Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 18:51

 

Lundi 27 juin 2016

 

Chevalier de l'amour,

 

Tel est mon titre de noblesse au service des femmes d'exception comme la merveilleuse Corinne.

Voilà un moment que je dialogue avec Corinne.

Elle est une femme de qualité, rare aujourd'hui, qui aime la vie et tous les plaisirs qu'elle nous offre. Elle est chaleureuse, terriblement désirable, elle respire la sensualité et inspire l'amour.

Aujourd'hui nous avons la même envie au même moment, elle veut entendre les mots qui vont l'exciter, moi je veux la faire jouir pour mon plus grand plaisir.

Je garde volontairement le vouvoiement qui contraste avec les mots forts ou crus qui vont faire vibrer son corps et son âme au même diapason. Cette pseudo distance intensifie l'érotisme et la tension du désir.

Nous engageons notre joute amoureuse :

 

Corinne - que faites-vous d'agréable?

 

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Henry - j'écris, je suis installé à la terrasse de mon café préféré comme d'habitude, je fais des poses pour regarder passer les belles femmes qui ont découvert leurs atours et je pense à vous, à ce que je vous ferais si j'étais à vos cotés.

Corinne - mais encore?

Je fais celui qui n'a pas entendu la réponse et comme le sage philosophe je réponds à la question par une autre question.

Henry - et vous que faites-vous en ce moment?

Corinne - comme tous les lundi après-midi je reçois mes amants, mes amis et je papote avec eux. Aujourd'hui je suis avec vous.

Henry - là maintenant que désirez-vous que nous fassions?

Corinne - difficile question, j'aime les hommes qui prennent des initiatives.

Voilà une délicieuse invitation à jouer, à se caresser avec les mots…

Corinne - j'ai quelques minutes pour un homme sympathique comme vous…

Henry - quelques minutes c'est un peu court pour une femme avec des désirs de jouissances aussi puissantes que les vôtres. J'aime prendre le temps nécessaire pour conduire les joutes amoureuses, pour laisser courir nos imaginations, pour vous amener vers une jouissance irrésistible, pour vous entendre supplier puis crier votre orgasme!

Corinne - commencez alors.

Voilà une injonction qui ne souffre aucune attente.

Henry - je suis assis à votre côté, nous partageons une coupe de champagne tout en buvant nos paroles.

Corinne - faites-moi rêver…

Henry - je vous regarde longuement pour m'imprégner de votre charme, mon regard se porte sur votre poitrine si adorable, vos seins, vos tétons que je désire les caresser, les sucer pour vous entendre gémir.

 

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Corinne - et encore…

Henry - mon regard descend vers vos reins que j'entrevoie à peine, je vous dis que mes mains vont s'emparer de vos fesses, que je vais les écarter pour voir votre porte étroite avant d'y porter ma langue agile afin de frapper à son entrée!

Corinne - oui vous avez deviné ma faiblesse pour cet endroit de mon corps.

Henry - ensuite mes mains vont remonter le long de vos cuisses pour arriver la où la chair est si soyeuse, si délicate, si sensible au toucher, si sublime à caresser.

Corinne - hummmmm…

Henry - enfin je vais me glisser entre ces belles cuisses pour regarder votre temple d'amour, pour en titiller la clé offerte afin que ses portes s'ouvrent à l'amour.

Corinne - oh, oui Henry, regardez bien je vous l'offre pour faire briller vos yeux…

 

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Maintenant vous croisez et décroissez un peu nerveusement vos jambes à la lecture de mes mots qui ont chauffé votre corps.

Henry - vous glissez un doigt dans votre coupe de champagne en me fixant droit dans les yeux, vous caressez lentement le rebord du verre et enfin vous sucer votre doigt langoureusement comme s'il s'agissait de ma queue, votre doigt fait des va-et-vient entre vos lèvres. J'en suis très excité, ce qui n'échappe pas à votre regard de grande amoureuse.

Corinne - oui mon doigt fait des va-et-vient pour vous, voyez-vous ce que je veux vous faire…

Vous m'avez envoyé une photo.

Henry - j'adore votre geste sur la photo, la manière dont vous m'offrez de voir votre poitrine.

Henry - oui votre doigt est une invitation irrésistible, j'imagine déjà ma queue à sa place, je sens la chaleur de votre bouche affamée, de votre langue titillant mon gland, de votre main s'emparant de mes couilles pleines de jus pour vous.

Corinne - oh oui montrez-moi…

Henry - non et je résiste encore un peu avant de vous toucher, je veux mener votre excitation à son comble.

Corinne - pourquoi?

Vous m'envoyez une autre photo de vos seins dénudés.

Henry - enfin je vous demande de vous lever et de vous mettre face à moi qui reste assis sur le canapé. Vous me montrer votre poitrine comme sur la photo, j'adore et vous le dit pendant que ma main se glisse le long de votre jambe, je vous ordonne d'écarter vos jambes pour que je puisse vous fouiller l'intimité à ma guise.

Corinne - ah, oui ordonnez-moi…

Henry - je vous demande si de votre temple coule déjà les premières larmes d'éros. Vous êtes un peu gêné de l'avouer, j'aime lorsque vous me répondez que oui avec une petite voix émue.

Henry - je continue ma caresse le long de vos jambes et j'arrive en haut de vos cuisses, je sens la chaleur de votre chatte mais j'évite encore de la toucher, je sais que vous en mourrez d'envie, j'aime vous faire languir.

Corinne - je vous offre tout, prenez ce que vous voulez…

Henry - vous voyez que vous me faites bander, votre regard se porte mon entre jambes, je sens que vous avez envie de voir, vous désirez tant libérer cette queue, je vous provoque en me touchant ma braguette dans un geste obscène puis je fais glisser très lentement la fermeture éclair, je n'ai pas de slip, vous vous léchez les lèvres comme si vous alliez déguster une délicieuse friandise.

Corinne - hummmmmm!!!!!!!!

Henry - votre regard est fixé sur la bosse que fait mon érection, je veux encore faire monter la tension dans votre esprit, je remonte la fermeture éclair pour refermer la braguette, vous semblez déçu comme une fillette à qui on a refusé une sucette mais vous n'osez rien dire. Vous me regardez dans les yeux, suppliante, j'adore, vous êtes encore plus belle, je ne peux pas y résister, je vous dis que c'est pour que vous ayez le plaisir de l'ouvrir vous même!

Corinne - je vais vous l'arracher ce pantalon, sadique!

Henry - mais vous êtes tout de même rassurée. Je vous demande de retirer votre soutien-gorge et de me montrer vos seins pendant que je continue de caresser vos cuisses et maintenant vos fesses, vous gémissez, vous couinez, vous aimeriez que je tire la ficelle du string pour effleurer votre anus qui lui vibre déjà en criant famine. Là aussi je vais vous faire languir, ça n'en sera que plus jouissif lorsque je le toucherai. Votre chatte coule, votre string est mouillé, le parfum de la cyprine m'envahit de ses effluves pour mon plus grand bonheur. Shalimar peut se rhabiller !

Corinne - oui buvez-moi mon chéri, je vous en supplie…

Henry - pas de suite! Je vous demande enfin de retirer votre jupe en restant toujours debout devant moi. Vous êtes magnifique avec juste vos bas et vos escarpins qui cambrent vos reins. Je vous demande de caresser vos seins que vous m'exposez sans pudeur, vos tétons sont durs d'excitation, tendus vers moi comme pour me supplier de les toucher, les sucer, les mordiller, les pincer, vous savez que j'adore ça et que ça me fait bander à faire exploser mon pantalon, ça vous plait, vous adorez!

Je reçois une nouvelle photo de vos seins avec vos tétons offerts.

Henry - vos seins sont vraiment magnifiques à croquer.

Corinne - Merci… continuez je vous en prie…

Henry - enfin je touche votre chatte brûlante à travers le fin tissu du string, vous mouillez tellement que mon doigt glisse tout seul dans la fente avec le tissu. J'exige que vous retiriez vous même et lentement ce string pour me faire découvrir vos trésors enfouis, ils sont tellement beaux qu'il ne faut plus les cacher, je vous commande d'ouvrir les portes du temple pour m'offrir la vue paradisiaque du bonheur, je vois votre bouton, gonflé de désir, me saluer.

Corinne - oui, continuez…

Henry - je prends vos mains pour les poser sur vos seins, mes mains s'emparent de votre intimité ainsi exposée, avec un doigt je caresse la fente offerte et ouverte comme une bouche affamée, j'évite de toucher le bouton malgré le fort désir qui me démange, je prends abondement de votre mouille avec 2 doigts que je glisse entre vos fesses à la recherche cette sublime porte étroite que j'ai bien l'intention d'ouvrir pour visiter le palais qui s'y cache.

 

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Corinne - oui, visitez-moi, je suis accueillante…

Henry - je sens sur l'un de mes doigts cet anus vibrer de désir comme pour me dire "aller entre, tu es le bienvenu, tu vas voir les splendeurs que je vais t'offrir pour te faire jouir", mon doigt inquisiteur pénètre facilement comme s'il était attendu depuis toujours, cet anus aspire littéralement mon doigt, je reste un moment sans bouger, je regarde votre visage épanouie par le désir et presque soulagée que le visiteur se soit enfin décidé d'entrer au palais des merveilles.

Corinne - oui, touchez toutes les parois, toutes ces splendeurs sont à vous…

Henry - vous êtes sublime ainsi dans l'attente du plaisir, vous gémissez, j'adore cette musique, la plus douce de toutes. Je commence un va-et-vient, vous êtes à la limite de craquer, votre respiration s'accélère, vous vous pincez les tétons comme pour résister à la tempête annoncée, c'est à ce moment que j'adore vous faire basculer de l'autre côté de la vie, celui où vous ne pouvez plus rien contrôler, celui de la jouissance sans fin. Je pénètre sans difficulté mon deuxième doigt, l'accueil est encore plus chaleureux que pour le premier, vous semblez dire "plus on est plus il y aura du plaisir".

Corinne - allez-y sans ménagement, prenez tout…

Henry - j'accélère les va-et-vient dans votre fondement bien ouvert aux intrus, j'adore, c'est comme une bite qui baise votre cul, pour vous achever je porte ma bouche sur votre chatte et avec ma langue agile j'entreprends de gamahucher ce bouton qui s'impatientait désespérément qu'on réponde à ses appels!

Corinne - oh, c'est trop, ah oui…

Henry - vos mains quittent vos seins, elles viennent se mettre derrière ma tête pour la plaquer contre votre chatte, vos jambes frémissent, vous coulez sur mon visage couvert de votre cyprine, et soudain un spasme traverse votre corps, vous criez à déchirer les murs du bonheur d'un orgasme fulgurant et interminable, tout votre corps tremble de plaisir, je continue à baiser sans ménagement vos anus avec mes doigts, je veux que vous jouissiez encore et encore avec votre cul ouvert au bonheur jusqu'à la fin des temps!

 

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Corinne - oui, je jouis, c'est comme un train d'orgasmes qui n'en finit pas de passer…

Henry - je suis aux anges de vous voir envahie par tant de plaisir, c'est divin, vous êtes la déesse de l'amour et du sexe. Et ce n'est qu'un début, j'ai bien l'intention de vous faire visiter bien d'autres lieux et vous offrir des plaisirs plus virils.

Corinne - je l'espère bien, je suis ouverte de partout pour vous.

Henry - vous êtes belle, encore plus belle après l'amour, que dis-je, sublime est plus juste, vous rendez la vie plus belle.

Corinne - Merci, merci mon chéri.

 

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Henry - Merci à vous, je vous couvre de mille baisers comme mille roses rouges pour parer votre merveilleux corps.

 

Henry K.

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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