Jeudi 2 janvier 4 02 /01 /Jan 12:34

 

Totalement allumée, j’oubliais tout maintenant, et je prenais goût 
à être aux genoux du bel Olivier. Je lui fis un petit sourire en le
regardant dans les yeux et en donnant 2 ou 3 bisous sur son mem-
bre, et me suis remise à le sucer doucement. À mon âge!!! j’étais
en train de sucer un jeune de 22 ans. - Je ne savais pas que tu suçais aussi bien que tu peux être ban-
dante. - Tu aimes ? J’espère juste que tu vas tenir ta promesse de garder
le secret. - Je te le promets, Corinne. Je ne te ferai jamais de problèmes
avec ça. Pendant toute la fellation, j’ai regardé ce beau jeune mâle dans les
yeux. Le voir soupirer, fermer les yeux, l’entendre pousser ses petits
gémissements m’excitait terriblement et je me sentais de plus en
lus humide dans ma jupe. Je suis restée à genoux devant lui com-
me ça au moins 10 ou 12 minutes jusqu’à ce qu’il retire son mem-
bre que, pourtant, je voulais continuer à déguster. Sans me dire un mot, il m’a remise debout et virilement, m’a sou-
levée dans les airs un peu de la même façon qu’un lutteur soulève
son adversaire du sol pour le projeter par terre. Je me suis retrouvée
la tête à l’envers devant son membre et j’ai senti son doigt écarter
mon string, sa langue entrer en contact avec mon clitoris. Un 69 debout, c’était le premier avec qui j’ai pratiqué une telle posi-
tion. Olivier me léchait, je le suçais. Bon Dieu que c’était bon. Olivier savait très bien par où il faut passer la langue pour que ça
plaise autant à une femme. J’en ai déduit que malgré son jeune âge,
il avait une certaine expérience. À chaque léchée sur la longueur de
ma fente, je poussais des gémissements, je grimaçais de plaisir. Il
savait quoi faire. Il me tenait fermement contre lui et moi, je n’avais que sa
cuisse gauche pour me retenir, mon autre main étant occupée à gouverner
sa belle et puissante queue. Ce mémorable 69 debout à pu durer, quoi, 5 à 7 minutes ? Il a même
marché pendant le 69 pour aller fermer mieux la porte de la chambre.
Tout au long de sa marche, aller à la porte et son retour près du lit, i lui ni moi
n’avions interrompu le contact avec le sexe de l’autre. J’étais tellement con
centrée sur son splendide membre et sur le plaisir qu’il me procurait avec sa
langue que la dernière chose que vous pensez quand vous éprouvez de tels
plaisirs, c’est l’âge de la personne qui vous les procure.

Olivier m’a ensuite prise, il m’a manipulée d’une telle façon que je
n’ai même pas touché le sol et je me suis retrouvée à 4 pattes sur le
matelas de mon lit.
Il voulait me prendre par derrière. J’ai réalisé alors que je n’avais même pas pris soin jusqu'à présent
de l’obliger à porter un préservatif. Je sais que c’est spécial, mais
j’étais tellement ébahie par cette envie de sexe que j’éprouvais pour
lui que je n’ai même pas pensé une minute à la protection. Ca m'est revenu
à l'instant: - Tout ce que tu veux Olivier mais avec un préservatif. Tu y as pensé? - Oui, ma chérie, j'ai ce qu'il nous faut. - Donnes et laisses moi faire. - Ca fait longtemps mais je devrais y arriver, répondis-je en éclatant
de rire. Olivier s'est allongé sur le lit, les mains derrière la tête, je lui ai écarté
les cuisses pour me mettre à genoux et le sucer encore un peu.
Puis j'ai posé le préservatif sur le bout de son gland, mes lèvres posées
dessus, j'ai avalé son sexe tout en déroulant la protection autour de
son sexe. - C'est la première fois qu'on me la met comme ça! Je me suis remise à genoux face au miroir qui est à la tête de mon
lit. Il m'a pénétrée brutalement. Mais c'était plus de la faim que de
la brutalité.Je pouvais donc voir Olivier, le contempler en train de
me monter. Je le trouvais tellement beau mâle. Mon regard n’arrivait pas à se
détacher de ses yeux. Je l’ai regardé et il m’a regardé dans les yeux grâce
au miroir pendant toute la pénétration. Pendant qu’il me pénétrait, j’éprouvais
de telles sensations que je ressentais comme un agréable courant électrique
en moi, sans doute provoqué par l’intensité de mon excitation. J’étais à quatre pattes sur mon lit, Olivier à genoux dernière moi, face
au miroir, et je voyais une vraie femelle en train de se faire travailler
par un jeune de 22 ans et en prime, je pouvais admirer mon jeune
loup en train de me défoncer. Il a commencé lentement mais plus ça
allait, plus il prenait de la vigueur. Ses déhanchements devenaient
de plus en plus virils. Moi j’étais en admiration devant lui, voyant
dans le miroir son beau visage et son beau jeune corps bien bâti,
ses belles épaules surplombant mon corps. Olivier a alors empoigné mes cheveux. Il ne me faisait pas mal, il
était juste ferme. Comme s’il avait voulu me faire savoir que cette
fois, c’était à lui que j’appartenais et il n’avait sans doute pas tort
parce que je me suis sentie soumise à lui du début à la fin de notre
aventure. En plus d’empoigner mes cheveux, Olivier descendait parfois son
corps sur le mien, collant son sternum contre mon dos. Il me tapotait
les seins tout en alternant des mordillements et des léchées sur mon
dos, ma nuque, les côtés de mon cou, mes épaules, mes lobes d’oreilles
. Il me dominait. Il se redressait quelques minutes, puis il se penchait ensuite
à nouveau pour exercer son pouvoir de domination sur moi. À l’occasion il me
chuchotait quelque chose à l’oreille, ses mots étaient parfois doux,
parfois cochons, mais ceux qui m’excitaient le plus, c’étaient ceux là. - Coco que t’as un beau p’tit cul sexy, Corinne. T’es bandante à l’os. Ses mots m’excitaient d’autant plus qu’en même temps j’entendais
le bruit du contact viril de son sternum qui cognait contre mes fesses.

Je l’implorais de ne pas arrêter, j’étais sur trois pattes, lui tenant la
cuisse d’une main pour le retenir contre moi. Je n’avais jamais rien
connu de pareil et j’aimais cette sensation de me sentir dominée par
un homme, par Olivier, surtout. Je me suis faite dominer comme ça pendant 10 à 12 minutes, quand
soudain j’ai senti sa queue sortir de mon vagin. Quelques secondes
plus tard, j’ai senti son membre faire pression sur mon anus. Olivier
cherchait à m’enculer. Comme je ne m’étais jamais fait sodomiser par quelqu'un d'autre que
Philippe, je l’ai refusé à Olivier. Mais il continuait quand même. Et
moi, je lui résistais. Alors, il a posé sa main sur ma nuque en serrant,
et comme j’essayais de lui échapper, de sortir du lit toujours à quatre
pattes, il a passé sa jambe droite devant ma cuisse droite, rendant
impossible toute tentative de ramper sur le matelas pour lui échapper.
Olivier était trop fort. Dans cette position, avec cette prise sur ma
nuque, il avait autorité sur moi. Je ne pouvais plus rien faire, en tout
cas je n'avais pas envie d'en faire plus pour lui échapper et je sentais
que son membre gagnait dans mon anus mais jusque là, je ne ressen-
tais pas de douleur.
- Qu’est-ce que tu fais, Olivier ? - J’essaie de t’enculer. - Non, ça je ne veux pas. Tu as eu ce que tu voulais, arrête maintenant
s’il te plaît - Laisse-moi faire, Corinne, ça ne te fera pas mal et tu vas aimer ça. Je lui résistais toujours. J’avais beau essayer de me coucher sur le côté
gauche ou droit, il me ramenait à quatre pattes, il était trop fort pour moi. Je ne pouvais pas m’allonger sur le ventre sur le lit, sa jambe m’en empêchait. - Bouge pas Corinne, bouge pas, me dit-il avec un bisou sur le dos. - Olivier, pas comme ça, va à la salle de bain - Pour quoi faire? - Placard de gauche, tu trouveras bien quelque chose. Pas à sec! - OK, tu bouges pas, hein? Peu de temps après, il revenait l'air triomphant avec mon tube de
Nivea pour les mains . - Ca ira ce truc là? - Ce truc là, c'est pour les mains, mais, tu vois, pas seulement. Tu
m'en mets? Je lui montrais alors volontiers mon p'tit cul sexy et il n'y alla pas
de main morte pour me crémer comme il fallait. Il n'oubliait pas de
rentrer son doigt pour bien faire pénétrer la crème. J'adore ça, ça
me fait rire. Alors il se remit à la tâche. J'étais beaucoup plus détendue mais quand
même , je le sentais qui devait forcer. Mais je n'avais mal que parce
qu'il m'écartais , mais en douceur. Son gland entier était déjà entré
dans mon anus. Au moins, il me demandait si je n’avais pas mal, ce
qui me rassurait car il semblait vouloir prendre soin de moi.
- Ça va, ma belle ? - Ça s’endure...... vas-y...... lentement .....s’il te plaît. - Tu t’es jamais fait enculer ? - Si...... tu vas être ......le deuxième homme..... faut croire. Nous étions devant un miroir, alors il pouvait voir s’il me faisait gri-
macer de douleur ou non. Je sentais qu’il entrait de plus en plus loin.
Il me serrait la nuque d’une main et me rassurait de l’autre en me ca-
ressant les cheveux, les joues, le dos. Il savait que je lui étais soumise,
que je ne tentais plus de lui résister. Olivier est peut-être très jeune
mais il sait comment baiser une femme. Pendant qu’il me pénétrait,
on parlait. Lorsqu’il me faisait mal, je lui tapotais la cuisse droite
avec ma main et il faisait attention.
- T'en as..... baisé beaucoup..... des femmes de mon âge ? - Non, t’es ma deuxième, je pense. - L'autre......aussi.....tu l'as...... enculée ? - Oui, elle voulait. - Mais pourquoi ............... moi ? - Parce que t’es belle et que t’as un cul d’enfer, Corinne. Comment tu
te sens ? J'ai eu beaucoup de mal à articuler, j'avais pas vraiment mal parce
qu'il y allait doucement mais j'appréhendais un coup de rein brusque
- Ben je...je...je me sens..... dominée.... pleine d'un homme..... et
pas à peu près.....Complètement! ...Continue ….....


A suivre
Corinne
Par lesrevesdecorinne - Communauté : Bourgeoise cochonne
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