Mardi 28 janvier 2 28 /01 /Jan 10:09

 

Le dernier TGV du soir vers Lyon venait de quitter la capitale et par cette douce soirée de printemps, les derniers rayons du soleil s’estompaient petit à petit .

Dans la ville, sur les trottoirs étaient apparues les premières tenues légères marquant la fin d’un hiver long et triste. La vie renaissait, la sève montait dans les végétaux en même temps que la sensualité chez beaucoup de ces hommes et femmes.

Il y avait peu de monde dans ce wagon de première classe. Le hasard des réservations avait placé un homme, dans la quarantaine, à coté de la jeune femme assise contre la fenêtre. Dans cet espace face à face, il n'y avait qu'eux.

Sans attendre le départ du train elle s’était plongée dans la lecture d’un livre .Elle n’avait pu retenir l’envie d’acheter au kiosque dans le hall de la gare ce roman érotique, récemment paru et dont le contenu défrayait les chroniques. En fait un roman autobiographique dans lequel l’auteure, une femme, se plaisait à raconter son aventure initiatique de la découverte de la soumission, entrainée dans une longue spirale où les sensations les expériences croisaient en intensité, en sensualité presque en bestialité. Cathy affectionnait ce genre de lectures ; un peu gênée elle s’efforçait toutefois d’en cacher la couverture et le titre à son compagnon de voyage. L’inconnu, sans doute un homme d’affaires ou un cadre semblait travailler sur son ordinateur portable posé sur la tablette devant lui.

Le train roulait depuis quinze bonnes minutes déjà, quand la jeune femme releva la tête de son livre. Elle jeta un regard autour d’elle, l’écran était placé de biais mais de telle sorte qu’elle voyait difficilement ce qui défilait à l’écran . Elle allait replonger dans sa lecture quand l’image qui venait apparaitre retint son attention ; elle n’en était pas certaine mais il lui semblait apercevoir un ou plusieurs personnages nus .Cette chose lui parut étrange de la part de cet homme d’aspect si bien mis si convenable et cela d’autant plus que l’environnement dans ce wagon, même s’il était peu occupé , n’offrait aucune intimité.

Elle se dit qu’elle avait mal vu et qu’après tout, les occupations des autres voyageurs ne la concernaient pas ; elle reprit sa lecture, elle se plongea avec une délectation coupable dans la scène torride décrite dans le passage du roman où elle était arrivée. L'héroïne racontait....« je me retrouvai un moment seule avec le grand copain de mon fils. Eric était en train d'aider sa soeur à préparer ses affaires à l'étage. J'ai compris plus tard que Jean-Marc, ce vigoureux gaillard, avait pris Eric sous son aile dans l'unique but de se rapprocher de moi, sa mère qu'il trouvait à son goût. »

Bien entendu cela la troubla beaucoup, elle sentait doucement l’excitation si familière chaque fois qu’elle se livrait à ce passe temps, la gagner. C’était comme une sorte de drogue, ses tetons s’étaient tendus, avaient durci, dardant au travers du tissu, trahissant l’émoi qui s’était emparé d’elle. Sa poitrine généreuse se soulevait au rythme de sa respiration rapide.

L'héroïne continuait : « Tout d'un coup, Jean-Marc attrapa hardiment ma main et la posa sur son short qui gonflait sans que je ne fasse rien . Est-ce que ce qu'on dit est vrai? Ca paraissait incroyable. 20? 25? 30? Non, j'éxagère surement! « Corinne, vous me plaisez beaucoup! J'ai envie de vous! Excusez-moi! Je n'y peux rien! » J'étais comme hypnotisée par cette grosse bite que j' avais en main et qui allait dépasser largement de son short s'il ne se passait rien.. Ce n'était pas la première fois...... »

 

Elle interrompit sa lecture.


Son voisin semblait, ou donnait le sentiment de ne s’être aperçu de rien ; mais imperceptiblement il avait légèrement tourné son ordinateur vers Cathy de telle manière que celle ci pouvait tout à loisir maintenant découvrir ce qui se apparaissait t à l’écran . Elle écarquilla les yeux, son cœur se mit à battre encore plus fort la scène qu’elle découvrait ressemblait à s’y méprendre aux fantasmes et aux images qui l’habitaient depuis qu’elle avait lu les dernières péripéties du roman ………Elle commençait à se sentir passablement excitée et à trouver que ce monsieur exagérait un peu.

En entendant le frottement de ses bas nylons l'un sur l'autre, elle se surprit à croiser et décroiser les jambes de plus en plus fréquemment. Frottement de ses bas nylons l'un sur l'autre, frottement de ses cuisses l'une sur l'autre, c'était un indice ….........

En même temps, elle avait repris sa lecture....... « Je sais très bien qu'il n'a pas eu à me forcer à écarter les cuisses, et que mon cri était plus du à la taille inusitée de sa grosse bite qu'à la révolte, tout simplement, je n'avais jamais expérimenté de chibre aussi épais que celui là! …Je l'ai prié de me baiser à couilles rabattues alors qu'un orgasme dévastateur.......... »


Alors qu'elle commençait à se sentir envahie par une légère vague de chaleur assez caractéristique , elle se dit que son programme de soirée était bien triste.....L'hôtel à la Part-Dieu, bel hôtel, c'est vrai, mais toute seule jusqu'à demain matin, avant de reprendre le train pour St-Etienne....Mais c'était chaque fois pareil quand elle devait aller à Paris. Elle n'avait jamais imaginé faire des rencontres dans le TGV mais elle commençait à se dire que depuis qu'elle savait ou presque avec qui son mari la trompait, elle se sentait plus à l'écoute . Pourtant, elle avait accepté pendant tout le temps de leur mariage de faire à peu près tout ce qu'il lui avait demandé de faire et ce n'avait pas été facile au début. Elle avait eu quand même beaucoup de moments agréables. Qu'est-ce qui avait pris son mari d'aller draguer cette pouffiasse? Bon, on se calme!

Pas facile, avec ce roman........ 

 

« Mais comment ai-je pu le laisser poser ma main sur son membre alors qu'on était à table? ….. J'aurai du savoir que celà n'en resterait pas là! …… Ca c'est terminé exactement comme c'était prévisible, à plat dos sur le canapé ….. Je savais que je ne pouvais guère crier au viol, mais je craignais que mon mari n'apprenne ce qui s'était véritablement passé, que j'avais permis à un jeune mec superbement bien monté  d'enfourner sa grosse bite dans ma bouche! Et pas seulement dans ma bouche!….. »

Se calmer, elle n'en n'avait plus envie....Après tout, ils n'étaient que tous les 2, au moins dans l'espace face à face, alors elle décida une première attaque......Elle posa calmement son roman sur la tablette en faisant en sorte que le titre soit bien visible.........

 

 

A suivre.....

 

Corinne

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Lundi 27 janvier 1 27 /01 /Jan 18:13

 

Quand sous ma jupe, vos doigts glissent,
Puis sous mon string, doucement s'immiscent,
Je perds soudainement le contrôle,
Quand vous, forcément, vous avez le beau rôle..

 

Hummmmmm

 

Corinne

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Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Lundi 27 janvier 1 27 /01 /Jan 11:33

 

Pour écrire des mots parfumés d’érotisme, il faut savoir aimer et surtout

les destiner à l’amant si friand des plaisirs indécents qu’à lui seul on consacre. Les paroles même les plus obscènes ne prennent-elles pas le goût du miel

lorsque je les murmure au creux de ton oreille?

Lorsque je te susurre « j'ai envie que tu me baises », ne m’entends-tu pas crier « Oh mon amour je t’aime, je veux me donner à toi. »

Pourquoi donc occulter ce désir qui m’attise, qui fait de mon corps nu une apparente braise...

Ne sens tu pas ma peau frémir sous ton regard, avant même que tes doigts ne s’égarent sur mes courbes?

Pourquoi donc ignorer cette troublante fièvre s’épanchant doucement de mon écrin d’amour, qui réclame tes lèvres pour assouvir ta soif de ce nectar de baise?

Laisse-toi malmener, lentement dériver par ce corps assoiffé de ta virilité, de ces audacieux baisers qui viennent me troubler alors même que ta bouche ne m’a même pas frôlée.

Sens tu ma main, Amour, rechercher la raideur de ta queue affolée par la danse diabolique de ma croupe effrontée qui bouge et se dandine, ce cul qui te réclame, qui te désire tant, que tu n’oses combler de crainte de t’y noyer.?..

Pourquoi donc repousser ces plaisirs audacieux de deux corps mélangés, ces incessantes vagues de jouissance furtive qui consacrent le désir, cette attirance charnelle qu’elle en devient ...chimique, repoussant les frontières du plaisir au-delà du rationnel?

Ces morsures cruelles qu’à ma peau tu infliges, bestialement  attisent mes ardeurs, ces mains si robustes enrobant ma cambrure animent le brasier de mon désir charnel.

Oui, c’est ainsi, Amour, que j’aime que tu me baises, quand ton membre si puissant comme un glaive tranchant, transperce mes chaleurs de lubrique femelle....

Cette lame symbole de ta virilité, tourmente dans le plaisir mon âme malmenée par cet émoi troublant qu’on appelle jouissance. Réclamant plus profond le dard de tes envies, mon regard s’évapore, mon souffle s’appauvrit. En cet instant béni où nos deux corps exultent, entre les psalmodies par ma bouche insufflées, je murmure ces mots « baise moi, baise moi encore ».Ton plaisir m’envahit, ta semence m’inonde, dans un ultime soupir je savoure ces mots qu’alors tu me destines. « Je jouis », tu me cries, tout mon corps en frémit, l’orgasme nous saisit, ensembles, complices jusque dans l’extase.

 

Viens........

 

Corinne

 

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Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Dimanche 26 janvier 7 26 /01 /Jan 10:15

Le monsieur du Puy me demande de mettre en ligne les 2 photos suivantes de sa femme:

 

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Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 10:41

 

- Justement, détends-toi. Je te ferai pas mal, laisse-toi aller. 

Et puis, j’ai poussé un petit cri de douleur. Mes yeux se sont remplis 
d’eau.
- J'ai un peu mal, Olivier, t'es gros, trop gros pour moi, arrête s’il te
plait. - Calme-toi, Corinne, t’es pratiquement toute pénétrée. Il reste environ
juste un pouce à entrer. - L’autre femme a aimé ça ? Elle se l’était déjà fait faire, elle ? - Je ne sais pas, mais elle a aimé ça oui, elle a joui. - C’est qui, cette femme-là ? - Bah, une amie d’une collègue de travail de ma mère. - Tu la baises encore ? - On se voit encore de temps à autres, oui. - Ouch… doucement, Olivier… Elle est mariée ? - Oui. - Tu l’encules chaque fois ? - Pas chaque fois, juste quand elle le demande. - Elle doit être habituée. Je n’en reviens pas, si mon mari savait que
je suis en train de me faire enculer par un jeune de 22 ans alors que
lui n'a jamais voulu me le faire. C’est le divorce tout de suite. Elle a
quel âge ? - 37 ans, elle baise même avec un jeune de 17 ans. Tiens, t’es toute
pénétrée. Tu vois que ça bien été ? - Une chance que t’es un maudit beau mâle, toi, parce que tu m’aurais
pas eu de même. On n’en serait pas là, tous le deux. - Je t’ai eue parce que tu en avais envie, chérie. Ça te plait ? - Oui, c’est ça le pire. Bouges pas .Ça m’excite de me faire dominer
comme ca. J’ai découvert ça avec toi. Au lieu de m'écouter, Olivier commençait ses déhanchements. Je me
regardais dans le miroir me faire enculer pour la toute première fois
de ma vie par un homme autre que mon amant, par surcroît un beau
jeune loup de 22 ans sous la domination duquel j’étais entièrement. Mais vous savez quoi ? Ça me plaisait. J’aimais me faire enculer. Ou je crois plutôt que j’aimais me faire enculer par Olivier autant que par Philippe. Aucun autre que lui ne me l’a fait, par la suite. Il est un excellent bai-
seur, ce p’tit jeune. Il vous domine, mais dès que vous soumettez à
lui, il est soigneux, il prend soin de vous, il est doux. Il sait comment
prendre une femme, et certains hommes de mon âge pourraient
rougir devant son expérience. J’ai beaucoup appris avec lui. En une seule baise, il m’a fait découvrir
plein de choses, il m’a presque rééduquée sexuellement à lui seul.
J’ai découvert le plaisir de se sentir soumise à un homme, de sentir
lui appartenir. Celles qui ont peur de se faire sodomiser, n’ayez crainte et essayez,
ça vaut la peine. La pénétration peut vous faire un peu mal au début,
mais si votre homme sait comment s’y prendre, vous allez rapidement
oublier cette douleur. Une fois bien pénétrée, vous ne ressentez plus
de mal et je vous laisse découvrir le plaisir nouveau que ça vous
apportera. Donc, Olivier m’a enculée comme ça pendant une bonne demi-heure
en ne cessant pas de me complimenter. Nous n’arrêtions pas de nous
contempler mutuellement grâce au miroir. Je n’ai peut-être pas joui,
mais j’ai adoré. Après son éjaculation, il s’est retiré et nous nous
sommes étendus un peu sur le lit, collés l’un contre l’autre, à échanger
des bisous. Je me sentais heureuse, avec lui. Je me sentais belle et
désirée. Après quelques instants, il s’est rhabillé et est allé acheter sa bière,
je n’ai jamais su comment il a justifié son temps d’absence aux autres
jeunes, . Pour ma part, j’ai retiré ma jupe, le seul vêtement encore
sur moi, et je suis allé le prendre, ce bain. Ai-je revu Olivier après cette aventure ? Ai-je eu d’autres aventures
après cet événement ? Je vous raconterai peut-être ça une prochaine
fois. Je vous remercie de m’avoir lue et je vous embrasse tous.




Corinne
Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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