lesrevesdecorinne

Le lundi aprem donc , Olivier arrive, élégant mais sans plus mais 

c'est vrai qu'il est mignon. On s'est mis au travail et je dois dire 

qu'il a eu un comportement impeccable, attentif, sans aucune 

allusion . Au bout de ¾ d'heure on avait finit et c'est au moment 

où il allait ranger ses affaires que j'ai senti une main glisser sur 

ma cuisse . J'ai légèrement sursauté encore …

« Olivier, sois sérieux, tu veux, ça s'est très bien passé jusqu'à 

présent »
 Une main chaude glissant le long de mes cuisses....
« Oui mais Corinne, vous me plaisez, j'ai envie de vous. Vous 

savez très bien l'autre jour vous ne m'avez pas empêché de venir 

jus qu'à vous, vous auriez pu le faire! »
« C'est faux, Olivier, c'était impossible de m’apercevoir que tu 

entrais dans ma salle de bain!Même si j’étais en train d’enlever 

mes boucles d’oreilles devant le miroir, la porte n’y était pas visible. »
« Ne faites pas semblant. Vous me regardez, vous m'observez à 

chaque fois que je viens, vous en avez envie autant que moi! »

Je lui ai alors répondu qu’il avait rêvé, que si je l’avais déjà 

regardé j’avais l’âge d’être sa mère, et lui ai ordonné à nouveau 

de ranger ses affaires et de partir, , sinon je …....

« Corinne, vous savez que j'ai envie de vous et ne niez pas que 

vous aussi..... » et avant d'avoir terminé sa phrase , il me serrait  

non pas brutalement mais vigoureusement dans ses bras et m'embrassait fougueusement sur la bouche sans que je puisse rien faire pendant des secondes interminables ..Mais quand interminables finit par rimer avec agréables...
« Vous êtes fou, Olivier! » Il s'est remis à m'embrasser et à com-

mencer à me peloter les seins avec sa main libre, l'autre me serrant

fortement contre lui. Je crois qu'il hésitait encore un tout petit peu, 

je le sentais un peu tendu. 

J'étais follement excitée sous ces caresses et je me rappelais ce 

qu'avait dit mon ami et ça ne m'encourageait pas à résister.
Ma main, par réflexe est descendue sur le devant de son bermuda 

gonflé par son sexe en érection commençante, très fortement com-

mençante. Je l'ai longuement caressé pour le sentir gonfler comme 

j'aime pendant que mes seins et le bout de mes seins durcissaient 

rapidement.
Olivier m’a alors pris la tête entre ses mains mais sans me faire 

mal, il m'a poussée à me mettre à genoux . Et c’est là que j’ai 

compris ce que je devais faire. A genoux devant lui, mon visage 

s’est retrouvé vis-à-vis de son pénis qu’il venait de sortir de son 

bermuda. 
- J’aimerais que tu me suces un peu, Corinne. Je te jure que ça va

rester entre nous. 
- Olivier, je ne vais pas te sucer qu'un peu. 
- Je me suis trop masturbé en imaginant que tu me suçais, 

j’aimerais le vivre en réel, juste une fois. 
- Non, j’ai 42 ans voyons, pourquoi tu ne le demande pas à une 

fille de ton âge ? 
- Je ne te lâche pas tant que tu ne m’auras pas fait une pipe. 
-C'est moi qui ne vais pas te lâcher tant que tu ne m'auras pas 

montré ce qu'un jeune d'aujourd'hui est capable de faire

J’ai fini par prendre son sexe dans ma main et, tout en le branlant 

doucement , je passais ma langue sur son gland comme sur la 

dernière glace à la framboise que j'avais dégustée il y a peu. Je le regardais dans les yeux et il commençait à se détendre. 
- Tu aimes te faire sucer?
- Oui, n'arrêtes surtout pas!

J’ai commencé à prendre sa queue , non pas parce que j’avais 

cédé, mais parce que finalement j’avais envie de sa bite dans ma 

bouche, et j’étais déjà plus qu'excitée. Il m’a dit que ça l’excitait 

que je le regarde dans les yeux pendant que je le suçais. Ça faisait 

déjà 3 ou 4 minutes que j’étais à genoux devant lui, en train de lui 

tailler une pipe… À force de le sucer, je mouillais de plus belle, je 

m’appliquais de plus en plus à lécher ce si beau membre d’un si 

beau gars qu’Olivier. 

Totalement allumée, j’oubliais tout maintenant, et........





A suivre.......