Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 20:10

 

Samedi 10 mai:

11 heures du matin:

Atterrissage comme prévu, récupération des bagages, passage en douanes. Chaleur, chaleur, chaleur..... mais chaleur agréable, entre 25 et 30°C. Hélène est là, évidemment!

- Alors, ma belle tu as fais bon voyage?
- Excellent, j'ai eu 3 places pour moi toute seule....
- T'es en pleine forme j'espère?
- Oui, Hélène,  je suis super contente et puis il fait beau chez toi et chaud, woahhh, c'est bon!
- Tu sais, je ne suis pas mécontente que tu aies laissé André à la maison!

- Pourquoi tu dis ça ?

  • Il est un peu crispant, non?
    - Tu ne le connais pas  bien. Je ne l'ai pas laissé, il ne pouvait pas venir. Lui, il t'apprécie bien.
    - N'empêches que tu baises ailleurs!
    - Commences pas! Tais-toi!
    - Woahhh!Fais pas ta chochotte.
    - Et toi? Tu ne baises pas ailleurs? Au fait comment va Bastien? Je suis sure qu'il te fais jouir toujours aussi fort?
    - Oh oui! On est toujours follement amoureux!
    - Oui on s'en étais un peu aperçu. Remarques, ça motivait André de vous entendre.
    - Oui c'est ce que tu m'avais dit! :-)   Et alors, ton réunionnais, tu discutes toujours avec lui? Tu lui a montré ta chatte? Tu vas le rencontrer? Là, tu n'as aucune excuse.
    - Fous-moi la paix! dis-je en éclatant de rire. On va à la plage cet aprem?
    - Oui c'est prévu, à la Saline!
    - Woahhh! Super et les requins?
    - C'est pour les touristes non accompagnés, avec nous tu ne risques rien! :-)  Ils n'aiment que les surfeurs métros! Et puis  La Saline c'est dans le lagon!
    - Et ce soir?
    - Ce soir? Dîner entre copines! Mais dodo pas trop tard.Tu dois être en forme pour demain!

    16 heures:
    Plage de La Saline, jusqu'à 18 heures où il fait nuit. Ca surprend quand on arrive de la métropole! Je repère le lieu pour revenir les jours où ma cousine travaille. Elle me prête sa petite voiture.

    18 heures:
    Après un (petit) punch coco, on attend Cathy pour un repas-filles. Lors de notre précédent séjour, on avait sympathisé avec Cathy et son mari, mais, apparemment, il est parti avec une plus jeune et ils ont divorcé il y a 2 ans. Aujourd'hui, d'après Hélène, elle déprime un peu.

    19h30:
    Cathy arrive...On s'installe pour diner.
    - Oh Corinne, je suis si heureuse de te revoir!
    - Moi aussi, tu sais! Et la famille, le mari, les enfants?
    - Ecoutes , aux dernières nouvelles, tout allait bien......

    La conversation s'engage de façon plutôt sympathique, Cathy est médecin dans un centre médical pas loin d'ici. C'est une jeune femme plutôt agréable à regarder, blonde aux yeux bleu ce qui est peu courant içi. Elle est mince. Un peu réservée mais brillante.

    Le garçon apporte notre 2ème pinacolada et la conversation revient malheureusement sur nos situations familiales, enfin, surtout la sienne.

    - Pour moi, ce n'est pas tout à fait la même chose, tu sais? Mon mari s'est tiré!
    - Oui, j'ai appris,  ça a du être dur à vivre, j'imagine.
    - Oui le salaud! Je l'aimais, il faisait de moi ce qu'il voulait! Les yeux fermés! Et toc, elle a 22 ans! J'en ai 34! Je ne suis pourtant pas bonne à être mise à la casse!!
    - Non, évidemment. Qu'est-cequ'on devrait dire, nous?!
    - Ca faisait 8 ans qu'on était ensemble!
    - Oui je comprends.

    Cathy est très marquée par son divorce et c'est vrai que ce soir elle a du mal à penser à autre chose. La conversation revient toujours sur ses problèmes et Hélène semble ne pas trop apprécier comment évolue la discussion qu'elle aurait voulue plus cool, pour moi j'imagine.

    Alors quand Cathy, au moment du dessert redemande du punch.....
    - Cathy, t'es sure que ça te fait du bien?
    - Bien sur! La mère la pudeur! Tu t'en fous toi! Tu vas rentrer, ton mec va te baiser et moi mes draps sont froids ...

    Je ne sais pas si c'est du lard ou du cochon, j'essaie d'intervenir.....

    - Oh toi , Corinne, c'est pareil! Tu t'en fous, pendant 3 semaines , peut-être que tu vas être seule, mais après, retour au pays et partie de jambes en l'air tous les soirs! Moi, demain, je mets ma blouse blanche et je vois des gens qui m'occupent l'esprit mais que l'esprit. J'aimerais bien que certains parfois m'occupent autre chose que l'esprit...Comme là maintenant! Tu vois le mec là-bas? J'en ferais bien ma fin de soirée!
    - Chuuuuuuut!

    Elle a les yeux humides. Elle va se mettre à pleurer si ça continue.... Hélène et moi sommes un peu gênée par la tenue de notre amie mais apparemment, pas trop de regards tourné vers nous. Hélène insiste pour qu'elle arrête de boire mais Cathy termine son punch sans ciller . Puis le garçon, qui n'a rien compris au film, apporte des petits verres de rhum arrangé qu'il pose sur la table avant qu'on ait eu le temps de l'arrêter. Cathy ne s'en laisse pas compter..... mais consciente....

    - Je me sens pas très bien, je veux rentrer....

    Mais à peine debout elle se rassoit brutalement. Heureusement dans ce coin du restaurant, on est les dernières. Hélène me dit:

    - Allez, je vais payer et on la ramène. Elle est complètement....
    - Oui, je suis paf, je sais, j'en peux plus.....

    22 heures:

    Ca fait 1/4 d'heure que j'attends Hélène qui vient d'aller border Cathy. Quelle soirée!

    - Elle dort!
    - Elle s'en tient une couche , dis-je à Hélène, mais elle a l'air si malheureuse.
    - Oui, bien sur mais c'est une égoïste, je l'ai engueulée. Elle arrêtait pas de dire qu'elle voulait des mecs mais des mecs, on lui en a présenté 4 ou 5 mais il y avait toujours un détail qui cloche.

    J'ai trouvé qu'Hélène était sévère avec Cathy.....mais on est rentrées sans commenter plus.....

    23 heures:
    Quelle journée! Crevée,  Dodo!!

 

 

A suivre....

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 16:18

Bonjour,

J'ai l'impression que ça fait une éternité que je ne suis pas venue sur mon blog!

Ceci n'est pas une histoire érotique. Ce serait trop simple. Ce n'est pas une histoire si par "histoire", on entend d'abord une fiction. C'est plutôt une chronique sur une période à la fois intense et inattendue de ma vie récente.  Une chronique érotique, oui, mais si vous voulez des scènes de cul à toutes les lignes, c'est raté.

L'homme qui m'a permis de vivre ces instants et de pouvoir écrire cette chronique érotique est bien vivant. Je suis bien vivante, moi aussi, et si certaines ou certains veulent lui poser ou me poser des questions, qu'ils ou elles me contactent pour avoir les réponses dans la mesure où la discrétion reste le moteur de ces échanges.

Cet homme qui a aujourd'hui 32 ans, je le connais sur internet et skype depuis près de 5 ans. Discussions érotiques, cams chaudes et phone-sex ont alterné avec échanges de toutes natures..... Il n'y a pas eu une semaine où je n'ai eu le plaisir d'entendre sa voix en espérant l'inverse également vrai. Où je n'ai eu le plaisir d'avoir eu du plaisir avec lui et où il semblait sincèrement en avoir de son côté.

Mais on était loin et si différent l'un de l'autre. Moi en métropole, lui à La Réunion. Moi, peau blanche, cheveux brun foncé, un corps de femme mure, à 45 ans on peut dire ça, relativement expérimentée, travaillant dans l'immobilier près de Genève.

Lui, noir, jeune infirmier, fou de désir virtuel pour moi, fou de désir de l'autre sexe....Combien de fois ne m'a-t-il dit qu'il aimerait me baiser, me faire jouir des heures durant par tous les pores de ma peau, me faire baiser par ses amis, que La Réunion était un volcan et lui un volcan sur le volcan..... Tout ce qu'on peut promettre, évoquer quand on n'imagine pas un instant un début de réalisation.

Quand je suis partie, il y a plus d'un mois, je n'imaginais pas ni rester aussi longtemps ni y faire la provision de plaisirs aussi intenses que ceux que j'y ai vécu.

D'abord je n'imaginais pas forcément rencontrer mon contact virtuel mais, peut-être par jeu, aussi bien  Philippe que ma cousine Hélène m'y ont poussée!  Après, on tire le fil....

Tous les jours, je prenais des notes que je mettais en forme au fur et à mesure. Bien sur, il y a une petite part de fiction, ne serait-ce que les noms, les métiers exacts.....mais les évènements relatés se sont bien déroulés là où ils sont censés s'être déroulés ( sauf pour St-Leu, mais ce n'était pas loin ).

Alors allons-y et commençons par le commencement.

Vendredi 9 mai:

Il est environ 20 heures, on ne devrait pas tarder à embarquer. Je ne sais pas si j'irai jusqu'au bout, mais je vais essayer de tenir un journal et de le mettre à jour quotidiennement. Je pars pour La Réunion.
C'est la 4ème fois en 15 ans que je viens et c'est toujours envoûtant. Après 10 heures d'avion, Hélène, ma cousine,  viendra me chercher à Roland-Garros ( L'aéroport, pas le stade!) .
Hélène c'est ma cousine préférée avec laquelle je m'entends super bien. Elle et son ami Bastien me reçoivent chez eux,  à St Gilles. Son ami est médecin à St-Denis  mais ils habitent à St-Gilles  depuis près de 5 ans.
La dernière fois que je suis venue, il y a 4 ans, et j'étais avec mon mari, ils venaient de se mettre ensemble. Avoir l'hébergement, ça allège un peu l'aspect financier du voyage mais surtout il connait très bien l'ile et il est de bon conseil pour tout ce qui est balade, etc....

Hélène et moi sommes vraiment intimes. Elle n'a jamais beaucoup apprécié André, mon mari, et elle sait que j'ai un amant en métropole mais elle n'en a rien dit à son ami et je la crois.

Elle sait aussi pour Jean-Luc, un jeune réunionnais avec qui je skype depuis plus de 5 ans. La dernière fois que je suis venue, elle voulait déjà  que je le contacte réellement.... En plus avec mon mari qui m'accompagnait, j'avais refusé.

Elle me vantait les mérites des hommes de La Réunion.... Elle n'avait peut-être pas tort pour le sien parce que vu les cris à peine étouffés qu'Hélène poussaient régulièrement vers 5h du matin.... :-)

 

 

 

A suivre.......

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Mardi 6 mai 2 06 /05 /Mai 13:39

Voici un texte que m'envoie Nicolas......D'après ce que j'ai vu de Nicolas, Sandra ne devrait pas être malheureuse 

Corinne

 

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La lumière est souple, la musique suave, les ombres caressent les murs, le luth et la flûte font leur numéro magnétique. Au milieu du salon, la danseuse enroule son corps dans la mélodie lancinante, ses gestes sont lents et surprenants. La chevelure brune et par endroits bouclée, les traits fins, les yeux en amande, Sandra s'enivre de ses propres mouvements.
Personne d'autre que cette femme et ses mouvements profonds. Juste un homme, Nicolas, dont les yeux ne peuvent quitter les formes légères de Sandra : les hanches qui tremblent, la taille qui se tord, les épaules qui chassent l'air, les mains qui font des volutes hypnotiques. Tout est là, toute l'attirance travestie en danse…

Par instants, les regards se croisent, les yeux de Sandra fixent ceux de Nicolas qui est captivé. Il y a un mélange de gêne et de désir dans les quatre yeux qui se regardent. L'homme est obligé de regarder ce corps qui l'attire plutôt que de soutenir les yeux de cette femme qui le perce à jour.

Nicolas détaille lentement la danseuse : le visage parfois caché sous un fin voile blanc, un sourire presque imperceptible, une poitrine qui miroite de paillettes de toutes les couleurs, une poitrine humide de sueur tellement la danse est intense, le ventre qui roule comme un œil de serpent, les hanches qui montent et descendent, qui tournent sur elles-mêmes, les fesses rondes et nerveuses masquées par la jupe, telles des fruits inaccessibles, les cuisses qui font voler les fils de toutes les couleurs, les pieds nus et peints, une peinture musicale…

La musique est de plus en plus obsédante, lancinante, le désir monte inexorablement. N'y tenant plus, l'homme se lève et rejoint la danseuse dans ses mouvements en cascade. Les bras en l'air, le couple danse face à face, la danseuse s'échappe des bras de l'homme qui la frôle à chaque pas…

La chaleur est étouffante, l'homme sourit et tente de se rapprocher au plus près de celle qui le rend fou. Les corps s'effleurent, se touchent, les respirations se mêlent, les mains se caressent.

Nicolas tient la main de Sandra et la fait tourner devant lui : les pans de la jupe se soulèvent, les cuisses brunes se laissent découvrir plus nues encore que le désir qui continue sa montée. L'homme embrasse la main de la danseuse qui donne son bras à baiser. Nicolas fait courir sa bouche sur le coude, la peau douce du bras et remonte lentement vers l'épaule de Sandra qui se laisse bercer par la musique et les lèvres de son homme.

Nicolas embrasse intensément l'épaule nue de la danseuse qui tremble de la taille et fait sauter ses hanches. Les corps sont de plus en plus proches, les yeux font plus que se croiser, ils se rejoignent, fondent ensemble dans une même soif.

Le bassin collé à celui de Sandra, Nicolas embrasse le cou de la danseuse qui frémit de volupté. La langue de l'homme caresse doucement et par courts instants la peau mate de la superbe Sandra qui se laisse aller à poser sa tête sur celle de Nicolas qui couvre son cou de baisers. L'homme remonte plus haut sa bouche et aspire agréablement le lobe de l'oreille, derrière l'oreille et à la naissance de la chevelure de nuit de la danseuse. Les mains de Nicolas caressent le ventre et la chute des reins de Sandra qui s'abandonne doucement alors que la flûte continue son chant lancinant. L'homme passe derrière la danseuse et soupire sous ses cheveux qui tombent en cascade puis embrasse sa nuque qui diffuse une odeur des plus excitantes. Les mains de l'homme caressent le ventre de la danseuse qui continue à trembler sur le rythme de la musique.

Ensorceleuse, j'ai envie de toi, murmure Nicolas…

Je suis à toi, répond-elle en fermant un peu les yeux.

Très lentement l'homme défait le soutien gorge de Sandra qui a les cheveux jetés en avant : d'un geste majestueux, la danseuse retire son soutien gorge. Ses seins finement arrondis sont couverts de petites paillettes de toutes les couleurs. L'homme caresse de ses deux mains les seins de Sandra : les bouts sont déjà durs et assombris, les soupirs des deux danseurs se font plus insistants.

Le bassin de l'homme frotte la croupe rebondie de Sandra qui laisse aller sa tête en arrière. à travers les étoffes de son pantalon, Nicolas ne peut cacher l'appétit qui l'envahit, son sexe dur caresse les fesses rondes de sa muse qui se trémousse un peu. Les mains de l'homme pressent les seins de la jeune fille qui respire plus vite. En la tenant par la taille, toujours dans son dos, Nicolas attire la danseuse alanguie vers le sofa : les têtes tournées l'une vers l'autre, les deux amants s'embrassent à pleine bouche. D'un geste de corps, la danseuse se sépare de Nicolas qui la suit du regard…

Sandra continue de faire jouer ses hanches et petit à petit, vient se mettre à genoux sur le canapé. Dans cette position, ses fesses se relèvent un peu, ce qui ne l'empêche pas au contraire de suivre le rythme de la musique. Les coudes posés sur le dossier du sofa, les yeux fixés dans ceux de Nicolas, Sandra se cambre doucement, écarte lentement ses genoux tout en faisant remonter les pans de sa robe miroitante : découvrant l'intimité de sa partenaire avec délices, Nicolas se met aussi à genoux pour ne rien en perdre. Voyant que sa position excite son amant, Sandra se cambre plus encore et remonte plus haut sa jupe pour offrir à Nicolas le spectacle de ses secrets : une petite touffe de poils bruns fait une virgule sous une fente lisse et arrondie, des petites lèvres brunes légèrement entrouvertes jointes par un adorable bouton rose et au-dessus, caché entre deux fesses discrètement serrées, palpitant par instants, le petit anneau étroit…

La musique est toujours langoureuse, profonde. La danseuse défait lentement sa jupe et la fait glisser à ses pieds : elle est nue.

Nicolas commence à caresser tendrement les formes ombrées de Sandra qui lui sourit. Ses mains passent et repassent sur le haut des cuisses, sur les fesses et les reins de Sandra qui semble apprécier cette douceur. Les formes de Sandra sont sculpturales, un océan de sensualité orientale.

Nicolas approche sa bouche et embrasse par petites touches les fesses de Sandra. Petit à petit la langue de Nicolas inonde de baisers humides et doux les fesses de la belle Sandra. Insensiblement, la langue de Nicolas se faufile entre les fesses de Sandra qui à chaque fois se cambre pour se faire plus profonde. La langue frétille entre les lèvres de la danseuse qui gémit sourdement.

D'un petit geste des mains Nicolas relève Sandra qui est debout sur le canapé, face au mur. L'homme s'assoit entre les pieds de la danseuse, la tête juste entre ses cuisses.

Sandra est debout, les mains en l'air, la toison noire juste devant le visage de Nicolas qui sourit : elle donne quelques coups de hanches sur la musique, sa toison danse sous les yeux fascinés de son homme.

Follement attiré par les mouvements de hanches, Nicolas caresse les cuisses de Sandra et remonte doucement en direction des fesses fermes de cette admirable danseuse. Lentement, l'homme commence à poser ses lèvres sur la toison de sa maîtresse tout en caressant ses fesses. Sandra avance imperceptiblement son ventre vers la bouche de Nicolas qui donne des petits coups de langue sur la toison superbe de la danseuse. La danseuse approche un peu plus vers l'homme qui se met bien au fond du canapé : la danseuse peut alors se mettre au-dessus du visage de son amant.

Nicolas donne de petits coups de langue pour goûter cette fente qui s'offre à lui. Ses mains pétrissent les fesses de la danseuse et du même coup ouvrent un peu plus ses lèvres d'amour. La langue experte de Nicolas écarte les lèvres brunes de Sandra et s'insinue effrontément dans son nid d'amour pour ensuite titiller le clitoris tout rose.

D'un coup Sandra fait demi-tour sur elle-même : toujours au-dessus de la bouche de son amant, elle lui tourne maintenant le dos. Elle se penche en avant pour mieux s'offrir sans retenue à cette langue qui la fouille goulûment. La danseuse met ses mains sur ses chevilles pour ne pas tomber en avant, sa croupe est offerte. L'homme introduit doucement sa langue dans la fente ouverte de la danseuse qui commence à gémir joliment. Il lèche les petites lèvres brunes et réintroduit le bout de sa langue dans la fente de sa maîtresse qui gémit de plus belle. L'homme tient les fesses de sa maîtresse, sa langue fouille amoureusement la fente qui s'élargit au milieu de tant de désir. La danseuse frotte sa petite chatte sur la bouche de son amant tout en respirant vite. L'homme lèche de haut en bas, du clitoris au perinet et de temps en temps s'attarde sur le petit cul qui palpite un peu : le bout de la langue pénètre profondément tous les orifices de la danseuse qui se trémousse gracieusement.

La danseuse défait la braguette de son amant et libère d'un coup le sexe dur qui trépignait depuis trop de temps. Sandra fait monter et descendre lentement, en s'attardant parfois sur le gland, sa main sur le sexe dressé de Nicolas. La langue plantée dans sa fente, Nicolas lèche de plus belle sa maîtresse qui fait trembler son derrière dans les mains de son amant. Dans un mouvement coordonné, Nicolas se met allongé sur le canapé, sa bouche toujours collée à la petite chatte de Sandra. Allongée maintenant sur le corps de son amant, Sandra continue de caresser le sexe dressé et dur qui emplit sa main. Nicolas plonge sa langue et la retire de la chatte de Sandra qui dégouline de désir, puis du bout d'un doigt, il caresse l'entrée du vagin tout en léchant avec amour le clitoris qui grossit de bonheur. Pendant ce temps, Sandra embrasse le sexe qui frétille dans sa main : de baisers en petits coups de langue, la danseuse se met à lécher de bas en haut la colonne dure de son amant. D'un coup, Sandra prend le gland de son amant dans sa bouche et aspire lentement : les yeux fermés, elle fait faire un petit mouvement de va et vient du sexe dans sa bouche tout en le caressant de sa main. Soupirant de bonheur, Nicolas continue de lécher encore plus profondément Sandra : sa langue fouille la fente de la jeune fille pendant qu'un de ses doigts pénètre discrètement l'anneau étroit qui se libère petit à petit. Bien lentement et en profondeur Sandra suce son amant avec amour et délice.

Après quelques instants, n'y tenant plus, la danseuse retire sa chatte de la bouche de son amant et se remet face à lui. Doucement, la danseuse s'assoit sur le sexe de son amant qui le tient dressé entre ses lèvres. En un instant le bâton brûlant pénètre jusqu'au fond de la chatte de la danseuse qui respire un grand coup. Les deux amants laissent sortir un râle profond tellement ce moment d’union est attendu. L'amant tient de ses deux mains les fesses de sa maîtresse qui commence à aller et venir sur sa colonne d'or. Sandra fait avancer et reculer son bassin sur le ventre de Nicolas tout en montant et descendant, faisant aller jusqu'au fond d'elle-même ce sexe qui la pénètre. Les mains posées sur la poitrine de Nicolas, Sandra ferme les yeux par moments, comme pour se laisser encore plus aller à cette profondeur. Nicolas caresse les fesses arrondies et magnifiques de la danseuse tout en couvrant de baisers brûlants les seins tout dressés de sa partenaire.

La croupe de Sandra fait comme quand elle dansait : des coups de hanches d'avant en arrière cette fois, des coups de hanches qui à chaque fois font se planter plus vigoureusement encore le sexe dur de Nicolas. à chaque coup de hanche correspond un gémissement de plus en plus sonore de Sandra qui ferme les yeux.

Je vais venir, dit-elle d'une voix sourde.

Nicolas serre ses mains sur les reins de Sandra comme pour renforcer encore le désir de sa maîtresse qui se laisse glisser doucement.

D'un coup, un râle rauque et venu d'une région lointaine sort de la bouche de Sandra qui arque boute ses bras sur la poitrine de Nicolas.

Une succession de tremblements traverse le corps brun et humide de la jeune fille qui crie entre ses lèvres toute sa jouissance : tout son corps est tendu vers ce point mystérieux et fort du plaisir. Un dernier cri sort de sa bouche alors que son corps s’effondre sur celui de son amant. La respiration de Sandra est encore sonore dans l’oreille de Nicolas qui continue lentement d’aller et venir au fond de Sandra.

Jouis toi aussi, et refais-moi jouir, dit-elle au milieu d’un soupire.

Dans un exercice d’acrobate, Nicolas tient Sandra dans ses bras et change de position sans jamais la quitter du fond d’elle-même. La jeune fille est maintenant sur le dos les cuisses écartées et relevées, Nicolas le corps penché en avant, face à sa maîtresse.

Nicolas tient les genoux ouverts de Sandra et commence à aller et venir au fond de sa chatte. Son sexe entre et sort entre les lèvres brunes et humides de la jeune fille qui aspirent le sexe dur. Le désir est tellement fort que les sexes unis dégoulinent comme des fontaines. Sandra jouit une deuxième fois tout en profondeur. Nicolas vient coller sa bouche à celle de Sandra, cherchant sa langue qu’il trouve avec bonheur. La respiration des deux amants contrainte par ce baiser se fait plus forte. Nicolas accélère le va et vient tout en se collant au corps de Sandra qui gémit doucement.

Prends-moi plus fort, dit-elle

Sandra écarte les cuisses et relève son derrière ruisselant du désir de l’amour. Nicolas sort de la chatte de Sandra tout en la frottant du gland rouge et dur. Les cuisses en l’air, les genoux sur les seins, Sandra se tient offerte à son amant. Nicolas frotte son sexe entre les fesses de Sandra, le gland entre les lèvres, entre les fesses, contre l’anneau étroit. De bas en haut, le gland frotte l’anneau étroit et sombre qui se fait plus accueillant. Palpitant, le petit trou serré se fait plus large : Nicolas force son gland pour entrer entre les fesses de Sandra, qui, dans un gémissement sourd, ferme les yeux.

Nicolas pousse son sexe qui entre dans le derrière de moins en moins étroit de Sandra qui remonte ses cuisses ouvertes sur ses seins. Nicolas commence un va et vient dans le cul de plus en plus souple de Sandra tout en caressant son bouton rose qui joint ses lèvres brunes ouvertes.

Nicolas accélère son va et vient dans le cul de Sandra tout en tenant ses genoux dans les mains. Le sexe entre et sort doucement entre les fesses écartées de Sandra qui gémit de plus en plus fort.

— Je vais jouir, dit Nicolas

Inonde-moi le cul, répond Sandra.

Nicolas accélère son mouvement entre les fesses de Sandra et d’un coup son corps est transpercé d’une pulsion qui le pousse au fond du cul accueillant de Sandra qui ferme les yeux. Dans un cri et un mouvement fort, Nicolas crache sa semence au fond des fesses de Sandra qui, les yeux fermés, se laisse aller à la jouissance de son amant.

Après trois coups de reins de plus en plus doux, Nicolas se retire d’entre les fesses douces de Sandra tout en gémissant de plaisir.

Je t’aime, dit-il.

Je t’aime fort répond-elle.

Un silence d’entre le plaisir des amants, la musique se fait plus douce.

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 14:53

Allongée sur le ventre, je me réveilles progressivement sentant une main vagabondant le long de mes jambes.
Sans me lever, j'ouvre un œil et te vois, souriant. Je joues le jeu et ne bouge pas. Tu me déplaces et écartes mes pieds qui pendent hors du lit, caressant au passage mon sexe qui s’humidifie lentement.
Complètement éveillée, mais gardant toujours les yeux fermés, je subis avec un plaisir croissant tes câlineries. Tu poses des baisers fous sur mes fesses bien rondes, les malaxant à pleines mains, les ouvrant au gré des mouvements, faisant apparaître le passage sombre.
Tu t’échauffe à mon contact ; ma respiration devient plus rapide et tu passes de temps en temps une langue gourmande sur mes lèvres. Tu t’étends sur mon dos : ton sexe bien dur se loge entre mes jambes.
Humm !!! quelles sensations agréables ! Tu te serres contre ce corps qui est offert ; tu t’excites à le toucher, à le frôler. Je remue doucement à ce contact, plongeant dans ta chaleur ; je soulève par à coups mon bassin, mimant l’accouplement.
Et, tous deux, vibrant de cette harmonie si vivante, nous nous embrassons éperdument, serrés l’un contre l’autre.
Durant ce baiser qui s’éternise je sens la complicité qui est la notre ; je la sens dans mon ventre, je la sens dans ce sexe qui bientôt ouvrira les portes du plaisir.
Alors, tu m’embrasses une nouvelle fois et te redresses. Tu pétris activement ces fesses si bien disposées à ton égard et glisse ta langue dardée dans mon petit anneau plissé. Je sursaute et veux me redresser aussi : nous échangeons juste un regard complice qui résume bien nos désirs.
Avec confiance, je me recouche et accepte cette intrusion dans mon fondement. Tu insistes, me caresses plus tendrement et je me détends ; ta langue masse mon anneau sombre et fait des rotations qui réveillent mon plaisir.
C’est bon. J'ouvre davantage mes cuisses et tu fais la navette entre mon petit orifice et mes lèvres bien gonflées. Je soupire, émets quelques gémissements ; j'apprécie et le montre. Tu t’actives à ouvrir le passage : ta langue agile effectue des va et vient entre mon minou et mon fondement.
L’anneau étroit s’agrandit ; pour parfaire le tout, tu te penches davantage et glisses sur mon clitoris qui attendait son tour ; il gonfle, ce petit bout de chair et grossit sous ta langue qui le torture.
Bientôt je ne peux plus retenir mes cris ; tu accélères tes mouvements, aspires mes lèvres, dégustes ma mouille qui s’écoule de mon sexe. Je me mets alors à genoux, facilitant tes caresses, facilitant aussi l’entrée de ta langue dans mon anneau étroit offert.
Je me mets à suffoquer et atteins une jouissance sans égale ; je suis soudain assaillie par cet orgasme et crie ma joie.
Les fesses en l’air, offertes, je remue encore toute échaudée par la puissance de mon plaisir : mon corps est encore secoué de tremblements ; profitant de cet état, tu glisses tout au fond de ma chatte, ton sexe plus que décuplé et bandant dur. Après quelques mouvements, tu ressors ton sexe et la place sur mon anneau interdit : tu pousses doucement pour le faire disparaître dans ce petit orifice si serré et convoité. Tu pénètres doucement mais sûrement. Si bien préparée je ne ressens aucune douleur sinon un plus grand plaisir.
Tu restes immobile, ton sexe logé au fond de mon postérieur ; ensuite, tu bouges lentement, faisant sortir ton sexe jusqu’au gland, le remettant doucement, encore et encore. Je sens monter mon plaisir : cela démarre de mon sexe, passe par l’anus et réveille mes sens.
Tu n’oublies pas mes seins à qui tu administres des attouchements amoureux ; tu adores mes seins, je le sais. Tu tritures les bouts dressés, empaumes ces beaux appâts. Je me cambres pour faciliter les choses. Oh ! comme c’est bon, c’est tellement bon.
Le rythme s’accélère, tes testicules claquent sur mes fesses ; je les sens remplies de jus. Bien embrochée, je bouge allègrement mon postérieur pendant que tu me limes tout aussi allègrement, et m'amènes une deuxième fois au point de non-retour.
Sous mes cris de jouissance, tes coups de reins se font de plus en plus violents, ton plaisir monte brusquement. Emporté par l’orgasme, tu te colles brutalement à moi, t’accroches à mes hanches et jouis follement.
Tu me pénètres au plus profond alors que des jets de sperme puissants remplissent mon anneau serré. Nous crions ensemble notre jouissance ô combien partagée.
Collés l’un à l’autre un long moment avant de retomber ensemble sur ce lit défait, nous nous étreignons passionnément.

 

 

Nicolas et Corinne

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Lundi 14 avril 1 14 /04 /Avr 14:30

 

J'ai besoin de créer l'envie, le besoin de vous sentir avoir le désir d'être au fond de moi ...et ce sera oui....et l'idée vos mains sur ma peau nue me séduit …. ça vous dirait, hein? Je pense que oui.....car je devine ce désir qui s'élève..Cela vous dirait comme programme du we?


Il continue à me caresser le haut des cuisses du regard....
L'effleurement de ses doigts...qui glisse le long de la dentelle grise.....ma robe, à la limite de mes bas...lui laisser deviner éveiller son imagination.....
je sens une douce chaleur au creux de ma chatte.....le désir du we qui va surement se dérouler....


La suite du voyage se passe agréablement en échange de pensées, sa jambe posée près de la mienne me rappelle l'envie que j'ai de lui.... 
à quelques minutes de l'arrivée, on discute de l'hôtel ...
On descend au même avec une porte entre nos 2 chambres?



J'allais sortir quand j'ai senti ses mains se poser sur moi....sur l'instant un moment de panique ...c'est un jeu agréable que l'on joue mais c'est aussi un parfais inconnu et tous les prédateurs de la terre n'ont pas une mine patibulaire.....mais il est doux …..ferme mais doux.....ses mains vont jusqu'à mon boxer qu'il baisse et me rend.....me voici nue sous ma robe...



Depuis une période pas si lointaine, j'ai découvert le plaisir d'être nue sous ma robe ...mais pour mon seul plaisir, personne ne le sais ...mais je me livre à ce petit plaisir quand je suis en long ou sous le soleil .....là, en court .....je rougis de la situation de savoir qu'il me sait ainsi.....mais une certaine excitation naît......nous récupérons nos bagages. Moi avec une certaine gêne dans mes mouvements de peur de montrer que je suis nue ....sous ma robe...nous voici partis pour l'hôtel



Le choix proposé par Max est agréable Le cadre reposant avec une certaine sensation d'être dans un univers feutré, coupé du monde, propice au plaisir.....Je fais le tour de la chambre ..me laisse envahir par la paix qui s'en dégage...La salle de bain me donne envie de me détendre...de me laver de la fatigue du voyage...Je la propose à Max qui me dit non pas pour l'instant...Je me fais donc couler un bain avec plein de sels afin de m'envelopper de leur arôme....Je laisse la porte close mais non fermée à clé....Me déshabille et me plonge dans ce nid de douceur....



Hum je sens l'odeur du café qui m'attend après ma toilette. Je me plonge dans le bain la mousse me couvre entièrement je laisse la douce chaleur de l'eau m'envahir....je ferme les yeux et profite du bien être....Soudain je sens une présence l'odeur du café proche … Max est là à me regarder, je sens son regard qui parcourt mon corps....la mousse s'est dissipée et ne cache plus grand chose ......je me sens rougir et un certain trouble m'envahir.....Il me tends ma tasse, je la prends et il s' assoit tranquillement en face de moi pour papoter.....Mon café fini, je me lève pour me rincer ....il prends alors le pommeau de douche et me dis : « Laisse je vais le faire »......Il règle la température..et passe le jet sur mon corps doucement .......puis il modifie la nature du jet et en fait une ligne d'eau .....il la promène sur mes seins les tétons sous la puissance se dressent il passe de l'un a l'autre en suivant le galbe......le jeu dure un moment.....puis plonge son regard dans le mien et me dis :
« Je sais que je ne peux pas encore te toucher mais je peux profiter de ton corps par le plaisir du regard et te voir vibrer sous lui. »

...Et doucement le jet glisse le long me mon ventre..... Il se déshabille lentement et me rejoins dans la baignoire. Je lui indique que je veux voir son dos et je verse le shampoing , commence à le faire mousser, puis je débute un massage de la tête pour évacuer les tensions du voyage…Je prends le gel douche et commence à parcourir son corps...je pars de la nuque et descends le long de son dos je suis chaque muscle dessiné sous la peau puis mes mains font de même avec son torse je sens sa respiration qui change de rythme… Je descends le long du bassin caresse ses fesses et je vais vers son pubis en évitant consciencieusement son sexe...
Enfin les jambes, je glisse ainsi sur chaque centimètre de sa peau....Sans jamais le regarder en restant toujours dans son dos.... je sors et récupère la douche afin de le rincer...le jet suit le chemin emprunté par mes mains quelques instants plutôt ...
Je récupère une serviette et le sèche doucement, enveloppé dans la chaleur de l'éponge...la barrière du tissus me permet d'accentuer mes caresse d'effleurer son sexe qui se gonfle...
Quand il est sec, je m'enveloppe dans un peignoir et vais me servir une autre tasse de café ..
 
Max, un café?



Il s'installe nu dans le fauteuil pour profiter de la chaleur du soleil sur sa peau.. et me demande des tartines..... je m'applique à les faire et les lui donne ......
Puis, je prends un fauteuil et viens aussi profiter du soleil ....je me mets face à lui et j'ouvre mon peignoir....je laisse les rayons du soleil caresser ma peau.... la pointe de mes seins se dressent sous la chaleur....j'écarte légèrement les jambes afin de sentir la chaleur dans le creux de mon intimité......dont il ne peut pas éviter la vision...


Le temps s'écoule doucement dans cette douce torpeur....
Oublié de mettre de la crème sur le corps....je vais la chercher...quitte mon peignoir et enduit chaque parcelle de ma peau avec le lait.....tout en regardant la réaction que cela produit sur Max et réaction il y a..... Mes mains glissent sur mes jambes que j'appuie l'une après l'autre sur le fauteuil. et remontent...

On profite encore du doux confort du soleil sur notre peau.... je vois le sexe de Max qui se dresse fièrement...très envie de le goûter...mais pas encore.... laisser encore le désir monter.....


Mais j'ai envie de le découvrir....je me glisse vers lui et le temps qu'il mange sa tartine je l'enduis de crème.......je suis devant lui....toucher ce corps crée de l'excitation au fond de mon ventre....je ne peux résister plus longtemps et je pose mes lèvres sur les siennes, ma langue pénètre sa bouche à la recherche de la sienne et les 2 partent ainsi dans un long ballet sensuel......


Quand je sens qu'il va craquer et m'attraper, alors je me dirige d'une démarche sans aucune équivoque vers la chambre......



Corinne



PS: Si vous voulez proposer une suite, ne vous gênez surtout pas.

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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