lesrevesdecorinne

J'ai commencé à me caresser avec Philippe presque collé à moi et je me suis rapidement sentie bien.

Il me dit que je suis celle juste faite pour leurs bras.

Avec douceur et tendresse, il me dit que j'en ai envie...

« Tu mouilles ma chérie ? Prends ton temps, on n'est pas pressé. Tu fais vois tes doigts ….. Hummmm..... Tu as l'air super réactive.... »

« Ta gueule, laisse-moi en paix ! »

« Oui, ma chérie, bien sur ! »

Mes doigts humides font monter mon plaisir..... Je suis à moitié inconsciente.... La main qui n'est pas dans ma chatte se pose sur l'épaule de Philippe..... Je sens sa peau sous la fine chemise..... J'ai envie de jouir en touchant cette peau.... Je m'accroche à lui ….. J'ai les jambes qui tremblent.... Je connais ces tremblements.... Ceux qui manquent de me faire défaillir à chaque fois au moment de jouir.....

« Chérie, laisse-toi aller, ne t'inquiète pas, éclate-toi si tu en as envie ;;;; »

« Oui, t'inquiète ! »

« Tu es belle comme ça, quand tu es excitée, quand tu vas jouir ! »

« Oh putain ! »

Je me sens couler.... Philippe me le fait remarquer..... Je n'aime pas mais brutalement je me sens jouir, je me sens exploser, dégouliner de plaisir...

« Baises-moi, Philippe ! »

Philippe ne fait rien, ne dit rien, me laisse délirer et me prend dans ses bras.

« Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Je sais que tu ne veux pas me toucher aujourd'hui.»

Pourtant c'est exactement ce que je voulais dire ! Je voulais qu'il me la mette, j'étais excitée comme une puce, comme un chien qu'on prive de son os, comme une chienne qu'on prive de son os et son os je le sentais au travers de son pantalon...

Je venais de jouir fébrilement et j'en avais encore envie, envie de cette sensation qu'on décolle et que ça va durer alors moi j'avais envie que ça dure. J'avais envie d'un os. Je ne savais pas où on était, peut-être y avait-il 10 mecs en train de nous regarder, j'étais isolée du monde avec ces foutues lunettes ! Mais je m'en foutais du monde, j'avais envie, oh oui, j'en avais envie putain ! Et lui qui ne disait rien, ne bougeait pas ….

Je caressais son torse, ses épaules J'étais presque sur le point de pleurer de frustration quand j'ai eu un réflexe de génie. Ca m'amuse d'écrire ça..... J'ai juste effleuré le devant de son pantalon et j'ai reçu une décharge électrique, j'ai souri en me disant qu'il avait dû oublier un marteau dans la poche de son pantalon....

« Et moi ? Je peux te toucher ? »

C'est bizarre mais je l'ai entendu me sourire....

« Je te l'ai interdit ? »

« Je ne me rappelle pas ….. :) »

Alors j'ai osé, j'ai osé faire plus que l'effleurer, j'ai fait ce que toute nana normalement constituée aurait fait, je l'ai massé là où c'est bien de masser un homme, j'ai défait la ceinture de son pantalon, je l'ai baissé un peu parce que j'étais pressée de glisser ma main dans son boxer et là, il a quand même poussé quelque chose qui ressemblait à un gémissement de plaisir.....

« Ca va ? Je ne te fais pas mal ? »

« Non, ça peut aller. »

« Je continue ? Tu veux vraiment pas me baiser ?»

« Oui, tu peux continuer! Non, je ne te toucherai pas. »

« Tu es consentant pour que je te viole ? »

Quand la réponse attendue est arrivée, j'avais déjà son sexe en bouche et je m'activais à rendre dur comme un manche de pioche ce qu'allais utiliser pour prolonger mon plaisir tout en réfléchissant à la manière de m'y prendre.

« T'as un préservatif ? »

Je l'ai entendu fouiller dans sa poche de pantalon et me poser l'objet dans le creux de ma main. Il n'avait vraiment pas l'intention de faire le moindre geste ! Alors, comme une grande, je me suis débrouillée avec un peu d'aide de sa part quand même et puis quand je luis ai dit de s'allonger, il a proposé d'aller dans la voiture.... Je l'ai entendu, j'ai supposé que c'était ça, basculer et avancer les sièges pour faire de la place à l'arrière et il a pris ma main, est monté et s'est étendu. J'ai compris qu'il voulait que je monte dans le coffre..... Bref, je me suis rapidement trouvée empalée sur son sexe et j'ai rapidement retrouvé les sensations que je n'avais plus depuis que j'avais arrêté de jouer avec mon minou un petit peu auparavant ! C'est moi qui faisait tout, montais, descendais, mais il y a des choses que j'aime faire plus que d'autres.

J'ai rapidement joui et quand il a vu ça, il s'est mis à lever et baisser ses reins à toute vitesse pour prolonger mon plaisir et activer le sien !

Philippe, je sais que tu me lis mais j'ai passé un très bon moment. Je ne sais pas quand on reprendra ma formation mais je ne change pas de professeur ! J'ai hâte que tu me touches ! :)

Emilie

Vendredi 11 mai :

Aujourd'hui je suis allée à Lausanne, j'avais rendez-vous avec Philippe. Je ne le connaissais pas mais il m'a récupérée à la gare et on est descendu se promener et discuter de banalités au bord du lac avant de s'attabler au soleil sur lla terrasse d'un café. Celui que j'appelle Philippe m'a proposé de venir à Lausanne pour des raisons de discrétion, m'a-t-il dit. Je dois dire que je préfère aussi. Philippe, c'est Virginie qui m'a mise en contact avec lui. Virginie a toute confiance en lui et elle a l'expérience d'une « réunion » réussie. C'est le terme qu'elle emploie quand on en discute. J'adore Virginie ! Elle se ferait sauter par la France entière, plus la Suisse, en ayant à cœur de ne pas prononcer un gros mot ! Et quand je lui ai dit que j'aimerais participer à une réunion du même genre, c'est là qu'elle m'a proposé de rencontrer Philippe......

Et j'ai donc rencontré Philippe, aujourd'hui. Elle ne me l'avait pas dit mais c'est un homme sympa d'une trentaine d'années. C'est un homme d'affaires employé par une de ces nombreuses organisations internationales présentes à Genève. Il a l'air sympa mais pas vraiment envie de plaisanter ! J'ai eu l'impression que si on avait sa confiance on pouvait tout lui demander mais pour avoir sa confiance ça ne devait pas être simple. Physiquement, il est plutôt pas mal, originaire de La Réunion m'a-t-il dit et comme je connais un peu, on a eu tout de suite un sujet de discussion....

« Mais on n'est pas venu pour parler de La Réunion ! Vous êtes déjà venue ici, Emilie ? »

« Non, c'est la première fois, mais je suis déjà venue à Lausanne ! »

« Cette ville est superbe, avec ses reliefs variés, la présence du lac, les montagnes de l'autre côté.... et l'arrière pays ! Vous connaissez Bulle ? Gruyère ? »

« Non, pas encore mais vous me ferez peut-être découvrir ? » lui dis-je avec un petit sourire.

Je propose qu'on se tutoie mais il décline ma proposition.

« On verra plus tard ! »

Vraiment sérieux le Philippe !

« Excusez-moi, Emilie, je vous paraît peut-être un peu rugueux mais on ne va peut-être pas se revoir alors pas la peine de rentrer dans l'intimité tout de suite ! Dites-moi, vous travaillez où ? »

Je lui dis que je travaille à Genève dans un cabinet d'avocats et que c'est V....

« Oui, je sais. Elle m'en a parlé, bien sur ! Vous voulez donc que j'organise une réunion pour vous comme celle dont Virginie a été la vedette ?  Et vous pensez être prête quand ? »

« Ben, oui, c'est ça et je suis prête ! »

Là, il éclate de rire et me lance à la figure que je ne suis sûrement pas prête !

« Vous savez, Emilie, il y a plein de détail à régler avant le début de la réunion ! :)  »

« Oui, je sais, je voulais simplement dire que j'étais prête dans ma tête, que j'en avais envie et que je ferai tout ce que vous me direz de faire.... »

« D'accord, on a le temps de commencer à discuter maintenant ? »

« Oui, je suis venue pour ça :) »

« Alors d'abord, vous voulez faire la réunion dans quel genre d'endroit ? Ca peut être mon appartement à Genève, un chalet qu'on me prête, dans un wagon-lit, dans un bus, dans une camionnette complètement close..... »

« Je n'ai pas encore trop réfléchi mais l'idée du wagon-lit...... »

« Oui mais il faut du temps, on part le soir vers Milan, on peut y passer la journée du lendemain et revenir. On peut faire aussi une réunion au retour.... »

Là, j'ai éclaté de rire, lui aussi !

« Emilie, on peut se tutoyer, si tu veux ! »

« Je suis obligée de décider tout de suite ? »

« Non, tu réfléchis mais il y a plein de points à discuter et à décider. Tu vois, il y a le lieu de la réunion, il y a le nombre de participants que tu veux inviter, comment on va les trouver, les sélectionner, les règles du jeu, l'ordre du jour, enfin, tout ça, ça prend du temps et puis tu dois t'entraîner aussi ! »

« Comment ça, m' entraîner ? »

« Tu n'imagines tout de même pas que je vais investir du temps pour me retrouver avec une fille qui va se mettre à pleurer au bout de 5 minutes parce qu'elle aura peur de se sentir seule avec ses invités qui commenceront à …..vouloir..... discuter de près, de très près avec elle ! »

« Alors ? Tu vas me sauter ? »

« Non, pas forcément. Pas forcément moi :) . Et pas tout de suite. Mais avant de confirmer les invitations, c'est sur que tu devras me prouver que tu es capable d'assumer ce que tu me demandes de préparer pour ta.... réunion ! »

« Oui, je comprends ! »

Ma copine Virginie, elle n'a pas été fichue de me dire si Philippe l'avait sautée ! Elle a eu les yeux bandés toute sa soirée et elle na pas reconnu sa voix, ce qui ne prouve pas qu'il n'était pas là. Elle pense qu'elle a été sautée par 4 hommes, donc par Philippe mais elle n'en est pas sure.

« Et Virginie ? Tu l'as..... ? »

« Il faut lui demander ! Est-ce que tu voudras voir tes interlocuteurs ou bien tu préfères être aveugle ?»

« Les yeux bandés ? Comme Virginie ? Oui, je crois que c'est bien et tu seras là ? En spectateur ? Pour sécuriser ?»

« Oui, des foulards ou autre chose. Tu as des grosses lunettes de soleil ? On peut se la jouer à l'aveugle, je peux te faire passer pour une aveugle si tu veux :)  Oui, je serai là pour sécuriser bien sur :) »

« Une aveugle perdue dans un wagon-lit entre Zurich et Milan se fait.... »

« Bon, ma chère, tu réfléchis encore et puis tu m'envoies un SMS d'ici une semaine pour me dire si tu veux encore le faire ou non. Si tu es encore d'accord, on se revoit ici dans deux semaines. D'accord ? »

« D'accord ! »

Emilie

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Coucou,

J'ai accepté de mettre en ligne les textes d'Emilie mais son histoire est une histoire qui devrait avancer étape par étape pour en permettre la mise en ligne progressive et en temps réel. Comprenez que ça peut s'arrêter brutalement !

On lui souhaite bonne chance!!

Corinne

La voisine se prélasse

- ‘tain ! t’as vu celle-là ?

- Mouais, bof ... un peu jeunette ...

- Mais t’es con ou quoi ? T’as vu son cul ? Je crois bien qu’elle est en string la petite cochonne ! Et ça la gêne pas qu’on le voie.

- P’têt, j’dis pas, mais ça manque un peu de formes ...

- ‘tain ! T’es vraiment trop relou, on dirait un puceau, pis tu vas le rester puceau.

Enfin, bref, encore une, deux, ou trois (?) dernière bière on s’est quitté là dessus avec Mathis, pour fêter la fin des cours. Comme d’hab on a fermé la soirée quoi !

C’est toujours comme ça avec Mathis, faut qu’il tire sur tout ce qui bouge ... M’énerve un peu ... Pas sûr qu’il en fasse autant qu’il le dit, mais ça finit par me complexer. Et pis c’est vrai que les filles me font rêver moyen , il manque toujours un truc à mon idée ... J’sais pas quoi, trop superficielles, pis tout dans les manières...

En tout cas finis les cours ... euh ... sauf qu’il y encore les révisions avant les partiels. Au moins il fera beau, je m’installerai au jardin des parents, tranquille ! Ils seront au boulot.

Si ça se trouve, coup de bol, la voisine sera chez elle. J’sais pas vous ... mais dans le genre milf, je la kiffe grave ... et depuis un moment ! Elle a une paire de seins incroyable et un beau boule , bien rond ... On se croise des fois, genre à la boulangerie et j’ai du mal à la regarder dans les yeux. Pas sûr qu’elle mette toujours un SG, je sais pas... avec des nichons pareils va savoir. Quand elle se dépêche ça fait un beau balancement de haut en bas ... J’adore ... C’est autre chose que la petite meuf que matait Mathis hier avec ces deux pommes sous le tee-shirt !

Quand je la vois sortir je m’arrange pour prendre un raccourci et la croiser quand elle rentre, comme ça je peux profiter du spectacle plus longtemps, l’air de rien. Je sais pas combien de fois je me suis branlé en imaginant une rencontre avec elle... rêvant que je gicle entre ses seins. Mais bon elle doit me trouver trop jeune, elle me calcule même pas. Si elle savait ...

Mais pour l’instant, je suis dans ma piaule, à mon bureau, en train de schématiser le cycle de Krebs. Le soleil donnerait plutôt envie de flâner ... J’aurais pas dû penser aux seins ou au cul de la voisine, ça me déconcentre... et je regarde distraitement vers sa maison ... ça lui arrive de jardiner ... je la mate des fois à travers la haie ... ses seins qui dansent et son cul moulé qui prend des poses quand elle se penche ou s’accroupit.

Oh putain ! Elle est dans sa chambre à moitié deloquée en train de se mettre de la crème on dirait. Si elle pouvait s’enduire les seins ... Comme elle est là elle s’en va bronzer au jardin ... je sais déjà où elle va s’installer : au fond du jardin, derrière la haie.

C’est là que j’arrive à l’entrevoir d’habitude. Mmmm, penser que je pourrais ... tout près d’elle ...

Je me mets torse à poil et descend me poser sur le transat, je bande dejà.

Je l’entrevois qui arrive, petit deux pièces blanc ... ses seins balancent, trop bon ... Léger le tissu, waow ... je l’aurais cru épilée ... je devine les poils de sa chatte à travers le tissu, moulant ... Hyper excitant ... j’ai la queue qui se dresse...

C’est plus fort que moi, je la laisse déborder , coincée sous la ceinture de mon boxer. J’imagine qu’elle la voit, c’est con ... mais j’adore la sensation de l’élastique sur la base de mon gland ... et je me dis que ma queue a l’air plus grande comme ça, juste parce qu’elle dépasse.

Je l’ai jamais vue si peu vêtue, c’est trop bien ... Franchement sa petite chatte moulée comme ça ... Je me demande comment c’est en vrai, si ça l’exciterait que je la vois.

Dire qu’elle est à deux pas ... juste face à moi, j’entends le moindre mouvement, je n’aurais qu’à tendre le bras, si j’osais. Mais sûrement qu’elle en a rien à battre d’un gamin comme moi.

La voilà qui téléphone ... cool elle va rester un moment ... Elle est avec une copine, c’est bien ce que je pensais , elles parlent d’un vieux ... Oh, non elles se mettent à parler de cul, comme quoi c’est trop bon avec ce mec, que dommage qu’il soit pas là... De vrais petites cochonnes, j’aurais pas pensé ça ....

Ca me fait mouiller de les entendre ... mais bon, il doit avoir une putain d’expérience ce mec.

N’empêche je commence a me toucher ... si j’avais 10 ans de plus ... je pourrais tenter ma chance.

Elle est encore là, avec un bouquin, j’ai sorti ma queue , je la dévore des yeux ... des pieds à la tête, enfin surtout sa chatte et ses seins ... on dirait qu’ils se redressent ... mais oui ... elle bande des tétons, waow ... incroyable ! Les meufs bandent aussi.

Elle y met la main, et, non ? Elle enlève son SG, les seins qu’elle a , putain j’y crois pas , elle les caresse, elle se pince les bouts.

J’ai le ventre trempé de mouille, j’avais jamais vu ça, pas à ce point.

J’en peu plus ... j’ai même pas besoin de me toucher, ma queue tient debout toute seule. Faut que je fasse gaffe, je respire un peu fort.

Va falloir que je rentre, elle va m’entendre, j’vais la mater depuis la fenêtre, a moitié derrière le rideau ça devrait le faire.

D’en haut c’est pas mal non plus ... la cochonne a même mis la main dans sa culotte ! Non mais tu le crois ça ? Elle est carrément en train de se branler ... je le demande à qui elle pense.

Moi je sais ... je pense à elle ... Je m’astique la teub à petits coups... espacés... sinon je gicle direct. Je fais durer... je me demande comment c’est là dessous, quand voilà qu’elle enlève carrément son slip, elle est là jambes écartées, les doigts dans la chatte ...

T’imagine ... ma voisine, une vraie femme ... Si je pouvais voir de plus près... on dirait qu’elle a les poils trempés, ça brille ... Et ses tétons carrément pointés...

Je me branle a fond , j’en peux plus , faut que ça sorte, j’en ai presque mal à la queue.

Oh merde ... je crois qu’elle m’a vu.

Ah oui, sûr, elle m’a vu ... putain la honte ...

Trop tard pour m’arrêter... je contrôle plus ... J’ai jamais giclé comme ça ...

Elle a fini aussi ... qu’elle est belle...

Tant pis, grillé pour grillé... je tente ma chance ... je lui envoie un baiser ...

Qui sait ... si on se croise à la boulangerie... la baiser, un de ces quatre ...