Lundi 10 juin
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/Juin
14:39
Ma chère Corinne,
C’est avec un enthousiasme non dissimulé que j’imagine de futurs
rendez-vous avec vous :
Nous pourrions partir tous les deux dans mon carrosse, il est
spacieux et confortable. Nous irions chercher un petit coin de
campagne où nous pourrions nous isoler.
Vous seriez habillée d’une jolie robe estivale, à volant, coloré et
légère, vous n’auriez pas mis de soutien-gorge mais un charmant
tanga de coton doux et coloré, et vous auriez de magnifique escarpin
rouge laqué.
J’aurais une chemise manche courte, entre-ouverte et un bermuda
en jeans.
Après avoir roulé tranquillement sur des routes désertes et
verdoyantes de l’arrière pays provençal, nous trouvons notre petit
coin tranquille, cela fait déjà quelques minutes que ma main caresse
doucement et tendrement votre cuisse gauche, en passant légèrement
sous votre jolie robe. Vous ne restez pas insensible mais par pudeur
vous restez sage, vos mains croisés devant vous, mais je sens, aux
frissons qui parcours votre cuisse que la chaleur monte malgré la
climatisation du véhicule.
J’arrête la voiture derrière un bel olivier centenaire, entouré de
lavande odorante.
Je me tourne légèrement vers vous, je relève les accoudoirs et
lentement je rapproche mes lèvres de vos lèvres, là, vous sachant
tranquille et isolé, vous vous laissez aller à de long baisés fougueux
et enflammés, vos mains parcours tendrement mon corps, en profite
pour déboutonner les quelques boutons qui reste attachés et sursaute
en sentant les vibrations et frissons qui me parcours.
Je sens votre parfum qui m’enivre quand j’embrasse langoureusement
votre cou et que doucement mes lèvres descendent vers votre
décolleté, mes mains pressent affectueusement vos seins tendus
sous le délicat tissu, vos baisés dans mon cou sont pressant, humide
et sensuels, malgré l’ombre du centenaire la température explose
dans l’habitacle, j’ouvre toutes les vitres et vous propose dans un
murmure, presque un râle, de passer sur la banquette arrière, plus
confortable encore.
Malgré l’effet d’aspiration de nos baisers nous réussissons à nous
séparer 3 secondes 10 dixième pour aller à l’arrière.
J’ai perdu ma chemise en cours de route, vous vos escarpins,
rapidement nos lèvres ce retrouvent et nos mains reprennent leurs
délicats jeux sensuels.
Je descend lentement la fermeture éclair de votre robe, ce qui à
pour effet de libérer votre sein gauche que je m’empresse de prendre
tendrement dans mes mains afin d’y apposer un long baisés, l’autre
jaloux, ne tarde pas a apparaitre et je lui octroi la même faveur, votre
main droite dans l’intervalle à réussi à défaire les entraves de mon
bermuda et se met à caresser lascivement mon entre jambe, votre
bouche descend sur mon torse lentement, tendrement laissant un
baisé sur chacune des parties découverte de celui-ci, l’autre main
passe doucement dans mon dos me tirant vers vous. Mon sexe se
découvre au moment où votre bouche arrive à son niveau et
miraculeusement il se retrouve dans votre bouche gourmande et
avide, je vous laisse prendre l’initiative du rythme et du jeu, mais mes
mains se font un malin plaisir de terminer de vous déshabiller, a vous
caresser le dos et toutes les parties de votre corps accessible.
Je sens votre aller retour humide et chaud, tantôt serrer, tantôt léger
de votre bouche sur mon membre, votre langue le parcours de haut
en bas, n’oubliant pas mes boules toutes gonflées, vos mains s’active
également sur mon membre mais aussi sur mes fesses.
Je vois votre croupe tendue, vos fesses ouvertes mes mains les
parcours en s’attardant sur votre petite fleur, j’humidifie mon majeur
et tout doucement pénètre cet endroit secret et délicat. Vous sentant
pénétrer votre excitation va grandissante le rythme s’accélère, mon
sexe et de plus en plus tendu, votre bouche de plus en plus active,
mes doigts rentrent de plus en plus vite et profondément, je vous
entends gémir de plaisir et dans une explosion de jouissance
commune je remplis de sperme votre bouche délicate, votre sexe
tout mouillé coule sur ma main pendant que mon doigt continue
doucement à vous caresser l’anus.
Nous nous embrassons fougueusement afin de faire retomber
agréablement le plaisir et nous reposons, enlacé à l’arrière de la
voiture, en regardant un magnifique soleil rouge qui se couche
derrière les collines, c’est si bon…
FIN
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