vagin. J’ai encore un moment d’hésitation. Vais-je livrer le spectacle intime de mon orgasme au jeune homme ?

 

Tant pis. Je suis tellement excitée que plus rien ne peut m’arrêter. Je jouis profondément, les cuisses impudiquement ouvertes, les doigts sur mon clitoris gonflé, les seins pointant vers le ciel…

 

J’attends quelques secondes, puis ma main retourne sur mon clitoris… Ahhhh ! nouvelle jouissance. Je ne peux retenir un petit cri involontaire, c’est tellement bon…

 

Me voilà pantelante sur mon transat, nue et impudique, à la fois honteuse et excitée de m’être livrée entièrement au regard d’un jeune homme. Le jeune homme vient de se finir, il m'envoie un sourire et un baiser....

 

Baiser avec lui? Un jour, peut-être....Cela me donne malgré tout envie de recommencer… une autre fois… ailleurs…

 

 

 

De la part de Yann :)

 

PS: Tout n'est pas vrai :)

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Vendredi 5 mai 5 05 /05 /Mai 10:55

 

Automne-Hiver 2015/2016

 

C'est comme ça que j'ai commencé à reprendre goût à l'amour, au sexe.... Quelques jours après, Corinne est repartie en métropole... On se voyait régulièrement sur skype. Il nous est même arrivé de nous caresser ensemble. Ca nous rappelait de superbes souvenirs. Et puis, la vie sans elle s'est organisée simplement. La semaine, je bossais avec le plaisir que me procurait la perspective de courir et de baiser avec Matthieu pendant le week-end.... Je restais en contact, bien sur, avec Jean-Luc et Andréa et aussi avec Hélène et Bastien.

 

Donc, rien de particulier jusqu'en septembre, jusqu'au moment où Andréa est allée habiter la semaine à St-Denis. Jusque là, Jean-Luc se la tapait autant qu'il voulait et, là, pas question de l'approcher ! Je n'en avais même pas vraiment envie malgré ce que Corinne me répétait.

Quand Andréa est partie, Jean-Luc s'est retrouvé tout seul et j'ai senti le changement. Il s'est mis à m'appeler au téléphone, à prendre des nouvelles, à m'inviter déjeuner, ce que j'ai accepté…. Là, j'ai repensé à ce que Corinne m'avait dit mais aussi à Matthieu. C'était quand même mon mec, Matthieu ! Je couchais avec lui, jamais assez à mon goût mais je ne voulais pas lui faire un enfant dans le dos ! Je courais avec lui et ça me plaisait. Mais c'est vrai que pendant la semaine, il y avait des moments où j'aurais bien….. enfin bref, j'aurais aimé ne pas être seule !  J'avais déjà changé !  Je commençais à me demander si je n'étais pas un peu nympho !:)

 

Et puis un jour, j'ai raconté à Matthieu que j'avais déjeuné avec Jean-Luc et que je le trouvais non pas déprimé mais juste un peu languissant et que je me demandais s'il n'était pas en train de me draguer. C'est là que Matthieu m'a fait comprendre, mais très élégamment, et je résume, en gros, que si j'avais envie de m'amuser en semaine, il préférerait que ce soit avec Jean-Luc plutôt qu'avec n'importe qui d'autre. Mais que le week-end, j'étais à lui ! 

Alors j'ai continué à accepter les avances de Jean-Luc…. Il me caressait la main à table….. Je la lui laissait juste ce qu'il fallait pour le ferrer sans qu'il s'emballe. Ca a duré quelques semaines et puis il y a eu sa visite à mon cabinet pour je ne sais plus quelle raison, un piqûre ou vaccin, peu importe. C'était en novembre, je crois, Il est arrivé vers midi pour le dernier rendez-vous avant la fermeture du cabinet. Quand il est entré, j'ai eu une impression bizarre. Il m'a fait la bise de façon peut-être plus insistante que d'habitude, je ne sais pas, je l'ai senti tendu. On a discuté un peu et puis je lui ai dit de se déshabiller comme je le dis à tous mes patients pour une auscultation classique et prise de tension. Et là une fois en petite tenue, au moment de s'asseoir sur la table d'auscultation, il m'a prise dans ses bras et a voulu m'embrasser sur la bouche. J'ai fait mine de vouloir lui échapper en lui expliquant que ce n'était pas forcément une bonne idée......

La remarque con par excellence..... Que j'étais avec Matthieu et que même si j'avais parfois eu envie de lui, je ne voulais pas décevoir Matthieu. Là, me tenant toujours dans ses bras, il me dit qu'il connaissait bien Matthieu, ça c'est vrai, que si on lui en parlait peut-être ne se considérerait-il pas trahi si c'était avec lui qu'elle s'amusait pendant la semaine plutôt qu'avec un autre. Là, j'ai eu l'impression d'entendre le discours de Matthieu. J'étais sure qu'ils en avait parlé et tes discours, Corinne, me sont aussi revenus aux oreilles. Jean-Luc me serrait toujours aussi fort dans ses bras et je sentais son désir gonfler pendant qu'il essayait de déboutonner ma blouse. En dessous, je n'avais que mon string et un petit soutif. Je lui ai demandé si c'était le médecin ou la femme qu'il venait voir. Il m'a répondu les deux et j'ai eu devant ce corps noir et musclé qui bandait pour moi une bouffée de désir que je n'imaginais pas pouvoir avoir…. Je lui ai dit que le médecin devait faire ce qu'il avait à faire. Alors, je lui ai pris la tension autour du poignet et il m'a dit en baissant son slip qu'il y avait un autre endroit où il avait beaucoup de tension et qu'il aimerait bien que je la lui prenne. Son sexe érigé est aussi gros que mon poignet, alors, tu vois, rien ne s'opposait à ce que je lui passe l'appareil autour du sexe et ça nous a bien fait rire tous les deux. Après, je lui ai fait la piqûre et, à peine avais-je retiré l'a seringue, je l'avais encore en main, je crois, qu'il m'a saisie par la tête pour que j'embouche son énorme...

Oui, je l'ai sucé et il a violemment déchiré ma blouse et mes dessous. Il paraissait en rage et son désir à fleur de peau. Il m'a littéralement violée sur place pendant une demi-heure. Je ne savais pas quoi faire pour l'arrêter mais j'y prenais plaisir..... Il m'a filé la fessée, me tordait le bout des seins, me retournait comme une crêpe, un coup sur le ventre, un coup sur le dos. J'étais sa chose et il me disait que ça faisait si longtemps qu'il avait envie de me baiser, qu'il adorait les blondes comme moi, qu'il voulait que je sois sa chose pendant 5 jours par semaine, qu'il me ferait connaître les plus grosses bites de La Réunion, et me ferait baiser par tous ses copains si je n'acceptais pas d'être sa soumise, en quelque sorte ! Jusqu »à ce que j'aie mon « Screaming orgasm » et même plusieurs tellement il était excité.

Et donc il a rajouté qu'il m'appellerait dès le lendemain matin pour me dire où et quand il fallait que je sois pour qu'il me baise à nouveau !  Le pire c'est qu'il m'a rappelé pour convenir d'un rendez-vous et que j'y suis allée !  Tu veux connaître la suite ?

 

Oui, j'y suis allée . Il était beaucoup plus calme, mais toujours aussi endurant. Il m'a baisée en parlant souvent de toi, du reste… Il m'a baisée, il m'a fait baiser, on est allé à St-Leu, là où vous n'aviez pas pu aller, tu te rappelles ? 

 

Oui, on y a été. Il m'a fait rencontrer Aïna et Pierre avant et on a été y passer une nuit au début de cette année. J'ai été prise analement de force par Pierre avec les encouragements de Jean-Luc. Je ne voulais pas. Il a dû mettre dix minutes pour introduire son chibre dans mon pauvre petit cul. Je criais mais rien n'y faisait. Aïna essayait plein de massages locaux pour diminuer la douleur…. Bref, une fois dedans, et avec des mouvements délicats …..

 

« Et puis une autre fois, on a été, de nuit, à la plage, à un rendez-vous avec deux couples de ses amis. Deux couples noirs, j'étais la seule blanche et blonde et on me voyait bien de nuit. Tout a commencé vers minuit. Les deux couples ont commencé à se faire des câlins. Et puis moi j'ai commencé à sucer Jean-Luc…. A un moment donné, Jean-Luc me fourrait et je regardais de côté la fille d'un couple, à cheval sur son mec quand l'autre mec est venue la double-pénétrer !

Quand j'ai eu fini de jouir, Jean-Luc a voulu que je le suce pour le relancer. Je me suis agenouillée entre ses cuisses et il me tenait fermement la tête. Ca, ça ne m'inquiétait pas mais tout d'un coup, j'ai senti deux mains énormes qui m'immobilisaient les hanches, plus moyen de bouger, j'ai commencé à sentir un truc, en fait la queue du mec qui essayait de s'introduire et Jean-Luc qui appuyait ma tête pour que je reste avec sa bite en bouche pendant que l'autre black me sodomisait !

Tu n'y crois pas, hein ? Si, je t'assures. Et puis Jean-Luc s'est glissé doucement sur le dos entre mes cuisses pour fourrer sa queue dans mon trou disponible ! Tu vois, Corinne ? Le problème, c'est que sur l'instant, je me trouve méprisable, j'ai honte de moi. Deux jours après, quand Jean-Luc me rappelle pour me fixer un rendez-vous, je lui dis merci !

 

En 18 mois, je suis passée du stade de déprimée au stade de … « bête de sexe » ?

 

Et encore, je ne te parles pas du Diamant bleu ou du temps passé à admirer la mer et le lagon depuis les hauts !  Ou des jeux de Jean-Luc au restaurant !

Je te parlerai du diamant bleu une autre fois......

 

J'ai hâte que tu reviennes :)

 

A suivre....

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Vendredi 5 mai 5 05 /05 /Mai 10:33

 

Chapitre 3 :

 

Caro adore être regardée, surtout dans le noir!!! Surtout par l'homme dont elle désire le sexe !!!!

 

Fantasme qui émerge en elle, qui l'envahit, qui l'emporte comme un torrent. Qui balaie sa retenue, qui la fait commencer à caresser ce désir que Matthieu ne peut plus masquer et encore moins soustraire aux doigts de Caro. Elle a envie de toucher, de prendre en main , de sucer, de prendre possession.......

 

Elle commence à défaire la ceinture de son pantalon. Elle baisse doucement la fermeture éclair de sa braguette. Elle y glisse 2 doigts. Elle n'a aucun mal à trouver ce qu'elle cherche..... Elle touche, elle touche pour la première fois ce sexe encore prisonnier du slip de son propriétaire..... Mais elle va le libérer ! C'est promis!

 

Elle prie pour que Matthieu en fasse autant pour elle avant que ce ne soit elle qui ne soit obligée de le faire!

 

Ses prières sont exaucées. Elle a un frémissement compréhensible quand ses doigts cherchent à dégrafer son joli soutien-gorge blanc et bleu en dentelle... Elle enlève ses chaussures et perd 10 cm d'un coup. Elle se retrouve en petite culotte et soutien-gorge.... non, même plus de soutien-gorge, son joli soutien-gorge blanc et bleu en dentelle a fini par voler dans la chambre...Ses seins dans les mains de Matthieu, qu'ils sont bien là! C'est le plus agréable des soutien-gorges!!

 

Et puis Caro a trouvé le dernier bouton à la ceinture, Matthieu rentre le ventre.... Est-il pressé?. Bientôt son pantalon et chaussures ne sont plus qu'un lointain souvenir et sont partis rejoindre le soutien-gorge de Caro.

 

Elle caresse enfin le sexe de Matthieu au travers de son slip. Ouahh! Comme la première photo qu'elle a vue sur le site....Enfin !

 

Promesse de plaisir, elle décide de s'en occuper, tout de suite!. Elle essaye de baisser son slip mais sa queue si raide ne lui facilite pas la tâche! Elle le baisse juste ce qu'il faut pour pouvoir prendre les choses en main. Matthieu ferme les yeux en sentant les doigts de Caro sur sa queue pour la première fois. C'est ça? Hein?

 

Soupir de son souffle, yeux fermés, son corps abandonné...Les mains de Matthieu qui n'ont pas lâché ses seins lui font perdre toute notion raisonnable.

 

Ils s'embrassent à nouveau, leurs bouches se retrouvent. Elle frissonne. Sensation des plus tendres et des plus douces que de sentir son corps d'homme en rut la tenir entre ses bras et de pouvoir le caresser jusqu'à le faire trembler de désir. Elle commence à le branler tout doucement, tout doucement.

 

Une des mains de Matthieu arrête ses doux mouvements sur les seins de Caro, quitte sa poitrine , se pose sur le haut de sa cuisse et descend en des va-et-vient réguliers, et toujours lents. Très lents, afin de retarder encore un peu ce moment de plaisir si intense où il franchira la dernière barrière de son intimité, où il ira s'humecter les doigts dans son bénitier d'amour.. Elle n'est pas pressée mais elle en a tellement envie !!

 

Sa main est remontée. Il passe d'abord un doigt sur la peau, à la lisière de son triangle de dentelle, et il sent la douceur, la chaleur de son désir... Bien au chaud, sa main prend le temps de jouer avec chaque parcelle, chaque millimètre de peau qu'elle découvre...

Puis, enhardie par les soupirs qu'elle provoque en elle, délicatement, sa main s'immisce entre ses cuisses... tout doucement, elle lui écarte les cuisses, sans pour autant se hisser encore jusqu'à sa chatte si mouillée. Apparemment Matthieu préfère toujours prendre son temps dans ce jeu de caresses... Caro adore mais est si impatiente . ….

 

 

 

Son regard replonge sur elle, femme offerte, abandonnée à son plaisir, désirant, soupirant... Et lui , simple outil de son désir à elle, il parait au comble du bonheur...

 

« Suces-moi les seins, Matthieu! C'est un ordre! »

 

Elle n'y tient plus! La bouche de Matthieu se porte sur l'aréole du sein de Caro qu'il se met en devoir de lécher, de mordiller, de sucer, jusqu'à tirer de sa lyre des petits cris de plaisirs. Lui a l'air d'y prendre beaucoup de plaisir.

 

Il joue avec ses soupirs, elle l'embrasse. Puis, tout à coup, il prend ce téton dans sa bouche et le mordille, le suce comme s'il était une partie de lui qu'il voudrait aspirer. Puis, il retire sa bouche, pour seulement le plaisir de l'entendre prononcer ce simple mot : « Matthieu, encore, continues ! ».

 

Et ce ne sera pas le dernier de cette fin d'après-midi. Et Matthieu repart dans cette caresse... Il s' attaque enfin au deuxième téton, afin de ne pas le laisser isolé et jaloux. Sa main redescend lentement mais sûrement vers le sexe humide de Caro.

Là, après quelques mouvements, elle sent la main approcher son intimité, juste au-dessus de son triangle de dentelle, doucement, d'un doigt, d'un frôlement... C'est un plaisir insoutenable, qu'elle réclame.

«Oh oui, Matthieu, vas-y. Putain mais vas-y, Excuses-moi ! »

 

Elle se cambre, son corps en demandant plus, encore plus, demandant une délivrance que Matthieu ne veut pas encore lui accorder.

 

Et puis, il appuie plus fermement son doigt, sur la partie la plus sensible de son anatomie... Toujours les yeux fermés, elle savoure. Enfin, enfin il glisse votre index sous ce petit voile de tissu et un doigt le long des lèvres de sa chatte, qu'une douce et moite chaleur anime. Sexe à peine épilé, désir de le toucher, de le caresser, de l'embrasser... Douceur tant attendue...

 

 

Ils en ont tellement envie, Caro plaque sa main sur le doigt de Matthieu afin que sa caresse se fasse plus insistante... Mais non, pas encore, pas comme cela, ou voilà, comme ca, ouahhh!, …

 

«  Mais vas-y, je veux, j'en veux mais toi apparemment pas encore ! :)  »

 

Oh! Elle sent que ça va être d'enfer ! Elle se dit qu''il est le musicien et qu'elle est l'instrument. La musique qui s'échappe de ses lèvres donne envie à Matthieu de continuer à composer avec le corps de Caro une mélodie de plaisirs...

 

Leurs lèvres se reportent les unes aux autres. Ils se dévorent mutuellement, ils ne peuvent plus résister et leurs bouches se mêlent en baisers sauvages et fougueux. Elle le dévore littéralement. Il la prend par le cou, l' éloigne de sa bouche, la regarde... Ce regard qui brille, qui scintille...

 

Tout doucement Matthieu porte son doigt à ses lèvres, ce doigt qu'il goûte avec délectation, imprégné des saveurs de son corps, de son intimité... Un soupir, et elle retire son doigt des lèvres de Matthieu et le porte aux siennes. Elle le mordille, le suce... Provoquant chez lui une envie de plus en plus forte.

Elle redescend sa main entière et elle la glisse vers son sexe chaud et humide. Là, Matthieu joue enfin avec ses lèvres, oh oui Matthieu, c'est si bon, montant et descendant. Il introduit enfin son majeur juste à la lisière...

 

« Tu vois? Je suis mouillée à fond! Ca te plait? »

« J 'ai tellement envie de toi, Caro! Tes photos, ta façon de te raconter...

 

Tu lui dis ça, mais sans aller plus loin, sans aller vers ce bouton secret, source de plaisirs inégalés, si l'on sait bien le manipuler...Mais Caro a confiance! Mais vas-y Matthieu, vas-y!

 

Encore ces soupirs si agréablement involontaires qui attisent son désir. Langage du corps qui remplace celui des mots, écouter, découvrir et faire vibrer.

 

Mais Caro a envie d'autre chose, elle caresse doucement du bout des doigts cette promesse de plaisir, elle la branle doucement et ses pensées deviennent plus érotiques, il est temps ! Elle pense à sa chatte, elle pense à la queue solide de Matthieu, elle pense à ses couilles qu'elle a envie de vider, elle pense à son cul, à ce que Matthieu pourrait en faire, ou ne pas en faire; de toutes façons, elle est à lui , à Matthieu. Il a l'air d'hésiter, mais , putain, vas--y!! Elle devient grossière en pensées; mais vu les circonstances, ce n'est pas grossier, c'est adapté; et de se dire ça , ça la libère encore plus!

 

Faut surtout éviter de réfléchir, c'est l'instinct de jouissance à deux qui doit les guider. C'est cet instinct de jouissance qui lui fait baisser brutalement et complètement le slip de Matthieu pour finir d'offrir à sa queue raide à souhait la liberté. La liberté conditionnelle bien sur. Liberté à condition de lui donner du plaisir.

 

Elle tombe à genoux comme en prière devant son sexe. Ouahh! Elle est beaucoup mieux qu'en photo, c'est sur. Oui bien marron foncé sur les 20 premiers centimètres....

Elle saisit cette queue dans sa main droite; Matthieu se tend, un peu tétanisé, il soupire profondément; Elle se dit que c'est une impression étrange de tenir la queue raide d'un homme dans sa main; une impression de domination? Non, pas exactement, plutôt de maitrise de la situation, et de sécurité bizarre: tant qu'elle le tient , il ne lui arrivera rien; et velle se demande qu'elle impression, ça lui fait à Matthieu quand une femme se saisit de son sexe et pose ses lèvres dessus? A quoi pense-t-il, là, juste à cet instant? Oui, ce n'est pas maintenant qu'il va lui répondre.

 

De la main gauche, elle lui caresse doucement les couilles du bout des ongles. Elle les prend doucement dans sa main, elle les caresse, elle les serre un peu juste pour qu'il sache qu'elle est là, elle les caresse jusqu'à ce qu'elle pose le bout de sa langue sur l'extrémité de ce sexe, de ce gland qu'elle doit apprivoiser, qu'elle doit apprendre à connaître, lui qui va bientôt être la partie de lui qui la connaitra le mieux, lui qui, elle l'espère, va la visiter autant qu'il le voudra pour lui apporter ses cadeaux de jouissance. Matthieu a plus que l'air d'aimer.

 

Elle passe sa langue en tournant sur ce gland, pour faire connaissance, tout en l'englobant doucement de ses lèvres; elle entend le rythme de la respiration de Matthieu changer; est-ce bon signe? Elle continue, elle a bientôt la bouche pleine du gland tant désiré, elle aimerait mettre tout ce sexe au chaud dans sa bouche, au fond de sa gorge;

La bouche pleine; elle voudrait être pleine de partout,; Oui, mais : « Ca, Caro, ça va être difficile !! » se dit-elle en elle-même.

Elle se demande aussi à quoi pense Matthieu, à ce moment là? Qu'il est à la merci d'une femme? Oui, il est à la merci d'une femme qui veut lui donner du plaisir; qui espère le faire jouir et qu'il lui en restera un souvenir quelque temps. Jusqu'à la prochaine femme qu'il baisera. Il ne faut pas être trop prétentieuse.

Elle garderait bien ce gland au fond de sa gorge mais elle a envie de continuer le dialogue avec lui; alors, elle sort doucement la grosse bite de sa bouche et elle caresse doucement ce gland avec sa langue jusqu'à ce qu'elle devine que Matthieu lui demande de le remettre au chaud au fond de sa gorge. Elle, elle sent tout ça, Matthieu n'a pas besoin de lui parler.

 

Caro sent aussi les mains de Matthieu dans ses cheveux qui accompagnent maintenant le rythme lent avec lequel elle avale son sexe et le rend à l'air libre. Si sa respiration s'accélère, elle ralentit son rythme. Si sa respiration ralentit, elle accélère; pendant qu'elle tient sa queue d'une main, de l'autre elle commence à se caresser. Elle glisse sa main gauche dans sa culotte et introduit un doigt dans sa chatte mouillée. Le manège continue, dure plusieurs minutes, ponctué par leurs soupirs et par les bruits divers de sa bouche qui aspire sa queue.

 

Jusqu'à ce que :

 

« Attention , Caro, je vais jouir! »'

 

Caro arrête son manège aussitôt. Pas de blague, se dit-elle, tu ne vas pas t' en tirer comme ça! Et moi, alors? Puis elle reprend doucement.....

 

Mais Matthieu a bientôt envie d'autre chose et Caro également. Elle a envie que la bouche de Matthieu remplace sa main gauche entre ses cuisses. Elle veut qu'il se désaltère à la source de son plaisir. Elle se lève et tout doucement commence à faire glisser doucement sa petite culotte le long de ses jambes. Il en profite qu'elle est occupée à baisser sa culotte pour lui caresser et pétrir ses seins; Elle aime ! Douceur de la peau, rondeur de ses fesses...

 

Elle va à son sac et en sort 1 boite de préservatifs et un petit flacon d'huile d'amande douce qu'elle pose sur la table de nuit. En amour, le meilleur peut arriver.

 

Et sans attendre elle se laisse glisser sur le lit , s'allonge sur le dos...

 

  • Matthieu, tu sais quoi? J'ai envie que tu me lèches la chatte....

 

Elle ne sait pas trop pourquoi elle dit ça parce qu'il doit bien s'en douter depuis longtemps.

 

Allongée comme ça sur le dos, putain qu'elle se trouve bien; elle écarte les cuisses... Elle a envie de lui, de Matthieu, de son sexe si bandé pour elle... Alors il se jette sur le lit et elle accueille sa tête entre ses cuisses. Depuis le temps qu'elle attend cet instant. Serrer la tête d'un homme entre ses cuisses. Serrer sa tête entre ses cuisses. Moment doux , moment inoubliable, c'est le meilleur moment de l'amour, enfin, un des meilleurs, enfin, il y en a plein de meilleurs. Elle commence à dire et à penser n'importe quoi!

 

Caro prend la tête de Matthieu entre ses mains comme si elle avait peur qu'il ne parte.

Il pose sa bouche sur ses lèvres, sur sa chatte . Il les écarte doucement du bout de sa langue, ouahh!, putain que c'est bon, encore un meilleur moment, il n'y a plus que ça, des meilleurs moments, pense-t-elle . Il remonte doucement, lentement jusqu'à s'attarder enfin à l'endroit de tous les plaisirs. Il porte d'abord des petits coups avec l'extrémité de sa langue puis, encouragé par les soupirs et les gros mots de Caro, excusez-la, mais elle n'en peut plus de se retenir, c'est la faute de Matthieu! Il lui dévore la chatte encore plus complètement. Elle se cambre, elle lève les jambes. Et puis elle appuie la tête de Matthieu sur sa chatte où il se désaltère.

 

« Mais arrêtes ! Je vais jouir ! Non, Matthieu, je veux pas jouir maintenant. Je ne veux pas ! »

 

C'est ce qu'elle crie, mais elle pense le contraire, elle veut quand même sa langue dans sa chatte. Alors , Caro ? Faudrait savoir! Ca, c'est ce qu'elle se dit mais elle ne sait plus ce qu'elle veut . Elle voulait jouir avec lui. Mais, bon, maintenant elle s'en fout, elle se dit que c'est de sa faute à lui.

 

Et méfiez vous d'une femme qui dit « Arrêtes ! », ça veut souvent dire « Continues ! ». De toutes façons, elle se sent tellement bien qu'elle est sure de pouvoir jouir ce soir plusieurs fois sans problème.

 

 

A suivre.......

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mercredi 3 mai 3 03 /05 /Mai 17:29

 

 

 

Alors Caroline, sans dévoiler à son amie de la véritable raison de son projet, lui demande si elle n'aimerait pas aller passer une soirée à Lyon et en profiter pour se faire quelques magasins de sapes classiques ou coquines. Ca fait longtemps qu'elles n'y sont pas aller ensemble et passer quelques heures rue Edouard Herriot ou à La Part-Dieu à faire chauffer la carte bancaire de son mari leur changerait les idées, non ? Son amie n'a pas dit non, ce qui aurait voulu dire peut-être, elle a dit peut-être ce qui veut dire oui. Il ne reste plus qu'à convenir de la date. Caroline réservera l'hôtel.

 

Et là Caroline en parle avec Matthieu au cours d'une séance de phone-sex un peu excitée et terminée en cam-sex, et elle lui dit que, peut-être dans 2 semaines, le dernier week-end de juin, elle va aller à Lyon avec une amie. Elles arriveraient le vendredi soir, passeraient la nuit au Sofitel, feraient des emplettes le samedi avant de rentrer dans le Puy de Dôme le samedi soir. S'il pouvait venir à Lyon le vendredi soir...... Il dit oui .

 

Caroline commence période où l'excitation liée à la perspective de rencontrer Matthieu croit quotidiennement. Mais parallèlement, elle se demande par moment si elle a vraiment raison d'aller de l'avant. De toutes façons, elle doit parler de Matthieu à son amie. Si elle doit finir par laisser son amie seule la nuit à l'hôtel, autant lui en parler tout de suite. Quand elle évoque ce projet avec son amie, celle-ci trouve ça génial, elle n'aime pas beaucoup le mari de Caroline, et veut tout savoir sur Matthieu.... Caroline lui raconte tout ce qu'elle sait, lui montre tout ce qu'elle peut lui montrer....

Son amie qui est quand même assez délurée finit par lui dire qu'elle y goûterait bien un peu à son petit Matthieu, qu'avec ce qu'il a, il devrait pouvoir franchir deux obstacles sans peur ni reproches.

 

Alors Caroline a une idée.......

 

Vendredi noir...................

 

Elles et Matthieu ont convenu qu'il viendrait les chercher à la gare de la Part-Dieu....

 

Quand le train s'arrête, Matthieu voit descendre une jeune femme élégante qui se dirige vers lui, facilement reconnaissable, et lui fait la bise …

 

« Moi, c'est Caro, Matthieu, j'espère ? »

« Oui, bien sur, ton amie n'a pas pu venir ? »

« Si mais elle arrive vers 20h et elle prendra un taxi pour aller à l'hôtel et de là on ira dîner ensemble.... on peut aller au Sofitel laisser ma valise et se promener un peu après ? »

« Oui, bien sur ! »

 

Arrivés au desk du Sofitel, Caro demande la clé de la chambre réservée au nom de C...... D....., quand elle entend Matthieu demander la clé de celle réservée par Matthieu E.....

 

« Oui, quand tu m'as dit que vous aviez réservé ici, je me suis dit qu'au même hôtel, ce serait pas mal, non ? Je ne te l'avais pas dit ?»

« Non, mais c'est une bonne idée,.... surement ! »

 

Une fois dans l'ascenseur, Caro appuie sur le bouton du 5ème, pose son sac et se retourne vers Matthieu pour lui demander à quel étage il est mais elle n'a pas le temps de lui poser la question qu'il lui passe les bras autour de la taille pour l'embrasser sans qu'elle n'oppose de résistance farouche..... Arrivée au 5ème, la porte s'ouvre, Caro sort et se retourne vers Matthieu avec un regard qui ne laisse pas de place à une interprétation autre que :

 

« Si tu ne sais pas quoi faire d'autre, tu peux venir m'aider à défaire ma valise ? »

 

Matthieu suit Caro qui ouvre la porte de sa chambre, pénètre dans l'obscurité, allume la lumière que Matthieu éteint aussitôt, la porte claque derrière eux.......

 

Plus personne ne peut plus venir les déranger. La lumière qui filtre à travers la grande baie vitrée leur permet d'avancer sans la lumière; Caro pose son sac et son manteau sur la chaise, sans se retourner.

Matthieu est là, derrière elle, elle le sent proche, tellement proche qu'elle sent bientôt ses mains sur sa taille, son souffle sur sa nuque. Avec ses talons aiguilles, elle est presqu'aussi grande que lui; les mains de Matthieu l'enlacent et se croisent sur son ventre ; elle aime son premier baiser dans son cou; il la serre contre lui...

 

 

« Oh, Matthieu, oui! »

 

Dans la pénombre de la chambre, ses mains croisées sur le ventre de Caro le quittent et remontent doucement, hésitent, effleurent doucement ses seins. Elle lève ses deux bras et les passent derrière sa tête, laissant le champ libre à ses mains...Quand les longues mains de Matthieu se posent délicatement sur ses seins , elle a un imperceptible frisson de plaisir et d'attente. Un de ces frissons qui lui font penser qu'elle a bien fait de venir.....

 

« Oh, Matthieu, oui! »

 

Dans la pénombre de la chambre......

 

« Caressez moi! »

 

Caro ne sais plus si elle le dit ou si elle le pense très fort mais le résultat est le même. Elle sent ses mains dont l'effleurement si agréable devient plus insistant, chaque main passant d'un sein à l'autre , descendant sur son ventre, son bas-ventre, remontant, changeant de parcours; une douce chaleur l'envahit qu'elle commence, et oui, déjà, à accompagner de soupirs d'un genre qu'elle et Matthieu connaissent.... Il passe sos lèvres dans son cou pendant que ses mains s'attardent sur son ventre.... Qu'y peut-elle si elle aime ça?

 

Elle n'y tient déjà plus, se retourne et passe ses bras autour du cou de Matthieu; elle ferme les yeux, invitation dissimulée, discrète, comme Matthieu les aime.

 

Et c'est là que ses lèvres se posent, d'abord sur son front, puis son nez, et enfin sa bouche. Tout d'abord en un baiser chaste, une caresse de ses lèvres. Douceur, fraîcheur de sa bouche au parfum enivrant... Brûlure de ses lèvres sur les siennes.

Ces effleurements de lèvres deviennent rapidement un baiser fougueux, leurs langues se mêlent l'une à l'autre, jouent l'une avec l'autre, s'échappent, se retrouvent... Moment tant attendu qui fait voler en éclat toutes leurs barrières. Envie de s'embrasser encore et encore, de jouer avec leurs bouches, leurs lèvres, leurs langue. Envie partagée qui s'exprime enfin.

 

Caro arrache la cravate de Matthieu plus qu'elle ne l'enlève. Elle s'attaque aux boutons de sa chemise. Lui s'attaque aux boutons de son chemisier. Il y en a moins. Il a fini avant elle. Il écarte les pans de son chemisier pour le lui enlever. Il ne lui enlève pas, il regarde sa poitrine encore prise dans son soutien-gorge en dentelle blanc et bleu . Il la maintient les bras pris dans les manches de son chemisier dans mon dos. Ca l'amuse, Caro sourit....

 

Il la serre contre lui, elle qui est prisonnière, elle sent son désir qu'il ne peut plus cacher, il devine le sien prêt à exploser......

 

Et Caro qui pense :

 

« J'ai envie de te voir...
J'ai envie de sentir ton regard posé sur moi...

Un regard doux... tendre...

J'ai envie de prendre ton visage entre mes mains...

D'en dessiner, délicatement, le contour... de l'effleurer...

J'ai envie de voir ton plaisir...

Jai envie de sentir tes mains parcourir mon corps...

J'ai envie de perdre la notion du temps...

Près de toi... tout contre toi... en toi...

J'ai envie d'être ton égérie..... »

 

Et finalement , c'est elle qui dit à Matthieu:

 

« Matthieu, j'ai envie de vous!! Ca y est , j'ai réussi à le dire! J'ai envie de vous , j'ai envie de vous! »

« Moi, aussi, tellement, Caro ! »

« Je n'ai aucune inquiétude, Matthieu, je suis bien, si vous saviez.......si vous saviez. »

 

Ce visage devant elle, cette bouche, ces yeux ... Cette envie encore plus forte d'être caressée, de sentir tout son corps tressaillir sous ses baisers, ses mains. Caro ferme délicatement les yeux, se laisse passer la main dans les cheveux, en des mouvements qui jouent avec ses mèches éparses. Son visage se détend... invitation au plaisir...Ca y est , il lui a libéré les mains, elle peut finir de déboutonner sa chemise; elle peut lui enlever ; elleaime déjà ce corps, ce corps noir, un corps nouveau pour elle.

 

Il la serre contre lui et l'épaisseur d'une dentelle blanc et bleu sépare leurs corps. Les pointes de ses seins sont dures, elle sait qu'il les sent et c'est pour ça qu'il la serre mais aussi pour qu'elle sente son sexe qui n 'en peut plus. Plaisir d'être désirée , de savoir qu'elle va jouir par sa main, et pas seulement de sa main, mais de sa langue, de sa queue, partout Caro envie, de son pied peut-être, de sa bouche, de sa langue.

 

Sa main descend délicatement sur le visage de Caro: un effleurement ; une caresse légère part de son front vers une joue, remonte vers l'autre. Aucune réaction de sa part sinon une acceptation, une invitation à aller plus avant. Il redescend vers ses lèvres, à peine touchées comme la caresse d'une aile de papillon, d'un pétale de rose. Sa main ne cesse de parcourir son visage en circonvolutions diverses, en légers frôlements sur ses lèvres, va jusqu'à glisser sur son cou en un savant mélange de caresses redoublant de sensualité.

 

Le temps est arrêté. Ce moment dure, dure... Ses mains caressent maintenant ses épaules, son dos, reviennent sur ses épaules jusqu'à ce qu'une se hasarde jusqu'à son soutien-gorge, le caresse de 2 doigts, évalue ce qu'il contient, suppose-t-elle, puis 2 doigts qui se glissent à l'intérieur à la rencontre d'un téton particulièrement excité et par un mouvement subtil, elle se retrouve avec le sein droit dans la main gauche de Matthieu!

Mon sein gauche se retrouve dans votre main droite tout de suite après.

 

Et Caro de demander :« Ils vous plaisent? »

 

Pas de réponse, un sourire et un festival de caresses qu'elle attendait depuis si longtemps, et qui vaut toutes les réponses. Matthieu en prend possession. Elle ferme les yeux. Elle passe ses bras autour de son cou. Elle est bien. Matthieu les malaxe plus qu'il ne les caresse, les malaxe, les pince, les caresse....

 

Un sourire apparaît sur le visage de Caro, lorsqu'une caresse plus appuyée qu'une autre la fait soupirer. Son pouls s'accélère, son souffle aussi. Elle se sent si bien.

 

Maintenant le regard regard de Matthieu qui se pose sur le corps de Caro... Vue plongeante sur ce qu'il reste de son décolleté... Elle sent son cœur battre de plus en plus vite, elle sent mes lèvres s'entrouvrir petit à petit, la chaleur de son souffle sur sa main, comme un feu qui la brûle du bas ventre jusqu'à l'âme. Son corps s'ouvre, s'offre à lui, suscite son désir d'aller plus avant. A nouveau le regard de Matthieu parcourt son corps . Elle adore être regardée,

 

A suivre........

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mercredi 3 mai 3 03 /05 /Mai 17:23

 

Samedi 31 mai :

 

4hdu matin : J'ai envie d'aller aux toilettes. Tout le monde dort. J'espère parce que je me ballade à poil et je n'aimerais pas rencontrer Jean-Luc ou sa copine ! Matthieu dort et j'en profite. Je parcours le couloir et, contente d'arriver sans encombres devant la porte des WC, je l'ouvre brusquement pour me mettre à l'abri, en quelque sorte. Un petit cri retentit :

 

« Non, il y a quelqu'un ! »

 

Mais comme ce quelqu'un n'a pas mis le verrou, je me trouve nez à nez avec, je vous le donne en mille, avec.... Corinne !

 

Elle chuchote tout doucement :

« Cathy?! »

« Corinne?! »

« Qu'est-ce que tu fous là ?! »

« Ben, la même chose que toi !! »

« Oui, j'en ai bien l'impression ! Bon, je te laisse la place, tu viens à la cuisine après ? »

« D'accord, si tu veux ! »

 

Quelques minutes après, on se retrouve toutes les deux à la cuisine. C'est isolé des chambres et il y a un peu d'éclairage extérieur...

 

« Alors, Cathy, c'était donc toi ! :) »

« Quoi moi ? »

« Ben, je me demandais qui Matthieu entreprenait de façon aussi efficace :)  ! »

« Pourquoi ? Tu nous as entendus ? »

« Un peu ! Mais tu n'y pouvais rien ! Hein ? »

« Non, je dois dire qu'avec lui, je me laisse un peu aller.... , je ne devrais peut-être pas....»

« Comment ça ? C'est super que tu te laisses aller !  » 

« Avec Matthieu, j'ai l'impression d'avoir retrouvé mes sensations. C'est bon tu sais ! »

« Je crois que je connais un peu. Je ne l'ai ai jamais perdues, moi ! »

 

Et on a pouffé de rire en faisant quand même attention à ne pas réveiller nos amis.

 

« J'ai soif ! Il y a de l'eau au frigo ? »

« Faut regarder ! Tu sais, je suis vraiment heureuse pour toi, Cathy. Tu lèches très bien les chattes mais Matthieu devait être le plus heureux des hommes quand tu l'a sucé :)  »

« En tout cas, il n'avait pas l'air malheureux !! Et toi ? Ton black ? C'est vrai au fait ? T'as vérifié ce qu'on dit ? »

« Et qu'est-ce qu'on dit ? » Là, je faisais un peu l'innocente « Je te rassure, il est très bien mon black, comme tu dis !:)  , mais, si tu veux, j'ai une proposition à te faire, tu l'acceptes ? »

« Fais la moi d'abord ! »

« Ben, tu te trompes de chambre, tu vas t'allonger contre Jean-Luc, et tu tâtes délicatement la bête  ;) , tu auras la réponse à tes questions, mais juste deux minutes et sans le réveiller ! »

« Tu rigoles, ca va pas, non ? »

« Ah, oui, je vois, ce n'est pas de tâter la bête qui te gêne, c'est ce qui va se passer s'il se réveille ! Coquine ! Mais si tu ne le réveilles pas trop, il peut te sauter sans s'apercevoir que ce n'est pas moi ! Tu te seras tapé deux mâles bien fichus dans une nuit ! Dis-donc, Cathy, pour une reprise, c'est une reprise !! »»

 

« Bon, Corinne, arrêtes de divaguer, on devrait peut-être y retourner, non ?  »

 

Arrivées devant la porte de sa chambre, elle se tourne vers moi, me prend dans ses bras et me roule un patin incroyable :

 

« Cathy, je t'adore, t'es sure que tu ne veux pas tâter du Jean-Luc ? »

« Une autre fois ? »

Je lui réponds ça sur le ton de la plaisanterie sans savoir qu'un jour......

« A toute à l'heure.... »

 

Je retourne me lover contre Matthieu qui continue à dormir.... Je m'endors à mon tour.

 

Vers 7h, je suis réveillée par des mains qui me caressent.... Des mois et des mois que je n'ai pas baisée au réveil ! Des mains sur mes seins, entre mes cuisses, un vrai sexe de mec à ma disposition... Mais, finalement, c'est comme le vélo, on oublie pas ! Je me laisse envahir par le plaisir qu'il me donne avec les doigts d'une seule main, la deuxième, sur ma bouche, un baillon pas très efficace. J'arrive, dans le noir à lui poser un préserv. Et tourne mes fesses vers lui !

 

« Matthieu, défonces-moi ! »

 

Il s'y emploie à fond tant et si bien que je n'entends bientôt plus que ses « Chutt ! » à répétion qui n'arrivent pas à m'empêcher de gémir, crier, jouir ! Il essaie toujours de me baillonner avec sa main !

 

« Matthieu, défonces-moi ! »

 

Mais il s'écroule bientôt sur moi en déchargeant brutalement avec des râles que j'espère être la seule à entendre !:)

 

A voix basse, je lui dis :

 

« Laisse-moi me retourner, que je voie la tête du mec qui me fait jouir ! »

 

Je me retourne, il enlève le préservatif ….

 

« Viens, chéri ! Remets-toi au chaud»

 

Il me prend en missionnaire et pendant de longues minutes, de lents va et vient, je sens en moi son sexe encore raide, puis tout se calme....

 

J'avais retrouvé le goût....

 

A suivre.........

 

 

Par lesrevesdecorinne
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