Mercredi 3 mai 3 03 /05 /Mai 17:29

 

 

 

Alors Caroline, sans dévoiler à son amie de la véritable raison de son projet, lui demande si elle n'aimerait pas aller passer une soirée à Lyon et en profiter pour se faire quelques magasins de sapes classiques ou coquines. Ca fait longtemps qu'elles n'y sont pas aller ensemble et passer quelques heures rue Edouard Herriot ou à La Part-Dieu à faire chauffer la carte bancaire de son mari leur changerait les idées, non ? Son amie n'a pas dit non, ce qui aurait voulu dire peut-être, elle a dit peut-être ce qui veut dire oui. Il ne reste plus qu'à convenir de la date. Caroline réservera l'hôtel.

 

Et là Caroline en parle avec Matthieu au cours d'une séance de phone-sex un peu excitée et terminée en cam-sex, et elle lui dit que, peut-être dans 2 semaines, le dernier week-end de juin, elle va aller à Lyon avec une amie. Elles arriveraient le vendredi soir, passeraient la nuit au Sofitel, feraient des emplettes le samedi avant de rentrer dans le Puy de Dôme le samedi soir. S'il pouvait venir à Lyon le vendredi soir...... Il dit oui .

 

Caroline commence période où l'excitation liée à la perspective de rencontrer Matthieu croit quotidiennement. Mais parallèlement, elle se demande par moment si elle a vraiment raison d'aller de l'avant. De toutes façons, elle doit parler de Matthieu à son amie. Si elle doit finir par laisser son amie seule la nuit à l'hôtel, autant lui en parler tout de suite. Quand elle évoque ce projet avec son amie, celle-ci trouve ça génial, elle n'aime pas beaucoup le mari de Caroline, et veut tout savoir sur Matthieu.... Caroline lui raconte tout ce qu'elle sait, lui montre tout ce qu'elle peut lui montrer....

Son amie qui est quand même assez délurée finit par lui dire qu'elle y goûterait bien un peu à son petit Matthieu, qu'avec ce qu'il a, il devrait pouvoir franchir deux obstacles sans peur ni reproches.

 

Alors Caroline a une idée.......

 

Vendredi noir...................

 

Elles et Matthieu ont convenu qu'il viendrait les chercher à la gare de la Part-Dieu....

 

Quand le train s'arrête, Matthieu voit descendre une jeune femme élégante qui se dirige vers lui, facilement reconnaissable, et lui fait la bise …

 

« Moi, c'est Caro, Matthieu, j'espère ? »

« Oui, bien sur, ton amie n'a pas pu venir ? »

« Si mais elle arrive vers 20h et elle prendra un taxi pour aller à l'hôtel et de là on ira dîner ensemble.... on peut aller au Sofitel laisser ma valise et se promener un peu après ? »

« Oui, bien sur ! »

 

Arrivés au desk du Sofitel, Caro demande la clé de la chambre réservée au nom de C...... D....., quand elle entend Matthieu demander la clé de celle réservée par Matthieu E.....

 

« Oui, quand tu m'as dit que vous aviez réservé ici, je me suis dit qu'au même hôtel, ce serait pas mal, non ? Je ne te l'avais pas dit ?»

« Non, mais c'est une bonne idée,.... surement ! »

 

Une fois dans l'ascenseur, Caro appuie sur le bouton du 5ème, pose son sac et se retourne vers Matthieu pour lui demander à quel étage il est mais elle n'a pas le temps de lui poser la question qu'il lui passe les bras autour de la taille pour l'embrasser sans qu'elle n'oppose de résistance farouche..... Arrivée au 5ème, la porte s'ouvre, Caro sort et se retourne vers Matthieu avec un regard qui ne laisse pas de place à une interprétation autre que :

 

« Si tu ne sais pas quoi faire d'autre, tu peux venir m'aider à défaire ma valise ? »

 

Matthieu suit Caro qui ouvre la porte de sa chambre, pénètre dans l'obscurité, allume la lumière que Matthieu éteint aussitôt, la porte claque derrière eux.......

 

Plus personne ne peut plus venir les déranger. La lumière qui filtre à travers la grande baie vitrée leur permet d'avancer sans la lumière; Caro pose son sac et son manteau sur la chaise, sans se retourner.

Matthieu est là, derrière elle, elle le sent proche, tellement proche qu'elle sent bientôt ses mains sur sa taille, son souffle sur sa nuque. Avec ses talons aiguilles, elle est presqu'aussi grande que lui; les mains de Matthieu l'enlacent et se croisent sur son ventre ; elle aime son premier baiser dans son cou; il la serre contre lui...

 

 

« Oh, Matthieu, oui! »

 

Dans la pénombre de la chambre, ses mains croisées sur le ventre de Caro le quittent et remontent doucement, hésitent, effleurent doucement ses seins. Elle lève ses deux bras et les passent derrière sa tête, laissant le champ libre à ses mains...Quand les longues mains de Matthieu se posent délicatement sur ses seins , elle a un imperceptible frisson de plaisir et d'attente. Un de ces frissons qui lui font penser qu'elle a bien fait de venir.....

 

« Oh, Matthieu, oui! »

 

Dans la pénombre de la chambre......

 

« Caressez moi! »

 

Caro ne sais plus si elle le dit ou si elle le pense très fort mais le résultat est le même. Elle sent ses mains dont l'effleurement si agréable devient plus insistant, chaque main passant d'un sein à l'autre , descendant sur son ventre, son bas-ventre, remontant, changeant de parcours; une douce chaleur l'envahit qu'elle commence, et oui, déjà, à accompagner de soupirs d'un genre qu'elle et Matthieu connaissent.... Il passe sos lèvres dans son cou pendant que ses mains s'attardent sur son ventre.... Qu'y peut-elle si elle aime ça?

 

Elle n'y tient déjà plus, se retourne et passe ses bras autour du cou de Matthieu; elle ferme les yeux, invitation dissimulée, discrète, comme Matthieu les aime.

 

Et c'est là que ses lèvres se posent, d'abord sur son front, puis son nez, et enfin sa bouche. Tout d'abord en un baiser chaste, une caresse de ses lèvres. Douceur, fraîcheur de sa bouche au parfum enivrant... Brûlure de ses lèvres sur les siennes.

Ces effleurements de lèvres deviennent rapidement un baiser fougueux, leurs langues se mêlent l'une à l'autre, jouent l'une avec l'autre, s'échappent, se retrouvent... Moment tant attendu qui fait voler en éclat toutes leurs barrières. Envie de s'embrasser encore et encore, de jouer avec leurs bouches, leurs lèvres, leurs langue. Envie partagée qui s'exprime enfin.

 

Caro arrache la cravate de Matthieu plus qu'elle ne l'enlève. Elle s'attaque aux boutons de sa chemise. Lui s'attaque aux boutons de son chemisier. Il y en a moins. Il a fini avant elle. Il écarte les pans de son chemisier pour le lui enlever. Il ne lui enlève pas, il regarde sa poitrine encore prise dans son soutien-gorge en dentelle blanc et bleu . Il la maintient les bras pris dans les manches de son chemisier dans mon dos. Ca l'amuse, Caro sourit....

 

Il la serre contre lui, elle qui est prisonnière, elle sent son désir qu'il ne peut plus cacher, il devine le sien prêt à exploser......

 

Et Caro qui pense :

 

« J'ai envie de te voir...
J'ai envie de sentir ton regard posé sur moi...

Un regard doux... tendre...

J'ai envie de prendre ton visage entre mes mains...

D'en dessiner, délicatement, le contour... de l'effleurer...

J'ai envie de voir ton plaisir...

Jai envie de sentir tes mains parcourir mon corps...

J'ai envie de perdre la notion du temps...

Près de toi... tout contre toi... en toi...

J'ai envie d'être ton égérie..... »

 

Et finalement , c'est elle qui dit à Matthieu:

 

« Matthieu, j'ai envie de vous!! Ca y est , j'ai réussi à le dire! J'ai envie de vous , j'ai envie de vous! »

« Moi, aussi, tellement, Caro ! »

« Je n'ai aucune inquiétude, Matthieu, je suis bien, si vous saviez.......si vous saviez. »

 

Ce visage devant elle, cette bouche, ces yeux ... Cette envie encore plus forte d'être caressée, de sentir tout son corps tressaillir sous ses baisers, ses mains. Caro ferme délicatement les yeux, se laisse passer la main dans les cheveux, en des mouvements qui jouent avec ses mèches éparses. Son visage se détend... invitation au plaisir...Ca y est , il lui a libéré les mains, elle peut finir de déboutonner sa chemise; elle peut lui enlever ; elleaime déjà ce corps, ce corps noir, un corps nouveau pour elle.

 

Il la serre contre lui et l'épaisseur d'une dentelle blanc et bleu sépare leurs corps. Les pointes de ses seins sont dures, elle sait qu'il les sent et c'est pour ça qu'il la serre mais aussi pour qu'elle sente son sexe qui n 'en peut plus. Plaisir d'être désirée , de savoir qu'elle va jouir par sa main, et pas seulement de sa main, mais de sa langue, de sa queue, partout Caro envie, de son pied peut-être, de sa bouche, de sa langue.

 

Sa main descend délicatement sur le visage de Caro: un effleurement ; une caresse légère part de son front vers une joue, remonte vers l'autre. Aucune réaction de sa part sinon une acceptation, une invitation à aller plus avant. Il redescend vers ses lèvres, à peine touchées comme la caresse d'une aile de papillon, d'un pétale de rose. Sa main ne cesse de parcourir son visage en circonvolutions diverses, en légers frôlements sur ses lèvres, va jusqu'à glisser sur son cou en un savant mélange de caresses redoublant de sensualité.

 

Le temps est arrêté. Ce moment dure, dure... Ses mains caressent maintenant ses épaules, son dos, reviennent sur ses épaules jusqu'à ce qu'une se hasarde jusqu'à son soutien-gorge, le caresse de 2 doigts, évalue ce qu'il contient, suppose-t-elle, puis 2 doigts qui se glissent à l'intérieur à la rencontre d'un téton particulièrement excité et par un mouvement subtil, elle se retrouve avec le sein droit dans la main gauche de Matthieu!

Mon sein gauche se retrouve dans votre main droite tout de suite après.

 

Et Caro de demander :« Ils vous plaisent? »

 

Pas de réponse, un sourire et un festival de caresses qu'elle attendait depuis si longtemps, et qui vaut toutes les réponses. Matthieu en prend possession. Elle ferme les yeux. Elle passe ses bras autour de son cou. Elle est bien. Matthieu les malaxe plus qu'il ne les caresse, les malaxe, les pince, les caresse....

 

Un sourire apparaît sur le visage de Caro, lorsqu'une caresse plus appuyée qu'une autre la fait soupirer. Son pouls s'accélère, son souffle aussi. Elle se sent si bien.

 

Maintenant le regard regard de Matthieu qui se pose sur le corps de Caro... Vue plongeante sur ce qu'il reste de son décolleté... Elle sent son cœur battre de plus en plus vite, elle sent mes lèvres s'entrouvrir petit à petit, la chaleur de son souffle sur sa main, comme un feu qui la brûle du bas ventre jusqu'à l'âme. Son corps s'ouvre, s'offre à lui, suscite son désir d'aller plus avant. A nouveau le regard de Matthieu parcourt son corps . Elle adore être regardée,

 

A suivre........

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mars 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31
             
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés