Vendredi 15 février 5 15 /02 /Fév 11:14

 

Genève…………….janvier 2013 , 21h45

 

Nous allions au Casino ce soir là, nous avions une belle soirée de planifiée. C’est ce que je pensais alors !

Nous avons rendez-vous dans un bar avec un autre couple d’amis pour s’amuser un peu ! Je m’étais habillée sexy pour l’occasion. De joils et nouveaux talons hauts, un joli décolleté, une jupe très courte et pas de string... seulement des bas Titop ! À la demande habituelle de mon mari ! J’avais un maquillage très intense et mes cheveux blonds tombaient jusqu’à ma poitrine. Bref, ça lui plaisait comme ce soir, que je sorte ainsi pour son ego de macho..!!

J’avais tout à fait l’air d’une Pute. Il aimait bien d’ailleurs que j’y ressemble, cela le mettait en émoi de male en bande ! 

Nous venions d’arriver à la porte du Stradivarius, quand je me rendis compte que nous avions laissé nos papiers et portefeuille dans la voiture. Mon mari resta à la porte pour attendre nos amis et j’y retournai seule à la voiture qui était stationnée plutôt loin, dans un no mans’land de ruelle de la vieille ville. Je revenais de la voiture par l’autre côté de la rue. Les rues étaient désertes. Mais il y avait quelqu’un plus loin, au bord d’une ruelle sombre. Il portait un manteau avec un capuchon qui cachait son visage. J’hésitais un peu à changer de côté de la rue...mais bon, après tout, nous n’étions qu’à Genève...Arrivée à hauteur de l’inconnu, celui-ci se déplaça devant moi pour me barrer le chemin. Non, mais c’est une blague ou quoi !

J’essayai de le contourner, mais il m’empoigna. Son étreinte était forte, j’avais beau essayé de me dégager, il n’y avait rien à faire. Exactement au moment où je pensai à crier, il plaqua son autre main sur ma bouche et me tira dans une courette très sombre. 

Il riait et disait qu’il venait de se trouver une belle petite pute pour s’amuser...et gratuite de plus ! 

Il me plaqua contre un mur dans un coin encore plus sombre. Me colla un ruban sur la bouche et saisi mes mains qu’il lia et attacha après un tuyau de descente pluviale, au dessus de ma tête. Je tremblais de peur. De ses mains, il examina la marchandise. Il descendit sur ma poitrine, puis sur mon ventre et souleva ma jupe pour caresser mes fesses. Je sentais son membre déjà très dur dans son pantalon. Il se dirigea sous ma jupe...merde me dis-je Corinne mais pourquoi je ne portais pas de culotte...il passa ses doigts sur ma chatte qui était...déjà toute mouillée ?!?!



Mais comment cela pouvait-il être possible ? J’étais au bord des larmes, sous l’emprise de cet homme et j’étais excitée ? Non c'était impossible ! 
Il l’avait remarqué aussi...et ça semblait l’amuser... : - Alors madame aime ça être prise de force comme une vraie petite pute ? Je fis non de la tête. Les yeux remplis de larmes. J’avais peur...peur de ce qu’il allait faire...peur pour ma vie... peur pour mon corps...et pourtant, j’étais toute lubrifiée et désireuse malgré moi !

La situation était terrifiante, mais il avait quand même belle apparence. Peut-être était-ce pour cela que mon corps était excité, même si mon cerveau savait très bien que le moment était mal choisi. Heureusement, il mit tout de même un préservatif. J’étais soulagée, mais toujours apeurée en cette situation. 

Il releva mes jambes et enfonça rapidement son membre bien dur dans ma chatte, déjà toute mouillée malgré ma honte. Il y allait fortement. Il me traitait de jolie pute. Ses mains pétrissais mes seins avec forces et déterminations mes tétons étaient devenus durs et affolés par ce massage violent.Je ne pouvais rien faire d’autres que d’attendre.

L’idée d’y prendre du plaisir me rebutait. Pourtant, lorsque je ne pensais pas à la situation, j’appréciais ses mouvements brusques, mais ma conscience reprenait vite le dessus.Je pleurais toujours silencieusement. Rongée par la honte de prendre mon pied, alors que je me faisais violer, là au beau milieu de ma ville ! 

Il enleva son manteau et le jeta par terre. Il coupa ensuite la corde qui retenait mes mains au dessus de ma tête et me jeta au sol aussi, sur son manteau. Il me renversa sur le dos. Lorsqu’il s’approcha pour me prendre en missionnaire, je réussi à le frapper avec mes mains liées. Il me gifla et d’une seule main, il prit les miennes et les plaça au dessus de ma tête. Il me dit qu’il valait beaucoup mieux que je reste tranquille comme une gentille petite chienne. Son autre main serra ma gorge alors qu’il enfonça de nouveau sa queue entre mes jambes toutes ruisselantes de cyprine.  Je n’osais plus bouger. Il était fort et me déplaçait comme il le voulait. Il me plaça ensuite à quatre pattes et me pris en doggy style. Encore une fois, il ne se gênait pas pour me prendre fortement. Peu soucieux de savoir s’il me faisait mal ou non. Il disait qu’il était sûr que j’aimais ça, comme une vraie petite salope. 

Au moins son manteau était épais et ce n’étais pas trop inconfortable. Il prit son cellulaire et envoya un texto à quelqu’un.


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Je me demandais ce qu’il faisait. J’espérais qu’il n’invitait personne d’autre à venir profiter de moi. J’étais tellement vulnérable en ce moment. Il continuait à me marteler. J’aperçu alors quelqu’un au bout de la ruelle. Quelqu’un qui semblait me chercher... 

C’était mon mari ! 

Je le vis s’avancer d’un bon pas vers moi. Il venait de réaliser ce qu’il se passait. J’étais sauvée ! J’espérais qu’il allait frappé mon agresseur, qu’il me défende comme un sauveur justicier. Mais il ne le fit pas… même qu’il se posta à côté de mon violeur et qu’il me  regarda en souriant. Il avait l’air de se connaître. Une bosse apparue dans son pantalon. Il s’assit à bonne hauteur près du mur et le violeur me souleva du sol et me plaça face à mon homme. Mon mari se débraguettas d'un mouvement très vif.. le sexe a l'air près au combat. La queue dure de mon mari s’enfonça dans mon vagin douloureux, alors que le violeur cracha sur mes fesses et poussa sur mon œillet pour enfoncer la sienne dans mon cul. J’étais toujours bâillonnée. Je bouillonnais de rage alors que les deux hommes me pénétraient.

Comment avait-il pu me faire ça ! Mes bras m'en tombaient !

 Mon mari arracha le ruban de sur mes lèvres, me prit par mes cheveux et avec force enfonça ma bouche sur sa queue avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, pendant que le violeur me prenait toujours par derrière tout en frottant mon clitoris avec ses doigts agiles et lubrifiés. Je levai mes yeux remplis de larmes vers mon mari. Mon maquillage avait coulé, je devais être affreuse. Mon regard suppliant le fit éjaculer rapidement et le violeur éjacula aussi dans mon joli fesssier de violée. 



Tout ça, c’était son idée. Il avait tout planifié. D’aller stationner dans cette petite rue, précise...D’oublier ses papiers dans la voiture...De me laisser aller s chercher toute seule...À ce moment, Denis devait m’intercepter et m’emmener dans la ruelle...Il pouvait faire ce qu’il voulait de moi...Il devait texteo à mon mari, quand le moment de le rejoindre viendrait...

Et ils finiraient tous les deux le soi disant viol...!!! 



Je mis quelque temps à lui pardonner, mais chaque fois que j’y repense, je mouille abondamment...Alors je crois que mon mari savait très bien ce qu’il faisait…! 


_________________________________________

 

 

J'aime bien GIGI 

Il a fourni le texte, que je vous livre tel que,  et la photo, qui n'est pas moi.... qui est quand même assez ressemblante

Corinne

Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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