lesrevesdecorinne

Elle......

Je connais  le violoncelle. Je ne sais pourquoi c'est un instrument qu'aiment beaucoup les femmes. Et puis justement , je pratique plutôt bien....... Mon ami Jean-Yves aime bien me voir jouer de cet instrument bien serré entre mes cuisses . Il aime bien me regarder et dans les yeux, je vois quelquefois qu'il aimerait bien me voir nue interpréter un œuvre quelconque. Ce soir il me fait des câlins et me dit qu'il a envie de moi. Alors, pour lui prouver que je ne suis pas en reste, je me mets en petite tenue très sexy : les seins nus et un string de très petite taille, pour qu'il devine mon sexe au bord du vêtement. Je viens très près de lui qui fait semblant de ne pas me voir et je viens poser un sein sur sa bouche. Il ne peux pas l'ignorer. Il embrasse alors ce sein et me suce délicatement les tétons. Bien sur, je commence à sentir l'effet que ce la fait sur Jean-Yves; surtout quand je pars à la recherche de son sexe que je commence à masser à travers son pantalon. Moi aussi j'ai envie de lui, c'est là qu'il me prend dans ses bras et me pose sur la chaise à coté du violoncelle. Je me demande bien pourquoi au lieu de me caresser, il m'a mise juste à coté de l'instrument. Il me demande de jouer. C'est bien pour lui faire plaisir.
Alors j' écarte les jambes et installe l'instrument au milieu. Je prend l'archet et le pose sur les cordes.
Le problème, c'est qu'excitée comme je suis, je fais fausses notes sur fausses notes. En plus, Jean-Yves se met en face de moi, se déshabille et commence à toucher sa bite bandée comme s'il allait se branler. Après tout ce ne serait pas la première fois qu'il se masturberait devant moi, et puis je ne me gène pas pour en faire autant, surtout le matin au petit déjeuner…

Lui.......

Cette fois je m'imagine qu'elle fait l'amour à son instrument. Je lui dis qu'elle ne fait pas de musique, mais qu'elle baise. Elle pose l'archet et passe une main entre le violoncelle et sa main va simplement soulager son désir de jouissance. Je ne vois bouger que le haut de son bras. Elle se branle de plus en plus rapidement et pousse son gémissement habituel au moment de son orgasme. Je n'ai pas vu sa main sur le clito. Je lui enlève d'entre ses jambes et je prends la place libre : je me mets à genoux et cherche son bouton avec la langue, en écartant son string. L'effet est relativement rapide pour un autre orgasme. Cette fois si je la prends dans mes bras, c'est pour aller sur le lit. C'est quand même mieux pour jouir. Corinne m'embrasse dans le cou pendant le cour voyage. Enfin je la couche et lui enlève son string, qui sent une bonne odeur de sexe. Nous nous caressons sans cesse: ma bite est sur le point d'éclater. Je me réserve encore, je lui embrasse les seins comme elle aime et je descends une main vers son pubis. Je ne m'y attarde pas longtemps.
Je suis dans sa fente et je passe la main sur tous ses points sensibles sauf le clitoris. Je masse d'abord le cul ensuite les lèvres en enfin son point G dans son vagin. Elle jouit encore plusieurs fois. Elle m'a prit la queue dans sa main droite et me branle très lentement, comme je lui ai appris à le faire.

Elle....

Il se retourne et pose encore sa langue sur mon bouton, putain que c'est bon! Il le lèche d'abord lentement sans trop appuyer et enfin fait aller sa langue plus rapidement. Je voudrais le prendre dans ma bouche. Mais il refuse pour le moment, pourtant je sais bien faire les pompiers avec ma langue fureteuse et deux doigts ans son cul : c'est toujours un régal, parait-il, avec moi.
Je ne veux pour le moment qu'une seule chose: être baisée et qu'il me fasse subir d'autres outrages. Il passe sur moi, j'ouvre mes jambes pour lui offrir la vue totale de mon con bien luisant de cyprine. Il me fourre sa queue dans ma chatte: je pose alors mes jambes sur ses hanches pour l'accompagner dans ses vas-et-viens. Il se retiens pour ne pas jouir, alors que moi, je ne me gêne pas pour le faire plusieurs fois, comme toujours. A un moment je sens une crispation plus forte de mon sexe qui le serre. Ca y est, je le sens jouir, je sens ses décharges qu'il ne contrôle plus......
Lui.....

Je ne sais pourquoi, je ne débande pas tout à fait quand je sors d'elle. Corinne me prend dans sa bouche, me nettoie totalement la queue et viens m'embrasser avec nos deux goûts de sexe sur sa langue. Cette fellation me fait bander encore plus. Elle ne me veut pas encore : elle sort de sa table de chevet le godemiché que je lui ai offert il y a un an et qu'elle utilise souvent pour se branler quand je suis absent. Elle se tourne pour bien me montrer son con et le gode quand elle se le met au con. Elle l'agite tant et si bien qu'elle jouit.
Enfin je peu lui mettre la main dessus et l'installe en levrette. Elle sait très bien ce qui va lui arriver. Aussi elle se mouille l'anus et ouvre bien ses fesses. Je vais lui rentrer dans le cul quand je sens sur le mien le godemiché très humide: Corinne attend simplement que je sois à fond en elle pour le rentrer lentement dans mon cul. C'est bien la première fois qu'elle m'encule. Je détends totalement mon sphincter et elle aussi me le met à fond. Au début c'est très désagréable mais ensuite ce n'est pas mauvais. C'est même très bon quand je la sens jouir. Elle me dit que si je l'encule, elle peut bien m'en faire autant. Quand je jouis mon orgasme est très au dessus des autres. Je sais qu'à partir de maintenant elle m'enculera souvent. Je me retire pendant qu'elle sort le gode de mes intestins.
A présent, elle pousse son délire de fille en chaleur jusqu'à vouloir que je la baise et lui mette le gode dans son cul: elle veut essayer la double pénétration, puisqu'une amie lui a dit que c'était excellent…

Elle.....

Je le fais bander en le prenant dans ma bouche, lui caressant les couilles et frôlant son cul. Quand il bande, je le mets sur le dos, l'enjambe, me met le con sur sa bite et quand je suis entièrement empalée, me penche vers lui et lui donne le gode pour m'enculer.
  Je gémis sans arrêt, prise à la fois par devant et par derrière et j'obtiens à la fois les deux sensations différentes. Je sens à travers ses parois le gode qui me caresse la bite. J'agite en elle cette fausse queue qui me donnent tant de plaisir. J'éclate plusieurs fois.
Ce n'est qu'au moment de ma dernière jouissance que je lui demande d'arrêter tellement je suis comblée.
Toujours nue, je me lève et retourne jouer de mon violoncelle. Je l'appelle pour me voir, avec toujours l'engin entre les jambes écartées et d'un air coquin, je lui demande si il veut encore me prendre.

Non, ce sera pour demain !!!

Jean-Yves