lesrevesdecorinne

Scénario vacances : je pars à la plage de la Saline vers 9h30. Je revois ces passages menant de la route à la plage que j'ai parcouru l'an passé avec Jean-Luc, de jour et même une fois de nuit…. Cette année, c'est la pleine saison des bougainvillées qui m'accompagnent de mauve, de blanc, de jaune de bleu ou de rouge…  C'est incroyable…..

Dans la matinée, je reçois un appel de Cathy :

« Salut ma belle, ça va ? »
« Salut toubib ! Oui, ça va.  Et toi, hier soir, tu étais resplendissante! Bastien avait les yeux rivés sur ton décolleté ! Alors je ne te demande même pas si ça va ! »
« Merci, je t'adore. Non, c'est vrai que ça va mais je n'ai pas trop le temps de discuter. J'aimerais vraiment que tu passes à mon cabinet demain vers midi juste avant que je ne ferme. On ira se manger un morceau et on passera l'aprem ensemble, d'accord ? »
« D'accord mais je croyais que tu allais à St-Pierre ? Je n'ai rien compris au film ! »
« Pas grave, il fallait bien que je dise quelque chose. Non, Matthieu vient ce week-end comme un grand à St-Paul me sauter mais il n'arrive que samedi ! »
« OK, c'est bon ! A demain midi ! »
« Au fait, Jean-Luc m'a dit qu'il déjeunait avec toi. C'est vrai ? »
« Oui, c'est vrai. Ne t'inquiètes pas. Il nous est fidèle ! »

Eclats de rire.!

Vers midi, je prends la voiture et je fonce chez Jean-Luc. Il fait chaud et les Hauts commencent à être couverts de nuages menaçants. Je sonne à l'appartement. Quelques secondes…. 

La porte s'ouvre…. Une main, celle de Jean-Luc, heureusement, apparaît, se saisit de la mienne et m'entraîne, m'aspire  littéralement vers l'intérieur jusque dans ses bras !  Avant que je n'aie compris ce qui m'arrive, compris que Jean-Luc est déjà à poil, ce salaud (  :) )  colle ses lèvres sur les miennes et, suivant un schéma classique, me serre contre lui en m'enlevant ma petite robe d'une main et finit de m'arracher mes dessous de l'autre.
C'est un peu rapide mais qu'est-ce que je me sens bien !
Je passe mes bras autour de son cou pendant qu'il me caresse partout et qu'est-ce que je me sens bien !
Je sens son sexe plein du désir de moi et qu'est-ce que je me sens bien !
Je sens ses mains entre mes cuisses,  sur mes seins, qu'est-ce que je me sens bien !
J'entends ces mots cochons qu'il me distille à l'oreille et que j'écoute avec délectation et qu'est-ce que je me sens bien !
Combien de fois me dit-il qu'il a envie de me fourrer, de me défoncer, de me la mettre bien profond ? Ce n'est pourtant pas la première fois que j'entends ces mots, même venant de sa bouche ! Combien de fois ? Je n'en sais rien mais qu'est-ce que je me sens bien !
Mais pas aussi bien que lorsqu'il me pose sur la table de la cuisine après m'avoir embrochée sur son pieu qui n'en peut plus d'attendre  pour se déverser!! Il a quand même la délicatesse d'attendre de m'avoir fait jouir pour le faire !

« Ca te va comme apéritif, ma chérie ? »
« Putain, le con ! Oh, que oui ! C'était ça ta surprise ?»

Mais je ne le luis dis pas comme ça.

« Non, mais je t'ai regardée par la fenêtre arriver, sortir de ta voiture. Ma queue m'a dit que tu n'avais pas envie d'attendre et elle non plus ! »
« Tout bien réfléchi, elle avait raison ! Et merci de m'avoir attendue pour…. »
« Je ne t'ai pas attendue. Tu as crié si fort que je ne pouvais plus te retenir. Faut jouir plus discrètement ! Il y a des voisins ! On est pas au Maïdo ou sous la 4 voies !»
« Non, je n'ai pas crié, tu exagères ! »

Sa queue toujours enfouie en moi, il continue :
« Tu veux que je reprenne ? Mais tu fais attention, tu t'écoutes bien ! »

Il fait mine de reprendre ses va-et-vient ……

« Non, chéri, ça peut attendre ? »

Grand sourire ! Il s'échappe en douceur et va nous chercher des serviettes de bain pour envelopper notre nudité.… Comme si c'était nécessaire  :)  ! Il se l'enroule autour de la taille et moi au dessus de la poitrine. Ca tient chaud !

« Mais si tu veux prendre une douche, ne te gênes pas ! Pendant que je finis de préparer le taboulé ! J'irai après ! »

Je pars à la salle de bains prendre une douche. Son appartement est très sympa. Je crois qu'il est le premier occupant. Je me prends une serviette dans le petit placard mural et en cherchant un gant, je tombe sur quoi ? Devinez ? D'abord, un superbe gode vibrant marron foncé imitant parfaitement son sexe en érection et un petit  œuf vibrant télécommandé. Je referme brusquement le tiroir mais le réouvre immédiatement pour être sure que j'ai bien vu ce que j'ai cru voir et c'est bien ça ! Un gros gode et un petit œuf vibrant , miracle de technologie !  Je garde ça pour moi ! Je repars à la cuisine.

« Alors, ce taboulé, ça avance ? »
« Tiens goûtes-moi ça ! »
« Hummm, c'est super bon ! »

Et lui, d'énumérer tout un tas d'épices et d'herbes qu'il a mises dans la semoule et qui lui confère un goût et un parfum que je n'essaierai même pas d'imiter une fois retournée chez moi !

Suit une branchée de litchis, quelques fruits de la passion ( des vrais ! )  et il va préparer le café… Pendant qu'il prépare le café, je me glisse derrière lui et défait le nœud de la serviette de bain plus ou moins nouée autour de sa taille et qui tombe par terre. Je me baisse pour la ramasser avec de fausses excuses et me prend en bouche quelque chose qui ne tarde pas à ressembler au magnifique outil que j'ai vu dans le tiroir tout à l'heure…. Hummmmm

« Coquine, tu en reveux ? Ca tombe bien, moi aussi ! »

Pendant que la cafetière glougloute, je le suce  avec énergie mais il est rapidement en état, non pas de me nuire, mais, au contraire, de me faire, de se faire, de nous faire le plus grand bien. Il me prend sur le canapé et pendant des minutes que je voudrais voir durer une éternité, il me tringle à fond ( Je n'emploie jamais ces mots mais, là, ce sont les seuls qui me viennent à l'esprit pour décrire ce qui m'arrive) . Il me tringle à fond, oui, c'est tout à fait ça ! Alors, tout à coup, perdue dans mon trip, j'entends Jean-Luc qui me dit :

« Mais, là, tu ne t'entends pas crier? »
« Si, peut-être, possible ! Excuses-moi ! Mais c'est de ta faute ! Putain, continues !!»

Il continue et, là, c'est vrai que je m'entends ! Tant pis pour lui ! Quand j'ai fini de jouir, c'est à son tour qu'il se place pour que je le finisse entre mes seins. Quand il s'est bien vidé, j'en profite pour retourner à la salle de bain et je lui pique son œuf vibrant. Je fais ça sans réfléchir, sans savoir vraiment ce que je vais en faire ( Ne riez pas ! )  mais je réfléchirai plus tard !

Après sa douche et nous être rhabillé, alors que nous dégustons sagement le café qui a eu le temps de passer, je lui demande de satisfaire ma curiosité :

« Au fait, comment tu t'y es finalement pris pour choper Cathy.  C'est vrai ce que tu m'as raconté ? »
« Oui, c'est vrai. En fait, tu m'avais conseillé d'être présent au près de Cathy pour compenser ton départ, si mes souvenirs sont exacts ? »
« Oui, c'est un peu ça... »

Je ne lui ai pas dit que j'avais donné le même conseil à Cathy, de se rapprocher de Jean-Luc.

« De toutes façons, je ne voulais pas faire non plus un enfant dans le dos à Matthieu et tant qu'Andréa était là…. C'est quand elle a décidé de partir à St-Denis, en septembre, que j'en ai discuté avec Matthieu. En fait, c'est lui qui a abordé le sujet. Il m'a dit lui-même :
« Attends, Jean-Luc, pendant la semaine, pendant 5 jours, tu entends, 5 jours, tu vas rester seul içi et  Cathy, seule à 10 kms, seuls tous les deux à vous morfondre ?  Tu crois pas qu'il y a mieux à faire ?  Attends, Cathy est brûlante  comme la braise, moi je l'aime bien, elle est géniale mais du moment que je la retrouve quand je monte pour le week-end….
 Je préfère que ce soit toi qui la baise plutôt qu'un inconnu et c'est ce qui va se passer. Elle est trop chaude pour rester seule longtemps. »
A la suite de cette conversation, je me suis décidé à me lancer pour draguer Cathy et lui faire comprendre que si elle et Matthieu était d'accord, je pourrais, pendant la semaine… etc.… etc.….
C'est là qu'intervient l'épisode du cabinet médical. Je n'avais pas encore de stratégie mais je devais voir un toubib, pourquoi pas Cathy ? Tu y a déjà été chez Cathy, je crois ? »

Oui mais je ne lui ai pas dit ce que j'y ai fait:)

« Donc je me pointe chez Cathy en prenant un rendez-vous en bonne et due forme. C'était début octobre de l'année dernière… Elle me dit de garder mes chaussettes et me voilà donc allongé sur la table d'examen avec une superbe nana, il faut dire qu'elle est bien gaulée, en blouse blanche sous laquelle on devine qu'il n'y a pas grand-chose et qui se penche et se repenche vers moi, son stéthoscope à la main, blouse juste assez ouverte pour que je constate qu'elle n'a pas de soutien-gorge, je me sens très inconfortable, presqu'à poil et elle me reprend la tension, m'explique que la tension se prend au bras mais peut aussi se prendre au poignet, avec un appareil plus petit, comme celui qu'elle me montre, qu'elle se passe au poignet. Elle a un tout petit poignet à peine plus gros que ma… tu vois ce que je veux dire ? »

« Oh, oui, je vois bien ! »

 « Et elle ajoute que chez les hommes on peut aussi, avec ce petit appareil la prendre à la base d'un certain  muscle mais qu'elle ne le faisait pas parce que le seul homme à qui elle aimerait le passer… c'était moi !  Je n'ai pas pu me retenir et elle a très bien vu que je commençais à bander. Elle a fait comme si de rien n'était, s'est repenchée au dessus de moi sous un prétexte quelconque, j'ai empoigné ses nichons et là tout est allé très vite. Hyperbandante, je te dis, hyperbandante !! Elle m'a arraché mon slip et m'a sucé comme une goulue, pas aussi bien que toi, bien sûr, et a sauté sur la table pour s'empaler comme une sauvage sur ma queue ! Et puis je l'ai baisée comme un fou, c'est elle qui avait des préservatifs dispo, par devant, par derrière, j'avoue, je lui ai claqué les fesses et elle en a redemandé, mais on a dû abréger à cause des patients suivants, mais voilà, tu sais tout. »
« L'essentiel, peut-être, et après ? »
« Après, j'ai appris que Matthieu et elle avaient discuté de la situation.  Mais tous les jours elle m'appelait, pendant la semaine. Pendant le week-end, Matthieu revenait et ils baisaient dans la chambre que tu connais, là, et ça continue.   Mais dès le lundi matin, elle m'appelle, tu m'as manqué,  j'ai envie que tu me baises, viens à mon cabinet à midi, je te ferai la totale, etc, elle est complètement accro au sexe. Tu sais, j'ai été avec elle  à St-Leu, chez Pierre et Aïna. Elle me l'a demandé, même exigé ! Elle savait qu'on n'avait pas pu y aller. Elle s'est pris Pierre une première fois en pleurant et hurlant mais elle ne voulait pas reculer et l'a redemandé pour une double en fin de soirée. Elle a plein de fantasmes. Ca c'est normal mais elle veut les réaliser avec moi et avec éventuellement Matthieu mais je ne suis pas sur qu'il soit d'accord. C'est une folle, gentille, belle, compétente mais un peu fofolle. »
« Et qu'est-ce qu'elle a comme fantasmes ?»
« Non, je nete les dirai pas. C'est un peu privé, non ? Et puis je n'ose pas, c'est tellement fou ! Elle a une imagination débordante !»

Jean-Luc éclate de rire…..

« Bon très bien ! Je lui demanderai !  :) :)   »

Sur ce, il me ramène à la plage et je rentre chez mes cousins à la nuit tombée…. Pleine de sensations chaudes…..
Demain, je vois Cathy. Je vais la cuisiner. Je suis curieuse d'avoir sa version des faits !