Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 18:21

 

"Emilie, tu veux voir la fin du film?"
"Pas sûre... et toi?"
"Suis-moi!"

 

On s'est éclipsé discrètement. Dehors, il faisait frais et humide. On a remis nos manteaux pour aller à la voiture de Jacques. Il a fait démarrer la Mercedes et on a quitté Archamps. Je me suis approché le plus possible de lui, autant que me le permettait la ceinture. Il a posé sa main sur ma cuisse et comme c'était une boite automatique, il pouvait la laisser.... J'ai évidemment fait de même. On roulait silencieusement. D'après ce que j'ai pu voir, on est parti en direction des pentes du Salève et on bout de dix minutes , il avait trouvé un endroit cool pour arrêter la voiture.

Personne, vue sur les lumières de l'agglomération genevoise.

Quand il a coupé le contact, ça m'a fait une drôle d'impression, silence total, l'impression d'être vraiment entre nous, tranquilles..... Et puis, il s'est approché, je me suis approchée, le réflexe du désir, je suppose... Lui aussi s'est approché....Il n'y avait rien d'autre à faire qu'à se laisser guider par l''instinct...

J'ai passé mes bras autour de son cou... On s'est embrassé..... J'ai caressé ses cheveux pendant que ses mains descendaient dans mon dos......

J'ai enlevé mon manteau et il a fait de même.... Puis on s'est embrassé à nouveau, ses mains caressant mon dos commençaient à me chauffer …. Puis j'ai ostensiblement défait deux ou trois boutons de mon chemisier et enlevé ma petite culotte. J'ai posé alors une main sur le haut de sa cuisse et quand il a pris mes seins dans ses mains et qu'il les a consciencieusement pelotés, il ne s'est probablement pas rendu compte des contractions violentes provoquées dans mon bas-ventre alors qu'il ne pouvait plus cacher son érection. J'ai caressé son pantalon là où manifestement cela lui faisait plaisir et quand il a glissé une main entre mes cuisses....

« J'ai envie de t'embrasser, tu peux baisser le dossier du siège ? »

« Bien sur. »

J'aurais pu lui dire que j'avais envie de le sucer mais, de toutes façons, il a très bien compris. J'ai défait sa ceinture et sa fermeture éclair, puis, pendant que son pantalon descendait sur ses chevilles, j'ai pris son sexe en main pour le branler doucement et quelques secondes après, je l'avais en bouche. Un sexe tout à fait correct que je sentais devenir hyper-dur à chacun de mes aller-retours. Et vu ses expressions de satisfaction, j'ai cru aller un peu trop vite quand il m'a dit :

« Cathy, on peut passer derrière ? »

« Bien sûr ! »

Tu parles que je voulais ! Je suis passée la première, facilement, en remontant ma jupe au maximum, ce qui semblait lui plaire beaucoup. Alors, pendant qu'il défaisait ses chaussures pour enlever son pantalon et boxer, je suis passée derrière avec le paquet de mouchoirs en papier et me suis allongée sur le siège arrière, j'ai retiré ma jupe, j'ai ouvert complètement mon chemisier, défait mon soutien-gorge et écarté mes cuisses ….

« Jacques, tu as prévu ce qu'il fallait ? »

« Oui, j'arrive avec. »

« Tu veux que je te le mettes ? »

Ca l'a fait rigoler que je lui propose de lui mettre le préservatif...

« Si tu veux, avec plaisir ! »

Il est arrivé derrière et il ne perdait rien du spectacle.... J'ai commencé à me masturber doucement, je mouillais déjà.... J'avais envie de sa queue...

« Ca te plait que je me caresse comme ça devant toi ? »

«  J'adore ! T'es belle, tu sais ? »

« Approches ! »

Je lui ai mis le préservatif.... puis, pendant que j'enfonçais mes doigts dans ma chatte, mon autre main le branlait avec vigueur. Quand j'ai senti que le moment était venu... c'est lui qui m'a dit :

« Cathy, j'ai follement envie de te baiser et maintenant ! »

« Moi aussi, viens, baises-moi maintenant ! »

 

Il ne s'est pas fait prié et m'a pénétrée avec douceur et fermeté. C'était sympa. Je n'étais pas installée au mieux mais ce n'était pas grave. Je pensais un instant à Antoine qui voulait des photos mais là, on n'était pas partis pour ça. La prochaine fois, peut-être. Pour l'instant, je dégustais le sexe de mon partenaire. C'est sur que le plastique, j'ai toujours eu un peu de mal avec. De mal à jouir avec. Sinon, c'est obligatoire mais j'étais quand même bien et lui semblait assez content de sa situation. Il n'avait pas l'air de se plaindre de ce qu'il faisait. Quand j'ai senti que c'était le moment, je lui ai proposé de me prendre en levrette. J'ai réussi à trouver la bonne position et on a remis ça.

 

Il a joui en moi, assez vite, trop vite à mon goût. On n'a pas eu besoin des mouchoirs. Mais il avait des excuses. On n'était pas très confortablement installé et il en avait tellement envie ! Sur l'échelle de Richter de mes orgasmes, notés de 1 à 10, je dirais 6 pour ce coup là. J'en ai un peu rajouté pour le faire jouir et lui faire plaisir.... Mais j'étais heureuse qu'il soit heureux et je n'ai jamais connu d'orgasme de 10 la première fois. En plus, baiser dans une voiture, sans pouvoir en sortir, la nuit, en hiver, ça complique beaucoup de choses.

 

Il m'a ramenée au Ramada. On était donc juste avant Noël et je lui ai expliqué qu'on ne pourrait pas se revoir avant janvier. Je lui ai dit que je déménageais pendant les vacances. Je lui ai fait comprendre que s'il voulait qu'on se revoie, ce serait bien que ce soit sans préservatif. Il a compris ce qu'il devait faire, moi aussi. Une fois dans le hall du Ramada, j'ai fait semblant de prendre l'ascenseur et j'ai repris discrètement ma voiture pour rentrer en France.

 

En janvier, on s'est revu assez vite et on est retourné s'isoler en voiture. Là, on a baisé et il nous a pris en photo, avec mon appareil, sous toutes les coutures. Ca avait l'air de lui plaire. On s'est revu trois ou quatre fois.

 

Mardi dernier, il m'a appellée sur le coup de midi :

« Emilie, tu peux te libérer vers 14h30 ? J'aimerais qu'on se retrouve au Ramada dans le hall. »

« Rappelles-moi vers 14h, je te dirai ! »

Pourquoi le Ramada ? Je n'en avais pas idée. A part qu'on connaissait tous les deux comment y aller.... J'ai réussi à me libérer et je me suis pointée au Ramada à l'heure dite.

On s'est embrassé et je lui ai demandé :

« Pourquoi le Ramada ? »

« Une surprise. On prend un café ? »

« Oui, avec plaisir.... »

Le café à peine terminé, il me demande :

« Emilie, donnes moi un chiffre entre cinq et quinze. »

J'étais un peu surprise de la question mais je lui ai proposé douze. Il m'a aussitôt entraînée vers les ascenseurs. A trois heures de l'après- midi, il n'a pas beaucoup de monde voire personne. On a pris le premier ascenseur. On est monté, seuls. Il a appuyé sur le bouton douze. Dès que les portes ont été fermées, il m'a fermement poussée dans un angle et m'a embrassée presque sauvagement. Au premier étage, il me caressait les seins fermement. Je me demandais seulement s'il y avait une caméra vidéo. Si oui, le gars devait se marrer.. Moi ça m'excitait passablement. Au troisième étage il avait relevé le devant de ma jupe et cherchait à atteindre ma dentelle. Je commençais à savoir ce qu'on allait faire au douzième. Mais je n'étais pas pressée d'y arrivée. Arrivés au onzième, il s'est calmé et on s'est rajusté avant que les portes ne s'ouvrent.

Dehors, personne dans les couloirs.... Main dans la main..... Jusqu'à passer devant les toilettes de l'étage. Dans les toilettes, personne. On entre, une rangée de sept ou huit lavabos, six cabines... J'aimerais bien qu'on entre dans l'une d'elle, je me sentirais plus à l'abri des éventuels arrivants mais ce n'est pas le projet de Jacques qui est de me soulever en prenant mes fesses dans ses mains et de me poser sur le rebord d'un lavabo, de me serrer contre lui tout en sortant son outil et …... tout d'un coup , des bruits de voix dans le couloir.... Il me lâche et, tenant son pantalon d'une main, il se précipite dans une cabine où on s'enferme en retenant notre souffle. Je m'assois .... Deux personnes, apparemment, entrent.... Jacques se retourne avec d'infinies précautions et je n'ai plus qu'à me pencher doucement en avant pour prendre son sexe en bouche tout en écoutant des bruits de portes qui se ferment, de chasse d'eau , de robinet de lavabo pui tout d'un coup, grand calme ! J'éclate de rire tout en continuant à sucer mon ami qui devient rapidement raide comme un manche :

« Tu veux que je me tourne ? »

C'est demander à un aveugle s'il veut voir...

« Oui, je crois que c'est un peu obligatoire ! »

Vu l'exiguïté des lieux.... C'est vrai que baiser dans des toilettes, ce n'est pas très glamour mais c'étaient celles du Ramada et mon ami s'est avéré diablement endurant au point que je n'ai pas eu à simuler quoi que ce soit. Les carrelages des toilettes du Ramada sont très beaux. J'ai eu le temps de les apprécier

A 15h30, j'étais dehors . Pleinement satisfaite . On se reverra sûrement :)

 

Emilie

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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