Jeudi 12 mai 4 12 /05 /Mai 14:06

Lundi matin

 

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J'ai eu du mal à m'endormir. Vraiment pas fière de moi. Et puis Cédric, je vais le revoir à la thalasso de 10h30. Il va me faire la gueule et il aura raison. Je ne suis pas obligée d'y aller, le dimanche matin la séance est facultative. J'y vais quand même. Et c'est ce qui se passe. Il me fait la gueule et il n'y en a de sourires que pour les deux autres nanas.

 

 

A la fin de la séance, il part ranger les accessoires dans le local du sauna. Il est toujours dans le local quand je passe devant la porte.

 

Je décide d'entrer, je pousse la porte derrière moi, sans la fermer, bien sûr. Quand il se rend compte de ma présence, je suis juste à côté de lui :

 

« Ah, l'allumeuse est de retour ? »

« Je suis vraiment désolée, je ne sais pas ce qui m'a pris, ce n'est pas mon genre..... »

« Non, bien sûr et c'est quoi ton genre, en tout cas, ce n'est pas moi ton genre, apparemment ! »

 

J'essaye de calmer le jeu, je ne sais plus trop ce que je dis exactement, il est fâché, il m'engueule, je le contredis et puis il doit comprendre quelquechose comme 'il n'est jamais trop tard pour bien faire'. Il me prend violemment une main, il se dirige vers la porte du sauna, il va me virer avec pertes et fracas dans le couloir, c'est sûr ! Au lieu de ça, il ferme la porte à clé. Il se retourne vers moi et me plaque contre lui, m'embrasse comme hier soir, comme un fou furieux......

 

« Bon, on va reprendre la conversation là où on l'a laissée et comme elle aurait dû se dérouler ! »

 

Sa main descend sur mes fesses. La main se fait ferme, possessive, ses doigts entrent dans ma raie par dessus le tissu de la robe. Non seulement je ne dis plus rien mais j'aime ! Ses doigts quittent le contact de mes fesses, pour revenir et claquer ma fesse droite. Je me retiens de gémir, je ne veux pas montrer la satisfaction que j'ai d'être ainsi traitée.

 

Ses mains remontent maintenant sur mes épaules et me font pivoter pour me retrouver face au mur. Plaquée contre ce mur, je suis complètement excitée et sans lui dire parce que mon fond BCBG est toujours là, j'ai envie qu'il me baise maintenant, je n'ai plus envie d'attendre. Lui, vient tout contre moi dans mon dos, frotter son bas ventre contre mes fesses. Il me fait bien comprendre que lui aussi est très excité. Son souffle contre mon oreille, ses mains qui viennent empoigner mes seins, il les presse, faisant saillir mes tétons. Je sens mes bouts pris en étau entre ses majeurs et index, ils pincent et étirent mes pointes. D'une voix calme et posée, sûr de lui, il me murmure "Viens !" laissant un silence avant d'ajouter, "Suce-moi !".

 

Ses mains appuient sur mes épaules pour que je m'accroupisse devant lui Je me laisse aller, mes yeux ne quittant pas les siens. Je prends sa queue en bouche. Je n'ai jamais senti un homme bander aussi violemment et rapidement. Sans me demander mon avis dont il semble se foutre royalement, il m'attrape par les cheveux et me pousse vers un banc. Enflammée par mon désir, je me positionne à quatre pattes à califourchon sur le banc et retrousse ma robe. Mes fesses pointées vers lui, je le laisse les caresser, les empoigner et finalement, n'y tenant plus j'abaisse moi même ma culotte, la retire pour lui, avant de l'envoyer voler sur le parquet. Ses mains si douces et fines m'explorent, se glissent entre mes cuisses, entre mes fesses. Partout, sans la moindre gêne. :

 

« Tu es à moi, salope »

 

Je ne sais pas si je suis à lui mais je tends le cul encore plus en arrière. Cédric prend mes hanches et pénètre ma chatte docile... Sa poigne et sa pénétration sont sacrément vigoureuses, et je gémis sous l'intensité du plaisir qui me prend aux tripes. Je n'ai pas eu le loisir de voir vraiment sa queue que celle-ci m'enfile déjà avec une vigueur inouïe. Ma chatte se délecte de la puissance de ses sensations. De plus en plus écrasée contre le banc, je le laisse faire, Ses assauts violents, ses coups de boutoirs ont fini par me faire jouir et le banc s'en souvient. Après, Cédric veut jouir sur mon petit trou. J'ai écarté mes fesses et il a inondé ma raie en me traitant d'allumeuse et de salope,

 

Je m'essuie avec une serviette du sauna, j'essuie le banc, je récupère ma petite culotte mais avant de me libérer, Cédric, assez vulgaire, me dit :

 

« Finalement t'es qu'une salope qu'a envie de se faire baiser, ça se sentait. Ca fait combien de temps que tu t'es pris une queue, hein ? »

« Arrête, je te permets pas, t'es qu'un connard prétentieux ! »

 

Là, il fout sa main entre mes cuisses et me soulève en me plaquant dos contre le mur  du sauna!

 

« Tu veux encore ma bite à la place de mon doigt ? »

« Arrête, ça va j'ai compris ! »

 

Je lui claque une gifle…..

 

« T’inquiète, quand tu veux venir au sauna, préviens-moi, tu n'auras pas besoin de réserver ! A chaque fois que tu vas réserver, je serai là pour te baiser!! »

« Tu peux toujours courir, pauvre type ! »

 

Je m’échappe et je vais déjeuner avec Martine et Roger, un truc vite fait ! Je suis un peu à la bourre, pas grave, Martine et Roger me trouve un air bizarre. Je leur raconte que j’ai un petit souci avec un de mes enfants. Leur curiosité s’arrête là et on parle d’autre chose. Je voulais interroger Martine sur la fin de sa soirée d'hier soir mais je ne voulais pas en présence de Roger.

 

Lundi après-midi....

 

Après le café, on se sépare pour un moment de calme chacun de notre côté. C'est alors que Conakry arrive et, évidemment, me parle d'aller, le lendemain, visiter, marcher et se restaurer en dehors du cadre fermé de notre hôtel de luxe.

Conakry s'avère convaincant. C'est vrai que rester huit jours dans cette île sans rien voir d'autre que l'hôtel et la plage, ce n'est pas terrible, alors je lui donne mon accord pour le lendemain, mardi 14 heures devant l'hôtel.

Sur le coup des seize heures, Martine fait son apparition et la façon dont elle a occupé sa soirée d'hier soir vient tout naturellement dans la conversation. Elle a autant envie d’en parler que moi d’écouter…..

Mais, tout en l'écoutant raconter ses parties de jambes en l'air, je repense à Cédric. Je lui ai dit que c'était un connard prétentieux mais je suis peut-être allée trop loin. Sous le coup de l'émotion. C'est vrai qu'il a été odieux mais je l'ai laissé faire et j'ai joui comme il y a longtemps que ça ne m'étais pas arrivé.

Oui, elle est partie avec le vieux beau avec qui j’avais vu Roger discuter mais je lui ai plutôt parlé d'un monsieur élégant... Il l'a emmenée chez lui où il y avait une petite fête pour son anniversaire. Depuis deux ans, elle est invitée, mais la fête après 23 heures ça se transforme vite en partie fine. Apparemment, cette année, il y avait le couple invitant, 2 autres nanas pour 4 mecs et son vieux beau. Et son vieux beau a très bon goût dans le choix des hommes ! Elle ne se souvient pas avec précision par combien de mâles elle s'est fait saillir, elle croit que c’est par tous sans être sûre mais elle était satisfaite ! Alors, si la cliente est satisfaite.....

Je l'écoute avec attention me raconter comment elle a pris son pied..… Ca me fait sourire parce que, souvent, elle me demande si j’ai fait ci ou ça, si je me suis faite sodomiser ou si j’ai fait des trios avec deux hommes, ou si j’ai couché avec une femme, quel âge avait mon plus jeune coup, mon plus vieux …… à chaque fois j’essaie d’être la plus évasive possible tout en restant crédible…. Elle est vraiment détendue, côté sexe …. C’est le moins qu’on puisse dire ….. Elle me plaît bien. Et puis, elle me propose d’aller au sauna. J’hésite parce que je repense à Cédric et à ce qu’il m’a promis si j’allais au sauna. Mais je me dis que …. Pourquoi pas ? Mais là, je n esuis pas inscrite et je serai avec Martine…

 

« Mais on n’est pas inscrites ! »

« Oh écoute, on va voir, s’il n’y a personne d’inscrit on s’y met, d’accord ? »

« D’accord ! »

 

Et nous voilà parties au sauna. Il n’y a personne d’inscrit. On rentre, la lumière s’allume, je ferme la porte à clé derrière nous. Le local du sauna, c’est d’abord une pièce avec la cabine du sauna, évidemment, et une cabine de douche suivie par une autre grande pièce qui sert aussi un peu de rangement dans la partie du fond. Je ne peux m’empêcher de regarder la table et le banc ou, allongée à plat ventre…. Bref, je repense à Cédric. C’est un connard mais il m’a bien baisée et c’est quand même un bon point pour lui ! Ca me fait sourire.

Martine, qui a l’air de connaître les lieux, met le sauna à chauffer et on se déshabille lentement pour aller prendre une douche.

 

« Tu sais, Emilie, t’es quand même bien foutue. Je suis étonnée que tu ne te sois pas encore tapé Matthieu ou Cédric ! »

 

Elle espère peut-être que je vais lui raconter mes dernières parties de jambes-en-l’air !

 

« Attends, ma belle, la semaine n’est pas finie ! »

« Oui mais la vie est courte ! »

« Tu philosophes, Martine, maintenant ? »

« Je philosophe, oui, surtout les cuisses écartées ! »

 

Sa réflexion nous fait rire. On visite les lieux complètement à poil, le temps que la cabine chauffe et j’en connais plusieurs qui aimeraient être là…..

Quand le sauna est à 50°C on s’y engouffre avec nos serviettes de bain et on s’installe sur les bancs de bois. A l’intérieur de la cabine il y a juste deux petites veilleuses et quand la lumière du local s’éteint automatiquement, c’est une ambiance chaude, et pour cause, qui s’installe dans la cabine. J’étale ma serviette sur le banc du haut et je m’allonge dessus…. Martine fait de même sur le banc du milieu cherchant une certaine proximité, c’est, du moins, l’impression qu’elle donne . Elle a envie de parler, je le sens, alors j’essaie de trouver une manière de relancer la conversation….

 

« Au fait, il s’appelle comment le monsieur…. »

« Justin, il s’appelle Justin et sa femme Rebecca…. »

« Et Rebecca était là ? »

« Oui, bien sûr, Rebecca est toujours là. C’est elle qui nous accueille et quand je dis accueillir, tu vois ce que je veux dire ? »

« Pas trop, non. »

« Ben, j’ai fait l’amour avec les deux ! Ca te surprend ou non ? »

 

Je préfère ne pas répondre ni lui parler de ce que Philippe m’a fait faire dans les journées où je me donnais à lui en libre-service…. La température dans la cabine est à 55 °C… On transpire comme pas possible, Martine brille de partout, j’ai envie de l’essuyer….. L’essuyer ou la caresser pour l’essuyer, j’ai chaud, je suis aussi trempée qu’elle.

 

« Tu sais, Emilie, c’est extraordinaire ! »

« Quoi ? Qu’est-ce qui est extraordinaire ? »

« De sucer un homme qui bande bien et de se faire lécher en même temps par une femme…. »

« Oui, je sais…. »

« Tu sais ? Alors tu l’as déjà fait ! »

 

Je suis moins concentrée et j’ai répondu trop vite….

 

« Euh oui ! Mais pas souvent ! »

« Pas souvent ? Donc plusieurs fois…. »

 

Je crois que c’est là qu’elle a commencé à passer le bout de son index sur mon corps….

 

« T’es sacrément humide ! T’es mouillée ! »

« Toi aussi, Martine, ça se voit, tu brilles. »

« Mais, toi ? Tu es mouillée ou tu mouilles ? »

 

J’évite de répondre mais elle continue de passer son doigt très délicatement sur mes cuisses, sur mon ventre, entre mes seins, mes épaules…..

 

« Tu aimes ? »

« Tu n’es pas sérieuse, Martine. »

« Je sais. »

 

Alors, sans réfléchir, parce qu’elle me plaît bien, parce qu’il fait chaud, parce que je suis mouillée, elle aussi, parce que je mouille peut-être, parce qu’elle mouille peut-être aussi, je prends sa main, je dépose un baiser au creux de sa paume et ensuite je pose sa main sur ma poitrine. Je la sens surprise pendant une fraction de seconde, mais le jeu de son pouce et de son index sur le bout de mon sein me montre qu’elle n’est pas si désorientée que ça. Elle se met à genoux, m’embrasse, je fais glisser une main entre ses cuisses, elle m’approuve…..

 

« Putain, qu’est-ce qui se passe ? »

 

Je me redresse, Martine me regarde, stupéfaite, la lumière vient de s’allumer dans le local. On entends une voix d’homme. C’est Matthieu, c’est sûr, qui tient par la main une femme dont on n’aperçoit le dos. Il lui dit très doucement de le suivre, ils s’éloignent de la cabine du sauna sans s’être aperçu de notre présence.

 

« J’avais fermé la porte à clé, j’en suis sûre ! »

« Oui mais Matthieu, comme Cédric, ils doivent avoir des pass. »

« C’est qui la dame ? »

« Je crois savoir. Tu as vu son top rouge avec les dauphins ? »

 

Par la porte légèrement entre-baillée, je vois Matthieu prendre la dame aux dauphins dans ses bras et commencer à lui enlever son top. Martine me dit :

 

« Ils sont bien partis pour baiser ! »

« Oui, je ne pense pas qu’ils soient venus ranger les bouées !  Qu’est-ce qu’on fait ? »

« Ben, on ne bouge pas ! »

« Oui, viens ! »

 

Martine a des doigts de fée et une langue de vipère mais si agréable entre mes lèvres. Matthieu est redoutablement efficace avec sa cliente dont chaque gémissement ( pour ne pas dire plus ) nous enchante. Je le fais remarquer doucement à Martine qui me dit seulement :

 

« Oui, je sais, je connais ! »

« Ah ? Tu le connais ? Tu as baisé avec lui ? »

« Oui, l’année dernière et je te le conseille, il est très gentil et c’est un black ! »

« Oui, j’avais remarqué ! »

 

Au bout d’une demi-heure, ils sont repassés devant la cabine….

 

« Je sais qui c’est, dit Martine, c’est Emilie, la réceptionniste, oh la vache, son mari ne va pas être content ! »

« C'est probable ! Mais là on devrait peut-être retourner à la plage. Il va bientôt faire nuit ! »

« Tu as prévu quelquechose, ce soir, Emilie ? »

« Non, pas particulièrement. En général, c'est toi qui a des soirées planifiées et occupées. »

« Non, pas ce soir. Si tu veux, on peut aller se promener... ? »

« A la plage ? »

« Par exemple.... »

« De nuit..... ?»

« Par exemple, c'est très sûr comme endroit ! »

 

On a convenu de se retrouver vers 22h sur la terrasse de l'hôtel toutes les deux..... Je n'avais pas envie de dîner avec eux. J'avais à passer quelques coups de fil en métropole.....

 

Les invitations de Martine ne sont jamais innocentes. On s'est effectivement promenées sur la plage un bon moment et puis on s'est assises un peu en retrait de la mer sur le haut de la butte au pied de la forêt. On s'est assises et on a discuté en regardant les gens passer, plutôt des couples, des couples qui vont aller se faire du bien un peu plus loin...

 

« On va un peu plus loin ? »

« D'accord, on va un peu plus loin »

 

On est allées un peu plus loin, on s'est à nouveau installées dans un endroit à peine à l'écart.... Je me suis allongée, Martine s'est assise à côté de moi....

 

« Le ciel est splendide ce soir ! »

« Toi aussi tu es splendide. Ce matin notre conversation a été interrompue ; Si on la reprenait là où on l'a laissée ? T'en penses quoi ? »

 

Comme je n'en pensais rien et que, qui ne dit mot consent, on a commencé à se caresser, sous les étoiles. J'ai accepté toutes ses caresses, toutes. Elle a accepté toutes les miennes, toutes.... Et je me suis rappelée un poème que Philippe m'avait appris :

 

Dans le silence d'une nuit privatisée,

Juste nos souffles entrelacés dans un baiser

Et mes mains enfiévrées sur ton cul haut perché

Le rideau de la scène de nos ébats volés

Tombera lourdement sur la sombre forêt.

J'ai joui de ses doigts, de sa langue, sans entraves, sans limites, j'en ai honte.

 

 

 

Mardi matin

 

 

Mardi matin, m'étant couchée un peu tard, j'ai mis du temps à me lever. Quand je suis allée prendre mon petit déjeuner, il n'était pas loin de 10 heures et Emilie commençait à faire débarrasser des tables. Je lui ai demandé si elle avait aperçu Roger et Martine, apparemment ils étaient déjà partis. On a discuté un peu juste le temps que mon petit déjeuner arrive. C'est marrant de discuter avec une personne qui, la dernière fois qu'on l'a vue était dans une position assez avantageuse. Mais, ce n'était pas mon problème et encore moins à moi de placer un jugement.

 

Je me suis donc pointée à la plage vers 11 heures et, peu de temps après m’être installée, Conakry est passé me dire bonjour....

 

« Ca tient toujours pour cet aprem, Emilie ? 14 heures ! Précises ! »

« Oui, pas de soucis, c'est toujours bon ! »

 

Je me suis rappelée tout d'un coup que je devais aller avec lui visiter un musée, faire une balade en montagne et peut-être aller dans un restaurant typique si on avait le temps. Le temps, je me disais qu'on en avait. Moi, en tout cas, j'en avais, les enfants ne pleuraient pas à la maison !!

 

Quand j’ai dit à Martine que je passais l’après-midi avec Conakry, elle m’a fait un clin d’oeil qui voulait dire :

 

« Alors, tu vas te laisser emballer ? »

« Tu rigoles ? Non ! »

 

 

Mardi, l’après-midi, le soir, la nuit…..

 

A 14 heure, j’étais prête et Conakry est passé me prendre avec sa superbe limousine ! Je me moque gentiment parce que c’était une vieille 206 un peu rouillée, qui faisait un bruit assez inquiétant mais ça n’avait pas l’air de le préoccuper. C’était la voiture de son oncle qui devait trafiquer je ne sais trop quoi mais Conakry, sachant que j’allais monter dedans avait fait un effort de rangement ! Il a avoué tout de suite que ca n’était pas l’idéal mais que c’est tout ce qu’il avait trouvé pour faire quelques kilomètres… J’ai souri en le lui faisant remarquer :

 

« On est partis, mais tu es sûr qu’on va pouvoir revenir ? »

« On trouvera bien un moyen !! »

 

C’est donc confiants dans l’avenir que nous avons pris la direction de la capitale de l’île. Une petite heure de route. Beau temps, belle chaleur, beau gosse à mon côté. La vie était belle et je ne me plaignait pas. Conakry connaissait beaucoup l’histoire de l’île, l’histoire de l’esclavage et quand on est arrivé au Musée Intercontinental de l’esclavage, j’en connaissais déjà beaucoup sur le sujet. J’en connaissais déjà avant de venir, j’avais déjà visité celui de la Réunion lors d’une visite chez ma cousine il y a quelques années. Mais Conakry m’apparaît alors sous un jour un peu différent. C’est un peu plus que le jeune homme vbien dans sa peau paradant sur la plage….

 

Vers 16 heures, nous prenons la direction du parking d’o`u part le chemin qui méne au point culminant de l’île ;;;; On chausse les chaussures qui vont bien et on y va. Arrivés au sommet, une demi-heure d emarche…

 

« Tu marches pas mal…. »

« Vas-y, tu peux rajouter, pour une vieille ! »

« Arrête, t’es pas vieille, tu cavales comme un lapin ! Tu t’entraînes tous les jours ? »

« Non mais j’ai toujours fait un peu de sport et je marche encore bien ! »

 

On transpire, nos corps brillent. Il s’est mis torse nu et je trouve que ça lui va bien. Il est vraiment bien foutu. Il est est sacrément musclé. Je ne l’avais pas vu sous ce jour là encore…. Mais je ne l’avais pas encore vu beaucoup.

 

Il est presque 18 heures quand on revient à la voiture.

 

« Dans moins d’une heure il va faire nuit. Tu avais parlé d’un restaurant… Tu as réservé ? »

« Non, pas la peine, pour deux, j’y ai toujours de la place... »

« Ah, c’est là que tu emmènes toutes tes copines ? »

« Non, pas toujours. Celles qui en valent la peine, oui. »

« Et j'en vaux la peine ? J'espère que ça ne te fait pas de la peine de m'y emmener.»

« J'aime bien ta façon de jouer sur les mots ! »

 

A 19 heures, on est devant le restaurant. Il y a un peu la queue (Sans jeu de mot) et le restaurant a le bon goût de nous servir un petit punch coco pour nous faire patienter en attendant qu'une table se libère. C'est un restaurant avec des buffets très bien garnis de spécialités locales aussi bien pour les entrées que les viandes, les poissons ou les desserts. Service à volonté. Je demande à Conakry de me prendre en photo avec les couleurs de mon assiette. Voyant cela, le serveur propose de nous prendre en photo tous les deux ensemble. Conakry vient près de moi, très près, il passe même un bras par dessus mon épaule. Je trouve sa proximité plutôt agréable. Un peu surprise de sa démarche, j'ai du rougir un peu, c'est du moins ce qui apparaît sur le photo, à moins que ce ne soit le soleil....

 

J'ai un peu de mal à savoir ce que veut Conakry, finalement. Il semble apprécier notre proximité mais il ne la provoque pas. Quand on était en voiture, sa main était proche de la mienne mais il n'en a jamais profité pour l'effleurer ou s'en emparer. Là, c'est le serveur qui a l'initiative de la photo.... Ce n'est qu'au moment du dessert que je me suis mise à fantasmer et à me dire que je n'aurais rien contre un petit tour entre ses bras.... Mais j'aurais aimé qu'il ait un peu d'initiative !

 

Quand j'y repense, je me dis que j'avais tort de m'inquiéter mais un peu de patience.

 

Je l'ai invité et vers 22 heures 30 on est arrivé devant mon hôtel... Instant délicat, fatidique quand c'est une première fois.… Un retour plutôt silencieux, agrémenté de banalités comme si aucun de nous deux ne voulait prendre le risque de casser le charme, comme si on attendait que l’autre prenne des initiatives parce que je ne suis pas sûre de ce dont il a envie, parce qu’il n’est pas sûr de ce dont j’ai envie….

 

Il arrête le moteur…..

 

« Tu sais, Conakry, je suis très heureuse que tu m’aies invitée à venir avec toi cet après-midi. J’ai appris plein de choses …. »

« Moi aussi, j’ai trouvé ça très sympa, ça me change….. »

« Tu sais, si d’ici la fin de la semaine tu as d’autres idées de balades, je suis preneuse…. »

« Ah oui ? Ca me fait plaisir que tu me dises ça, je vais y réfléchir, on peut peut-être se revoir avant la fin de la semaine…. ? »

« Sûrement, tu sais moi, je suis très libre, c’est plutôt toi qui me paraît bien occupé. Aider tes parents….. Les amis…. Les copains….. Les copines….. Mais si demain tu es libre

…… Mais pas avant 16 heures…. »

« Ah bon ? Pourquoi pas avant 16 heures ? »

« Parce que, avant 16 heures, je fais ma sieste….. »

« Ah bon ? Toi ? Faire la sieste ? Je croyais ça réservé aux petits bébés. »

« Mais il y a tellement de façons de faire la sieste !  Au fait, là, il faut que tu rentres chez toi, non ? »

« Que je rentre chez moi, maintenant ? Tu as vu ça où ?»

« J'ai eu l'impression que c'est ce que tu avais dit, tu dois aider tes parents demain, et puis, je ne voudrais pas que tu t'ennuiesavec moi ! »

« T'as rêvé ou tu le fais exprès. Pas du tout. Si toi, tu ne t'ennuies pas avec moi et si personne ne t'attend à l'hôtel, on peut peut-être aller se promener sur la plage. Tu serais d'accord ? »

« Je crois, je suis même sûre que personne ne m'attend à l'hôtel ! Et si quelqu'un m'y attend il va pouvoir attendre longtemps.... J'espère. »

« Alors, j’approche la voiture de la plage, d’accord ? On va se garer là-bas, de toutes façons, je te ramène après. »

 

C'est comme ça qu'il a fait redémarrer la voiture et qu'on est allé se garer là où il se gare habituellement quand il va se baigner, sauf que là, il faisait nuit noire, ou presque. Ce qui n’empêche pas de se baigner ni de faire plein de choses. Quelques étoiles, la lune n'était pas encore levée. Il prend une natte et une serviette. Prévoyant le petit. Non, il n'est pas petit, il est même sacrément baraqué ! On traverse le sous-bois qui nous sépare de la plage. Conakry a allumé son portable, il m'a pris par la main jusqu'au bord de mer.... Arrivés, sur la plage, ma main, il ne me la lâche pas ….

 

« Faut pas qu’on se perde ! »

« C’est sûr ! »

 

Se perdre sur une étroite bande de sable….. J’aime le contact de sa main dans la mienne ou plutôt le contact de ma main dans la sienne !

 

Alors, je sais, tu vas me dire….. T’es gonflée de partir de nuit comme ça avec un mec que tu ne connais pas ou à peine… Tu prends des sacrés risques…. Tu peux te faire agresser….. Je t’entends d’ici !

 

Ben, tu sais, je suis séparée depuis plusieurs mois donc je suis libre ! Tu sais ce que ça veut dire ? Libre ? Si tu ne comprends pas je peux te le dire avec quelques mots crus et sans ambiguïté :).

Donc je vais avec qui je veux quand je veux ! Et là, ce soir là, ça tombe bien, je suis avec celui avec qui j’ai envie d’être et s’il prend ma main pour m’attirer doucement vers lui, c’est exactement ce dont j’ai envie et s’il m’embrasse en me serrant dans ses bras puis me caresse le cou, le dos, le bas du dos et le très bas du dos…. Je fais pareil et je suppose qu’il ressent la même chose que moi…. On repart doucement, il fait vraiment sombre les étoiles illuminent progressivement le ciel… J'ai envie qu'il me reprenne dans ses bras. Je n'ai pas besoin de lui demander. J'essaie de ne rien montrer quand il commence à me caresser les seins....

 

« Je peux ? » me demande-t-il...

«P'tit con ! » lui réponds-je avec un sourire qui lui fait comprendre que non seulement il peut mais qu'il doit !« T'as pas envie ? »

«  Et toi ? T'as pas envie ? »

« Si j'ai envie de te sentir au fond de moi, j'ai envie que tu me bai...»

« Moi aussi j'ai envie de te baiser !Depuis le premier jour où je t'ai vue !! »

« Chut ! Dis pas ça ! Viens !»

 

C'est moi qui lui dit de venir mais c'est lui qui m'entraîne vers le sous-bois, et me prend dans ses bras ? Ses caresses se font très précises, les miennes aussi et bientôt je me retrouve en train de caresser son sexe par dessus le boxer que je ne tarde pas à faire descendre au niveau des genoux tandis qu'il m'enlève ma petite robe sans aucune difficulté.….

 

Je caresse enfin son sexe . Ouahh! ....Enfin. Promesse de plaisir, je vais m'en occuper, tout de suite!. Je baisse complètement son boxer mais sa queue si raide ne me facilite pas la tâche! Je le baisse juste ce qu'il faut pour pouvoir prendre les choses en main. Il ferme les yeux en sentant mes doigts sur sa queue pour la première fois. C'est ça?

 

Bientôt je me retrouve en train de sucer son bel engin tandis que je respire par le nez le parfum des embruns mêlés aux senteurs de la forêt de filaos. Les yeux fermés je repense à la première queue que j’ai sucée, je repense à toutes les autres que j’ai léchées, que j’ai branlées, que j’ai parcourues de mes doigts sensibles….. mais Conakry est jeune et fougueux…..

 

« Putain que c’est bon ! Tu sais y faire, salope ! » 

 

J’arrête de le pomper….

 

« Et toi, tu es beau. Je ne pensais pas que tu puisses t’intéresser à moi ! J’ai envie que tu me prennes là !»

« Quelle impatience ! »

« Oui….. »

 

Ilpose alors sa bouche sur mes lèvres, sur ma chatte. Illes écarte doucement du bout de salangue, ouahh!, putain que c'est bon, encore un meilleur moment, il n'y a plus que ça, des meilleurs moments. Ilremonte doucement, lentement jusqu'à s’attarder enfin à l'endroit de tous les plaisirs. Ilporte d'abord des petits coups avec l'extrémité de salangue puis, encouragé par mes soupirs et par mes gros mots, excuse-moi, mais je n'en peux plus de me retenir, c'est safaute! Ilme dévore la chatte encore plus complètement. Je me cambre, je lève les jambes. Et puis j' appuie satête sur ma chatte où il sedésaltère.

 

« Mais arrête ! je vais jouir ! »

 

Je me rebelle, je me redresse, je saisis son manche à pleine main et je le pompe à nouveau à fond, il me résiste, il me sort son engin de la bouche…. Et puis, il me couche sur la natte….. Il est au dessus de moi, il ne peut pas voir les gens qui passent à quelques mètres sur la plage…. Je lui fais remarquer …..

 

« On n’est pas très discret ! »

« Pas grave ! T’inquiètes. Ils vont dans quel sens ? »

« Là, c’était de gauche à droite... »

« De gauche à droite, ils ont déjà baisé, de droite à gauche ils vont baiser…. »

« Cool,….. le préservatif, tu te débrouilles ? Je te l’enfile ?»

« Oui, tu me l’enfiles et je t’enfile après ! »

 

Alors je prends le temps qu’il faut pour dérouler le préservatif sur sa hampe si raide, solide et prometteuse. Pourtant je n’ai qu’une hâte : La sentir au fond de moi !

 

Avant de m’enfiler, comme je le luidemande, ilprend encore le temps de faire glisser son sexe sur ma fente trempée, afin que jesente ce membre si dur, ce membre que je ne vaispas tarder à recevoir en.

 

« Elle te plaît ma bite ? »

« Faudrait être folle pour ne pas en vouloir…. »

« Il n’y a pas de folle sur cette ile. »

« Elles la veulent toutes, hein ? »

 

Je n’obtiens pas de réponse mais doucement il faitglisser sa bite de haut en bas, s'attardant sur mon clitoris….. Ilne pénètre que l'entrée de mon sexe, avec seulement l'extrémité de son gland, avant de remonter vers mon clitoris, et cette caresse memet en transe.

 

« Ce soir, c’est moi qui la veux, putain, baise-moi….. maintenant ! »

 

Il devait attendre cet encouragement, cette invitation, cet ordre car il soulève et écarte délicatement mes jambes….. et laisse enfin son sexe entrer en moi, je n’ai pas besoin de guider son sabre au fond, il m’enfile, m’enfile, m’enfile encore….. soupirs que nous poussons à l'unisson….. Jeferme les yeux et luidemande :

 

« Oh oui…. C’est bon, plus profond, oui plus profond….. »

« Vos désirs sont des ordres Madame…. »

 

Je pose mes jambes sur ses épaules, et son sexe me pénètre encore plus avant. Il commence un va-et-vient des plus sensuels, jusqu'à sentir mon humidité couler sur sa bite, qui me prend encore et encore. …… Il se laisse tomber sur moi…. J’aime sa peau lisse, de presque bébé…. La lune commence à se lever, j’écarte encore plus les cuisses, par réflexe, il m’enfile, m’enfile, m’enfile encore, … son sabre vigoureux qui plonge dans mon ventre trempé et bientôt on entend plus que le bruit de ses cuisses claquant contre les miennes, accompagnant les floc-floc et les gargouillis de mon ventre. Il me pine un long moment…. Je lui sers un échantillon de mon vocabulaire spécial ‘encouragement à la baiser !’ dont je te fais grâce ici. Il me fourre un doigt dans le cul ! J’adore ! Puis deux, j’adore encore plus !

 

« Prends-moi par derrière, tu veux ? »

« Oui bien sûr ! Tu veux que je t’encule ? Sinon….. »

« Non, pas maintenant, pas dans le sable, une autre fois….. »

« Dans ta chambre ? »

« Oui dans ma chambre…. »

 

Comme si je prenais déjà rendez-vous….. alors qu’il était en train de m’éclater !

 

« Tu veux jouir dans ma bouche ? »

« Oh oui, quand le moment sera venu….. »

 

J’ai joui comme une bête, sans retenue, sans m’occuper des gens qui passaient et Conakry qui continuait à me piner grave tentant avec succès de me faire encore jouir jusqu’à ce que, à force de lui malaxer les couilles, il sorte de moi pour enlever la capote et filer sa queue dans ma bouche.

 

Tu te rappelles le dernier type de vingt ans que tu as sucé jusqu’au bout ? Moi je ne m’en rappelais pas…. Jusqu’à Conakry. J’ai réussi à ne pas avaler, ça a un peu débordé mais je ne lui en ai pas voulu ! Il s’est couché à côté de moi. J’ai pris son sexe dans sa main, je l’ai caressé et je me suis mise à plat ventre sur lui et je me suis empalée sans plastique sur sa queue toute chaude, j’étais bien. J’ai vu passer des gens alors je lui ai dit :

 

« Tiens ceux-là viennent de baiser ! »

« Nous aussi ! »

 

Il a ri, moi aussi. Je suis restée un bon moment comme ça, il ne débandait pas ou peu ! Et puis, il était à peu près minuit quand il m’a proposé :

 

« Tu viens ? On y va ? »

 

On s’est rhabillé vite fait et pensais qu’on allait aller à droite, rentrer à l’hôtel prendre la direction que prenaient ceux qui avaient déjà baisé, mais non, on est parti à gauche…. On n’était pas les seuls sur cette plage à minuit…

 

Un couple qui était allongé sur le sable s’est brusquement relevé à notre passage pour nous dire :

 

« Il est minuit, c’est l’heure ! »

 

Et puis ils se sont mis à poil et, à la lumière de la pleine lune, la nana a commencé à sucer son mec.

 

« On devrait faire pareil. »

« Tu veux que je te suce ? »

« Plus tard, sûrement ! »

 

On s’est mis nus. On a continué à marcher. Sans que ce soit la grande foule, il y avait de plus en plus de couples. Une femme, à peine plus jeune que moi, s’est approchée….

 

« Hé, mon grand, si tu en veux deux pour le prix d’une…. Mon amant est HS ! »

 

Conakry a décliné poliment… et m’a dit :

 

« Si elle avait été aussi bandante que toi, j’aurais accepté ! »

 

On a continué à marcher. On a vu un couple dans l’eau, enfin, avec de l’eau jusqu’au ventre, nu, et, à la manière dont la fille, elle paraissait très jeune, s’accrochait au cou de son partenaire, il n’était pas difficile de savoir ce qui se tramait sous l’eau….

 

On a continué à marcher.

 

Un couple…. L’homme, très jeune, a pris sa partenaire, un peu plus âgée dans ses bras, elle se laissait embrasser et caresser partout tandis qu’elle branlait doucement son sexe. Il bandait déjà tellement que c’était sûr, il allait la lui mettre profond et la faire jouir. Il l’a couchée là, sur le sable, à la limite de l’eau…. Elle riait, lui disait que le sable dans les cheveux, elle aimait pas trop, mais ce soir elle adorait...lui aussi riait tout en lui bouffant la chatte et puis il la lui a mise bien profond,il l’a pinée sans faiblir et elle a joui comme si c’était la dernière fois qu’elle baisait et qu’elle devait faire le plein de jouissance. Des couples passaient sans faire de remarques …….

 

Ce couple c’était nous.

 

On est rentrés à l’hôtel. Il était 1h30 quand je me suis couchée, exténuée, pas seulement par la marche….. Conakry avait promis de me recontacter le lendemain, mercredi.

 

 

Mercredi matin……

 

.............................

 

A suivre

 

 

 

 

 

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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