Samedi 7 mars 6 07 /03 /Mars 14:53

Allongée sur le ventre, je me réveille progressivement sentant une main vagabondant le long de mes jambes.
Sans me lever, j'ouvre un œil et te vois, souriant. Je joues le jeu et ne bouge pas. Tu me déplaces et écartes mes pieds qui pendent hors du lit, caressant au passage mon sexe qui s’humidifie lentement.
Complètement éveillée, mais gardant toujours les yeux fermés, je subis avec un plaisir croissant tes câlineries. Tu poses des baisers fous sur mes fesses bien rondes, les malaxant à pleines mains, les ouvrant au gré des mouvements, faisant apparaître le passage sombre.
Tu t’échauffe à mon contact ; ma respiration devient plus rapide et tu passes de temps en temps une langue gourmande sur mes lèvres. Tu t’étends sur mon dos : ton sexe bien dur se loge entre mes jambes.
Humm !!! quelles sensations agréables ! Tu te serres contre ce corps qui est offert ; tu t’excites à le toucher, à le frôler. Je remue doucement à ce contact, plongeant dans ta chaleur ; je soulève par à coups mon bassin, mimant l’accouplement.
Et, tous deux, vibrant de cette harmonie si vivante, nous nous embrassons éperdument, serrés l’un contre l’autre.
Durant ce baiser qui s’éternise je sens la complicité qui est la notre ; je la sens dans mon ventre, je la sens dans ce sexe qui bientôt ouvrira les portes du plaisir.
Alors, tu m’embrasses une nouvelle fois et te redresses. Tu pétris activement ces fesses si bien disposées à ton égard et glisse ta langue dardée dans mon petit anneau plissé. Je sursaute et veux me redresser aussi : nous échangeons juste un regard complice qui résume bien nos désirs.
Avec confiance, je me recouche et accepte cette intrusion dans mon fondement. Tu insistes, me caresses plus tendrement et je me détends ; ta langue masse mon anneau sombre et fait des rotations qui réveillent mon plaisir.
C’est bon. J'ouvre davantage mes cuisses et tu fais la navette entre mon petit orifice et mes lèvres bien gonflées. Je soupire, émets quelques gémissements ; j'apprécie et le montre. Tu t’actives à ouvrir le passage : ta langue agile effectue des va et vient entre mon minou et mon fondement.
L’anneau étroit s’agrandit ; pour parfaire le tout, tu te penches davantage et glisses sur mon clitoris qui attendait son tour ; il gonfle, ce petit bout de chair et grossit sous ta langue qui le torture.
Bientôt je ne peux plus retenir mes cris ; tu accélères tes mouvements, aspires mes lèvres, dégustes ma mouille qui s’écoule de mon sexe. Je me mets alors à genoux, facilitant tes caresses, facilitant aussi l’entrée de ta langue dans mon anneau étroit offert.
Je me mets à suffoquer et atteins une jouissance sans égale ; je suis soudain assaillie par cet orgasme et crie ma joie.
Les fesses en l’air, offertes, je remue encore toute échaudée par la puissance de mon plaisir : mon corps est encore secoué de tremblements ; profitant de cet état, tu glisses tout au fond de ma chatte, ton sexe plus que décuplé et bandant dur. Après quelques mouvements, tu ressors ton sexe et la place sur mon anneau interdit : tu pousses doucement pour le faire disparaître dans ce petit orifice si serré et convoité. Tu pénètres doucement mais sûrement. Si bien préparée je ne ressens aucune douleur sinon un plus grand plaisir.
Tu restes immobile, ton sexe logé au fond de mon postérieur ; ensuite, tu bouges lentement, faisant sortir ton sexe jusqu’au gland, le remettant doucement, encore et encore. Je sens monter mon plaisir : cela démarre de mon sexe, passe par l’anus et réveille mes sens.
Tu n’oublies pas mes seins à qui tu administres des attouchements amoureux ; tu adores mes seins, je le sais. Tu tritures les bouts dressés, empaumes ces beaux appâts. Je me cambres pour faciliter les choses. Oh ! comme c’est bon, c’est tellement bon.
Le rythme s’accélère, tes testicules claquent sur mes fesses ; je les sens remplies de jus. Bien embrochée, je bouge allègrement mon postérieur pendant que tu me limes tout aussi allègrement, et m'amènes une deuxième fois au point de non-retour.
Sous mes cris de jouissance, tes coups de reins se font de plus en plus violents, ton plaisir monte brusquement. Emporté par l’orgasme, tu te colles brutalement à moi, t’accroches à mes hanches et jouis follement.
Tu me pénètres au plus profond alors que des jets de sperme puissants remplissent mon anneau serré. Nous crions ensemble notre jouissance ô combien partagée.
Collés l’un à l’autre un long moment avant de retomber ensemble sur ce lit défait, nous nous étreignons passionnément.

 

 

Nicolas et Corinne

Par lesrevesdecorinne
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